couvent des dominicains de tours

Pour aller plus loin

Tours – couvent de l’annonciation.

couvent des dominicains de tours

Le couvent de l’Annonciation est un lieu du culte de la Sainte-Face qui organise de nombreuses activités religieuses. 

Du couvent de l’Annonciation à l’Oratoire de la Sainte-Face

L’année 1922 marque la création du couvent Notre-Dame de Bonne-Nouvelle. Par ailleurs, une restauration de l’édifice est effectuée en 1972. Ensuite, les frères Dominicains lui donnent le nom de couvent de l’Annonciation. Enfin, l’archevêque de Tours décide, en novembre 2007, de confier la charge pastorale aux frères dominicains. C’est alors, que le couvent de l’Annonciation est transféré à l’Oratoire de la Sainte-Face. 

L’origine de l’Oratoire de la Sainte-Face

L’ Oratoire de la Sainte-Face est lié à la vie de Léon Papin Dupont . Effectivement, il se trouve dans son ancienne maison. Au fil de sa vie, Léon devient un ardent propagateur d’œuvres de piété. En effet, il est membre des Conférences de Saint Vincent et de Paul pour aider les personnes démunis. De même, en 1946, il agit dans la création des Petites Soeurs des Pauvres à Tours. Puis, il se consacre à la réparation du blasphème. Jean-Paul II le déclare vénérable le 21 mars 1983 comme « apôtre de la Sainte Face de Jésus ». C’est ainsi que naît le culte de la Sainte-Face .

L’Oratoire de la Sainte-Face aujourd’hui

L’ Oratoire de la Sainte-Face est désormais un lieu de culte incontournable pour pratiquer la vie dominicaine . Dans l’Oratoire se trouve l’icône de la Sainte-Face. Devant cette œuvre, brûle en continu une lampe. De ce fait, vous pouvez demander à récupérer l’huile de la Sainte-Face. Par ailleurs, les frères dominicains expédient cette huile par voie postale. Il vous suffit de faire un don qui couvre les frais de port. 

Prier au couvent de l’Annonciation

L’Oratoire de la Sainte-Face est situé à Tours au 8 Rue Bernard Palissy.

Venir prier à l’Oratoire

Vous pouvez venir prier tous les jours à la chapelle de 8h à 19h30. 

Venir prier avec les frères

  • Du lundi au samedi : 8h.
  • Dimanche : 8h30. 
  • Du lundi au samedi : 19h.
  • Du lundi au samedi : 12h15.
  • Dimanche : 10h30.

Sacrement de Réconciliation et confessions

  • Samedi : 10h à 12h et sur rendez-vous.

Adoration eucharistique

  • Jeudi : 15h à 16h.

Oratoire de la Sainte-Face

Oratoire de la Sainte-Face - Couvent des Dominicains : 8 rue Bernard Palissy à Tours.

Ce lieu fort qu'est l'oratoire de la Sainte-Face a été confié par Mgr Aubertin, archevêque de Tours, aux Dominicains, qui y ont officiellement installé leur couvent à l'occasion du Triduum de la Sainte-Face, les 4, 5, 6 février 2008. Le nouveau vitrail est l'oeuvre du fr. Pierre Kim En Joong (OP).

  • Messe à 12h15 (en semaine), à 10h30 (dimanche et fêtes).
  • Mercredi soir (hors vacances scolaires) à 20h30 : Adoration.
  • Samedi de 10h à 12h : Réconciliation (confessions)

Les Dominicains animent par ailleurs l'Espace Catherine de Sienne, dont l'accès est situé 1 quater rue Jules Simon à Tours.

Contact : 02 47 75 30 60 Courriel : [email protected] www.optours.fr

couvent des dominicains de tours

Pour le maintien du Couvent dominicain de l'Annonciation de Tours

Pour le maintien du Couvent dominicain de l'Annonciation de Tours

La fermeture définitive du Couvent de l'Annonciation des Dominicains de Tours est envisagée à l'été 2024. Le Sanctuaire de la Sainte-Face restera, quant à lui, ouvert.

Depuis 2007, la communauté a en charge le Sanctuaire où reposent les restes de Sœur Marie-de-Saint-Pierre et ceux du Vénérable Léon Papin-Dupont.

Chaque année, avec la spiritualité particulière de Saint Dominique, les frères accueillent et accompagnent des centaines de fidèles.

Présents à Tours depuis 1222 (avec une interruption entre 1792 et 1972), les Dominicains, par leurs enseignements et leurs conférences, ainsi que par leur service et leur investissement pour la cause du Vénérable Léon Papin-Dupont, ont su tisser des liens profonds avec les fidèles.

Leur présence est devenue une composante essentielle de la vie chrétienne à Tours. Leur départ signifierait la fin d'une histoire séculaire. Pour que la présence des frères prêcheurs puissent continuer à garder et faire rayonner le Sanctuaire de la Sainte Face, signez la pétition !

Auteur : Léa LAZARE

Signez cette pétition, aucune déja 1 's' : '') %>, conditions de traitement des données.

Les informations demandées, signalées par un astérisque, sont obligatoires et sont destinées à la société Les Lignes Bougent, responsable du traitement, aux fins de traitement des pétitions, signatures, sondages et questionnaires, de gestion de votre compte, de suivi de qualité de nos services, d’information et de communication.

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L'oratoire de la sainte Face à Tours

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Icône de la sainte Face du Christ

Icône de la sainte Face du Christ

Vers la réalisation de la demande de Jésus

Aussitôt après la mort de monsieur Dupont, les carmélites rachetèrent sa maison avec l’oratoire de la sainte Face. Quelques mois après, l’évêque de Tours réunit quelques prêtres chargés d'honorer la Sainte Face, de desservir l'oratoire et de se mettre au service des pèlerins par la prédication, l'administration des sacrements, etc....

Une confrérie fut établie dans l'oratoire de Monsieur Dupont, qui se rattacha d'abord à l'archiconfrérie réparatrice des blasphèmes et de la profanation des dimanches, érigée en 1846 dans le diocèse de Langres. Mais rapidement le besoin de l'autonomie se fit sentir et une archiconfrérie de la sainte Face fut établie en 1885.

L’archiconfrérie de la sainte Face

Le but de cet archiconfrérie est, en premier lieu, d'offrir devant l'aimable et douloureuse Face à Notre-Seigneur Jésus-Christ les hommages de foi, d'adoration, et d'amour qui lui sont dus : ensuite, par la vénération de cette Face divine, de s'exciter à faire des actes de piété, de zèle et de pénitence, propres à empêcher ou à expier les outrages que l'iniquité moderne inflige a la majesté de Dieu, à la divinité de Notre-Seigneur et à l'autorité de l'Eglise : "parmi ces outrages, objet de la réparation,  sont implicitement compris non seulement les blasphèmes et la profanation du Dimanche, mais encore les sacrilèges et les crimes inouïs que propagent de nos jours la franc-maçonnerie et les sociétés secrètes" (ces dernières lignes proviennent d'une brochure consacrée à M. Dupont et à l'oeuvre de la sainte Face publiée en 1957…)

La demande faite par le Christ à Soeur Marie de Saint-Pierre était enfin réalisée.

Nécessité de la réparation à la sainte Face

Si déjà au XIXème Jésus se plaignait amèrement et souffrait des blasphèmes et de la violation du dimanche, que penser de notre époque ?! Le blasphème n'a fait que croître, le dimanche est devenu un jour de divertissement où Dieu est absent, même pour un grand nombre de catholiques... Cette oeuvre réparatrice garde  plus que jamais toute son actualité !

L'archiconfrérie de la sainte Face aujourd'hui

Cette oeuvre de réparation, l’oratoire de la sainte Face et l’archiconfrérie existent toujours. En 2007 l’archevêque de Tours a confié aux dominicains la charge pastorale de l’oratoire de la sainte Face avec la promotion de l’œuvre de réparation. Un père dominicain est le recteur de l’Oratoire de la sainte Face. Il est toujours possible de s’inscrire dans les registres de l’archiconfrérie. Cette inscription est gratuite.

Il est tout à fait possible de demander de l’huile de la Sainte Face, c’est-à-dire, de l’huile de la lampe qui brûle continuellement devant l’icône de la sainte Face et avec laquelle le Vénérable M. Léon Dupont a fait des miracles. les dominicains expédient cette huile de la Sainte Face dans le monde entier par voie postale.  Ils demandent seulement pour l'huile un don qui couvre au minimum les frais de port.

Pour avoir plus d’informations sur l’oratoire de la Sainte Face :

Le site des dominicains de Tours

Le site de l'archidiocèse de Tours

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Sainte-Baume

Les Dominicains

Fondés au début du XIIIe siècle par saint Dominique, les frères prêcheurs autrement dit Dominicains, font partie d’un ordre religieux de l’Église catholique.

Comme leur nom l’indique, ils sont dévoués à la prédication. La prédication est l’annonce de la vérité de l’amour. Cet amour a été donné au monde, il s’est révélé afin que tous les hommes soient sauvés par la miséricorde de Dieu.

Pour ce faire, les Dominicains vivent en couvent où ils prient, étudient et vivent ensemble afin de louer et bénir le Seigneur avant d’aller donner l’Evangile au monde. Tout pour la gloire de Dieu et le salut du monde.

La famille dominicaine

Gardiens de la sainte-baume, les raisons de leur présence ici.

★ Une raison historique : l’installation à la Sainte Baume, en 1295, va de paire avec la fondation du couvent de Saint-Maximin où Charles II avait redécouvert en 1279 les reliques de sainte Marie-Madeleine. Or ce prince Charles II était personnellement proche de l’Ordre de saint Dominique.

★ Une raison « hagiographique » : certains « fioretti » de l’Ordre font valoir que c’est Marie-Madeleine elle-même qui choisit ses frères… Pour l’Apôtre des apôtres il fallait des « gardiens » qui fussent eux aussi des apôtres : les frères prêcheurs étaient tout indiqués !

★ Une raison missionnaire : à l’aube d’un troisième millénaire où la question religieuse se révèle centrale, la Sainte Baume offre plus d’un avantage pour la mission de l’Église et la prédication. À la Sainte Baume on peut admirer la beauté d’une création merveilleusement préservée ; on y peut recueillir l’héritage d’une tradition vivante qui a marqué des siècles de notre culture européenne et provençale ; enfin l’Évangile y semble concret et proche grâce au témoignage de la pécheresse devenue disciple et apôtre.

Les couvents

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8 RUE BERNARD PALISSY

37000 TOURS

COUVENT DES DOMINICAINS DE TOURS

Société :  512 843 871 Active

  • Dernière mise à jour le :  01-03-2024
  • Dernière mise à jour INSEE : 01-03-2024
  • Entreprise mise à jour le :  01-03-2024
  • Identité d'entreprise
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Identité de l'entreprise

Mentions couvent des dominicains de tours pour contrat.

COUVENT DES DOMINICAINS DE TOURS , demeurant au 8 RUE BERNARD PALISSY , 37000 TOURS, immatriculée au répertoire des entreprises et établissements de l'INSEE sous le numéro 512843871 00017, agissant en sa qualité de Congrégation.

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Présentation de la société COUVENT DES DOMINICAINS DE TOURS

COUVENT DES DOMINICAINS DE TOURS , congrégation, immatriculée sous le SIREN 512843871, est active depuis 16 ans. Domiciliée à TOURS (37000), elle est spécialisée dans le secteur des activités des organisations religieuses. Son effectif est compris entre 1 et 2 salariés. Societe.com recense 1  établissement , aucun événement .

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Renseignements juridiques

Historique Voir l'historique expand_more

Du 15-11-2007

à aujourd'hui

16 ans, 4 mois et 30 jours

Voir informations avancées Voir plus d'informations expand_more

La tenue du registre des bénéficiaires effectifs a été renforcé par la directive (UE) 2018/843 du Parlement européen et du Conseil du 30/05/2018 relative à la prévention de l'utilisation du système financier aux fins du blanchiment de capitaux ou du financement du terrorisme. Elle a été transposée en droit français et décrit le bénéficiaire effectif comme étant est la ou les personnes physiques : soit qui contrôlent en dernier lieu, directement ou indirectement, le client ; soit pour laquelle une opération est exécutée ou une activité exercée. Il s'agit donc de toute personne physique qui soit possède, directement ou indirectement, plus de 25% du capital ou des droits de vote de la société ou entité déclarante, soit exerce sur cette dernière, par tout autre moyen, un pouvoir de contrôle. En l'absence de bénéficiaire effectif, le représentant légal est le bénéficiaire effectif par défaut.

pas de beneficiaire effectif

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L'établissement de la société COUVENT DES DOMINICAINS DE TOURS

Couvent des dominicains de tours  - 37000 actif.

Adresse :  8 RUE BERNARD PALISSY - 37000 TOURS

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dinan-tourisme.fr

Édifices religieux

Au moyen-âge, les terres appartenaient principalement aux seigneurs. Mais l’Église, avec les Abbés et les Évêques, dominait également de nombreuses terres et exerçait une influence croissante sur les campagnes.

La société féodale à cette époque, empreinte des valeurs religieuses du christianisme, se construit sous la domination conjointe des pouvoirs seigneuriaux, laïques et ecclésiastiques.

Ainsi, les villages se structurent souvent autour des églises et des abbayes, symboles de la religion, et de la puissance du clergé. C’est le lieu de vie, et l’endroit où les habitants ressentent le pouvoir de Dieu.

Dinan n’échappe pas à la règle. En effet, l’histoire de Dinan est étroitement liée à la fondation de l’Abbaye Saint-Magloire de Léhon qui a été le premier bâtiment religieux d’importance dans cette région de la Rance.

C’est à partir de la création, par Nominoé, premier roi de Bretagne, de ce prieuré aux environs de 850, qu’un port se développera en Aval à un kilomètre à peine de l’abbaye.

Aux environs de 1030-1040, les terres seigneuriales les plus proches de l’abbaye et les plus adaptées stratégiquement à l’édification de fortifications, se trouvent juste au dessus du port, sur une longue plate forme dominant la vallée de la Rance et protégées par des pentes abruptes.

Rapidement, pour regrouper les paysans, de nouveaux prieurés sont fondés, un en 1066 à environ 300 mètres au nord de la butte féodale, la première église Saint-Malo et un face au port, côté Lanvallay, le prieuré de la Madeleine-du-pont en 1070.

Face à la forte croissance démographique, une seconde église paroissiale, l’église Saint-Sauveur, est construite intra-muros en 1123, sur le nouvel emplacement de la cité qui, par manque de place sur son promontoire, a du se déplacer.

Après ses deux églises, Dinan se dote de ses premiers couvents intra-muros, le couvent des Dominicains (ou Jacobins, ou encore des frères prêcheurs) à partir de 1215, et le couvent des cordeliers (Fransiscain) en 1251.

En 1368, ce sont les Trinitaires qui s’installent à Dinan et fondent leur prieuré.

La prospérité Dinannaise de la fin du moyen-âge fait de la cité un centre religieux d’importance. Un nouvel ordre s’installe alors dans l’enceinte de Dinan en 1458, l’ordre de Sainte-Claire ou l’ordre des Clarisses qui fondent à leur tour leur couvent.

C’est à cette période, en 1490, que la première église Saint-Malo, qui se trouve hors des remparts, est abandonnée pour être reconstruite à son emplacement actuelle intra-muros.

A la fin du XVIème siècle, après plus de 30 ans de guerre de religion entre protestants et catholique, les fortifications Dinannaises perdent leur usage défensif et Dinan change de visage, et devient une ville de couvents.

En plus des trois couvents déjà installés, de nouveaux ordres investissent la ville: Le couvent des Ursulines en 1617, le couvent des Dominicaines ou des Catherinettes en 1625, et le couvent des Bénédictines en 1633.

En 1755, le comte de la garaye et son épouse font venir à Dinan les Filles de la Sagesse qui créaient le couvent de la Sagesse.

Quand éclate la Révolution en 1789, un tiers des terres intra-muros appartiennent au Clergé et sont occupées par des couvents ou des églises.

La plupart sont fermés et confisqués, et deviennent des manufactures de toiles, des écoles, une caserne.

Aujourd’hui la plupart des bâtiments sont parvenus jusqu’à nous et sont encore debout. Seul le couvent des Jacobins a été entièrement détruit, mais il reste tout de même des preuves de son existence si on cherche bien les indices.

couvent des dominicains de tours

  • 4 – Le couvent des Jacobins ou Dominicains

couvent des dominicains de tours

Le couvent des Dominicains (ou Jacobins, ou encore des frères prêcheurs) est créé entre 1215 et 1221 . Il fut le couvent le plus prestigieux de Dinan . Pourtant, c’est celui dont il reste le moins de traces aujourd’hui.

Durant 5 siècles, à la place de l’actuel théâtre des Jacobins, se trouvait l’un des plus grands établissements religieux de Bretagne. L’enclos du couvent des Jacobins s’étendait sur 7 hectares (1/4 de la ville), soit sur tout le sud-est du Dinan intra-muros.

Bénéficiant très rapidement du soutien et de la générosité des puissants, le couvent va prospérer et connaître, jusqu’à la fin du XVIème siècle, une histoire glorieuse qui participe alors à la renommée de la cité.

couvent des dominicains de tours

Les Jacobins vendront une partie de leurs terres aux Bénédictines en 1628 et aux Dominicaines en 1658.

Vendu et détruit peu après la Révolution, il ne reste aujourd’hui que des souvenirs épars de cet édifice .

Les seuls témoignages encore visibles aujourd’hui, sont un morceau de l’arc de pierre d’une porte d’entrée de ce couvent, à l’angle de « l’hôtel Arvor » (angle rue de Léhon / rue Auguste Pavie), les voûtes de l’entrée du théâtre, et L’ancienne chapelle du couvent qui fait aujourd’hui partie de l’hôtel d’ Arvor (Le porche d’entrée de l ‘hôtel appartenait à une autre chapelle construite au 16ème siècle sur les terres du château du Besso à Saint-André-des-Eaux, à quelques kilomètres).

  • 6 – Couvent des Trinitaires

couvent des dominicains de tours

L’histoire des Trinitaires à Dinan est, en partie, connue.

Cette maison, fondée en 1336 par Olivier BRECEL, pour un religieux de l’Ordre de la Rédemption des Captifs, autrement dit Trinitaire, était destinée à servir d’asile aux pauvres pèlerins et voyageurs de passage.

Les trinitaires jouaient également un rôle important dans les négociations des rançons, en particulier celles des prisonniers des pirates qui écumaient la Méditerranée.

Elle fut rapidement érigée en Prieuré et confiée aux frères Trinitaires en 1368 .

Les religieux y tenaient un hôpital de vingt lits pour s’occuper des captifs et des prisonniers, ainsi que pour les pèlerins

Aujourd’hui, il n’en reste que la porte d’entrée en Ogive et une fine colonne de pierre (au 17) et un bénitier (en face, au18), l’ensemble visible rue de la Poissonnerie.

Rue de la Lainerie, au 5, reste le linteau d’une maison de pierre qui était propriété du Prieuré avec une gravure représentant la croix des trinitaires, et un enfeu, ou niche funéraire, quasiment à l’angle des deux rues à côté de la porte bleue.

  • 8 – L’église Saint-Malo

couvent des dominicains de tours

Comme nous l’avons vu plus haut, c’est la seconde église Saint-Malo.

La première, hors-les-murs, a été en partie détruite sous le règne du jeune roi Charles VIII (futur époux de la duchesse Anne de Bretagne), qui veut soumettre la Bretagne à son autorité.

En 1487, François II, duc de Bretagne, donne donc l’ordre de faire raser l’église Saint-Malo qui devra être rebâtie intra-muros. En réalité, le siège n’eut jamais lieu : la ville se rendra l’année suivante sans combattre. La construction de la nouvelle église commença dès l’année 1490 .

Durant la Révolution, l’église n’est plus affectée au culte, elle sert alors de halle aux blés, d’écurie, de salle de spectacle et de caserne . L’église est rendue au culte en 1803 , mais elle demande à être terminée . La construction de la nef se déroule de 1855 à 1865 .

En raison d’interruptions dues au manque d’argent et aux guerres de religion, les travaux se sont arrêtés et ont redémarrés à plusieurs reprises, certaines parties ayant donc été terminées au 18ème siècle, et d’autres au 19ème siècle. Le plan final a largement suivi les plans originaux du 15ème siècle.

L’édifice, de taille assez imposante, possède toute fois un petit clocher qui n’est en fait qu’un toit à quatre pans. À l’origine, l’église devait comporter une flèche en granit, dont on voit bien les « bases » sous chaque angle du toit. Elle aurait dû être conséquente, compte tenu de la taille des quatre piliers du transept, qui ont chacun un diamètre de trois mètres.

De style gothique et Renaissance, elle est surtout réputée pour ses vitraux du début du XXe siècle et son orgue anglais aux tuyaux polychromes fabriqué en 1889. Visite libre.

couvent des dominicains de tours

  • 10 – Couvent des Dominicaines ou des Catherinettes

C’est dans cet hôtel particulier de la première époque de la Renaissance (vers 1500) que Hélène de Beaumanoir, marquise d’ Acigné fonde en 1625 le couvent des catherinettes, de l’ordre de Saint-Dominique.

A la mort d’Hélène de Beaumanoir, l’hôtel fut donné aux sœurs dominicaines et elles y devinrent si nombreuses que la petite cour qu’on y voit encore, servit de cimetière et était remplit de leurs tombes.

Découvrez-y le corps principal du logis avec sa tour octogonale en avant-corps, à l’intérieur, les pleins cintres des portes, un splendide escalier de pierres avec ses 60 marches monumentales, et également la cuisine avec sa large cheminée.

On y voit encore les étroits corridors et les petites cellules des religieuses. Ces cellules ne sont pas dans le corps de l’hôtel, mais dans un bâtiment latéral construit par Hélène elle-même pour servir de chapelle et où elle fut provisoirement enterrée.

Les sœurs Dominicaines finirent par changer de place leur couvent et s’installèrent dans l’actuelle bibliothèque de Dinan.

couvent des dominicains de tours

Les religieuses acquièrent un vaste enclos de plus d’un hectare à l’Est de la ville et font construire, à partir de 1658 , un nouveau et très imposant couvent à l’architecture classique.

couvent des dominicains de tours

La Chapelle Sainte-Catherine, très élégante avec sa façade de style jésuite, est érigée entre 1661 et 1664, année du transfert des religieuses, mais il faut attendre l’année 1676 pour que les travaux du couvent soient définitivement achevés ( En visite libre).

Expulsées le 3 octobre 1792, les trente religieuses sont dispersées. Confisqué, le bâtiment est transformé en prison puis en caserne, il faut attendre l’année 1817 pour que la Municipalité y fasse transférer l’hôpital de la ville. Ce dernier y restera pendant 150 ans jusqu’en 1970.

Depuis 2005, le couvent réhabilité abrite la Bibliothèque Municipale. Quant à la chapelle, elle est redevenue une chapelle consacrée. Son plafond peint compte parmi les trésors cachés de Dinan, réalisé dans les années 1670.

  • 12 – Couvent de la Sagesse

couvent des dominicains de tours

En 1751 le Comte et la Comtesse de la Garaye demandent des Filles de la Sagesse, congrégation religieuse féminine enseignante et hospitalière fondée en 1703, pour soigner les pauvres de la Ville de DINAN et du canton. Ils sollicitent du Roi Louis XV des lettres patentes qui leurs sont accordées le 3 avril 1755. Le couvent des Filles de la Sagesse est alors créé.

A la Révolution, le bâtiment est louée à l’Hospice, le mobilier vendu et racheté par des soutiens aux sœurs qui sont mises en prison; elles y demeurent deux ans.

A leur sortie, leur mobilier leur est restitué, et elles reprennent leurs fonctions charitables. Sans ressources, elles ne perdent pas courage et ouvrent un pensionnat. En 1811, les Sœurs retrouvent la possession de leur ancien local. Grâce à des dons et différents legs, elles achetent des maisons et terrains et font construire plusieurs bâtiments : buanderie, lavoir, four, chapelle, dortoirs…

couvent des dominicains de tours

En 1833, elles sont 9 religieuses et créent une école privée catholique dans le couvent qu’elles appellent « l’asile de l’enfance ». Les sœurs s’occupent alors de 210 enfants âgés de 2 à 7 ans.

En 1847 elles ouvrent « l’Asile supérieur » au sein du couvent de la Sagesse où 80 filles de plus, âgées de 7 à 12 ans, suivent un autre enseignement.

Au fil des années, l’asile prendra le nom d’école maternelle de Dinan et deviendra en 1868, l’école communale des filles (gratuite).

Les personnels religieux de la congrégation de la Sagesse vont constituer l’intégralité des enseignantes jusqu’à la laïcisation du primaire en 1902 et de la maternelle en 1903 qui sonne la fin de l’école libre de la Sagesse et qui suscitera une vive émotion à Dinan.

Les sœurs sont expulsées mais, avec le soutien de la population, résistent tout de même encore quelques années en ouvrant une nouvelle école dans un nouveau local.

Cette tentative est couronnée de succès dans un premier temps mais ne résistera pas aux lois qui continuent à se mettre en place contre les congrégations. Lassées de cette guerre scolaire, les religieuses de la Sagesse finiront par quitter Dinan en 1907.

En 1938, le Docteur ROUXEL fit accepter le projet, par la Congrégation des Filles de la Sagesse, de la création d’une clinique médico-chirurgicale sur le site de l’ancienne école devenu un lieu de retraite spirituelle.

La clinique de la sagesse est créée.

En 2009 la clinique déménage sur le site de l’hôpital, les bâtiments sont rachetés par un promoteur immobilier qui en fait des appartements.

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  • 1 – l’Abbaye Saint-Magloire de Léhon

Le monastère primitif de Léhon date du IXe siècle. Il est édifié par Nominoé vers 850 pour y conserver les reliques d’un saint Breton, Saint-Magloire, ancien évêque de Dol.

Suite à des raids Vikings, l’Abbaye est pillée et en partie détruite. Des bâtiments de cette époque, rien ne subsiste.

Autour de 1190 – 1210, avec la reconstruction de son église, l’abbaye de Léhon prend le nom de prieuré de Saint-Magloire de Léhon.

A la suite de la révolution, le monastère est vendu à un particulier qui l’habitera, puis sera transformé en brasserie, en manufacture de toiles à voiles et en filature en 1854, et enfin en salle de classe pour jeunes filles jusqu’en 1959.

Les propriétaires de l’édifice finissent par l’offrir à la mairie de Léhon qui fait restaurer l’ancienne abbatiale pour en faire la nouvelle église paroissiale de Léhon.

Le trésor de l’abbaye est composé d’un reliquaire contenant des ossements de Saint-Magloire, une statue en bois de Saint-Magloire (XIVe siècle), une chasuble en soie damassée à décor floral, une étole, des manipules et le voile du calice assortis (XVIIIe siècle).

couvent des dominicains de tours

  • 2 – La chapelle Saint-Joachim

Construite à partir de 1066 , c’est la première église paroissiale de Dinan , et la première église Saint-Malo.

Trop petite, elle est détruite une première fois pour être rebâtie au même emplacement en 1177.

Il est dit à l’époque qu’elle était d’une grandeur immense, et qu’à l’extérieur, par ses formes massives et puissantes, elle avait tout l’aspect d’une forteresse .

En 1487, les troupes du roi de France, Louis XI, envahissent Dinan, alors propriété du duc de Bretagne, François II.

L’église sera volontairement démolie une seconde fois, car se trouvant hors des remparts, les Dinannais pensaient que l’église aurait pu servir de bastion à l’ennem i.

À l’issue de cette guerre un édifice religieux sera maintenu jusqu’à ce que la chapelle soit restaurée en 1885. C’est à cette époque que l’église prendra le nom de chapelle Saint-Joachim.

En 1975, suite à des travaux d’urbanisme, des ossements et des pierres tombales seront découverts. 4 d’entre elles ont été placées à droite de l’édifice. Pour la première, il pourrait s’agir de la pierre tombale d’un tailleur car un ciseau y est gravé. À côté, il s’agirait de la sépulture d’un religieux : on y reconnaît une croix et un ciboire .

De l’édifice actuel, seuls deux contreforts, à l’arrière de l’église, pourraient dater du XII e siècle. Le clocheton, lui, daterait du XIX e siècle. Tandis qu’à gauche du petit escalier menant à l’église, un sarcophage remonterait à l’an 1000.

couvent des dominicains de tours

  • 3 – La Basilique Saint-Sauveur

L’église Saint-Sauveur est une des plus connues de la cité médiévale.

Elle a été fondée en 1123 par Riwallon le Roux, seigneur de Dinan revenu de croisade en 1112 .

A partir de 1480 d´importants travaux sont entrepris pour agrandir l´église, devenue centre d´une riche paroisse.

Une petite chapelle funéraire à trois pans sommés de pignons aigus, fut construite à la place d’une ancienne porte au sud, sans doute peu avant 1500.

elle n’a cessé d’être transformée et sera achevée à la fin du XVIIe siècle.

Elle possède deux styles distincts. Le premier du XII e  siècle est roman (partie sud ou côté droit, et le portail), ce qui permet de situer la date de sa fondation. Elle prend ensuite le style gothique à partir du XVI e  siècle.

Elle abrite le cénotaphe du cœur du connétable Duguesclin. V isite libre.

  • 5 – Le couvent des Cordeliers

couvent des dominicains de tours

En 1248, Henri II d’ Auvaugour, seigneur et sire de Dinan, participe aux Croisades. Il fait le vœu, s’il s’en sort vivant, d’édifier un couvent.

De retour, il entame la construction en 1251 .

Le seigneur deviendra lui-même moine franciscain, dit « Cordelier ». ​Une appellation qui fait référence à la corde à trois nœuds, symbole de pauvreté, que portaient les religieux de l’ordre à la ceinture.

D’après certaines sources, le couvent des Cordeliers aurait été implanté autour du Palais d’Henri II d’ Auvaugour, seigneur de Dinan Nord, à l’époque où la ville était divisée en deux parties distinctes et dirigée par deux seigneurs , c’est à dire entre 1122 et 1264.

En effet, à cette période, chaque seigneur avait sa demeure, le château de Léhon pour le seigneur de Dinan Sud, et, soit le Château primitif de Dinan, soit le Palais situé à l’emplacement du couvent des Cordeliers pour le seigneur de Dinan Nord.

Le couvent a accueilli les états généraux de Bretagne en 1573 et 1634.

En 1791, les sept derniers religieux sont chassés par les Révolutionnaires .

A vec l’arrivée de l’abbé Bertier, en 1804, une nouvelle ère s’ouvre. Un grand et un petit séminaire voient le jour, ouvrant la voie de l’enseignement qui perdure encore aujourd’hui.

Les bâtiments actuels datent du XVe siècle.

Restauré au XIXe siècle, il abrite aujourd’hui un établissement d’enseignement privé.

Son portail sur la place des Cordeliers a été classé. Visitable en saison estivale .

  • 7 – Couvent des Clarisses

couvent des dominicains de tours

A l’origine du Couvent Sainte-Claire, on trouve une chapelle dédiée à Sainte-Catherine et érigée à partir de l’année 1458.

En 1480, le Duc François II approuve le projet de convertir la chapelle en couvent de l’ordre de Sainte-Claire, les Clarisses.

Les travaux débutent en 1482, mais des difficultés financières ne permettent pas la construction d’un couvent neuf.

La chapelle Sainte-Catherine est donc aménagée pour devenir la nouvelle église du couvent, cette dernière est consacrée en 1484.

En 1792, les 35 religieuses qui occupent encore le couvent sont expulsées.

Le bâtiment est alors transformé en caserne, puis en prison avant d’être vendu comme bien national en 1796 et démantelé.

Vieux de près de 500 ans, les vestiges actuelles de ce qui était l’église du couvent des Clarisses n’est qu’une partie d’un grand ensemble qui occupait près d’1 hectare à son apogée.

couvent des dominicains de tours

Si la flèche de l’église a disparu, la charpente, elle, est restée intacte. Elle a une forme de coque de bateau inversée car, dans notre région à l’époque, la majorité des charpentiers étaient issus du monde naval. Elle est encore visible, mais aujourd’hui la chapelle est un cabinet d’architecture.

L’ancien cloître du couvent encerclait l’actuelle cour intérieure de l’impasse des Clarisses. On peut encore voir les pierres qui servaient à supporter la charpente du cloître.

  • 9 – Couvent des Ursulines

couvent des dominicains de tours

En 1615, Guillaume LeGouverneur, évêque de Saint-Malo, autorise l’établissement des Ursulines à Dinan.

La première pierre du couvent est posée en 1620 par l’évêque de Saint-Malo et trois religieuses s’y installent .

Une fois terminé, le couvent forme un quadrilatère composé de trois ailes situées au nord, à l’ouest et au sud, un mur ferme l’enclos à l’est constituant ainsi le cloître des religieuses. Au nord un vaste espace est occupé par le jardin du couvent, il s’étend jusqu’aux remparts. Deux autres jardins appartiennent au couvent, l’un à l’est longe la rue de la Croix, l’autre est situé au sud .

couvent des dominicains de tours

En 1792, les Ursulines, alors au nombre de 34, sont expulsées du couvent, la chapelle est utilisée durant quelques années pour les réunions et assemblées révolutionnaires. Puis les bâtiments sont vendus comme biens nationaux en 1798 et on y installe, en 1802, une manufacture de tissage de toiles à voiles

La manufacture fait faillite en 1862, les bâtiments sont vendus séparément à plusieurs acquéreurs. C’est à cette époque que la rue Saint-Charles est percée coupant l’ancien cloître en deux ensembles de bâtiments au nord et au sud et détruisant une partie de l’aile ouest .

La situation reste inchangée jusqu’en 1955, époque à laquelle l’ensemble des bâtiments nord sont détruits pour permettre l’édification de la résidence Saint-Charles qui sera terminée en 1965.

Il ne reste donc plus du couvent que la chapelle, l’aile sud et une partie de l’aile ouest du cloître, ces deux derniers bâtiments seront réhabilités et transformés en logements sociaux en 1990 (résidence des Ursulines).

couvent des dominicains de tours

En 2016, un projet de transformation de l’ancienne chapelle en salle d’activité communale est à l’étude. Le travail très intéressant du cabinet d’architecte ISSHIN, est visible sur le site suivant: https://www.atelier-isshin.fr/nos-r%C3%A9f%C3%A9rences/etudes/ancienne-chapelle-des-ursulines/

  • 11 – Couvent des Bénédictines

Dans les années 1620 , le quartier est un grand jardin qui appartient au couvent des Jacobins. En 1628, les bénédictines de Saint-Malo achètent un terrain aux Jacobins et implantent le couvent Notre-Dame-de-la-Victoire.

couvent des dominicains de tours

En 1631 sont construits le cloître et son jardin, mais le couvent se développe moins bien que les autres couvents de Dinan. Il réussit quand même à s’étendre, avec la construction d’une chapelle avec son clocher et d’un réfectoire vers 1665.

Le réfectoire des Bénédictines est la grande salle commune où elles se retrouvent pour tous les moments collectifs : repas, prières, offices.

couvent des dominicains de tours

En 1680, une magnifique fresque est peinte sur la voûte du réfectoire.

En 1746, un incendie détruit le quartier et une partie des bâtiments des Bénédictines. C’est la faillite du couvent et les sœurs, qui vivent dans la misère, ne parviennent pas à remonter le pente. Elles sont obligées de quitter les lieux en 1772 et le couvent est laissé à l’abandon.

En 1777, la fresque de 1680 est cachée par un enduit alors que le couvent, vide et ruiné, est réhabilité en collège de la ville et que la salle commune en devient le réfectoire.

Sous la Révolution, le collège sera fermé, les religieux assurant l’instruction refusant de prêter serment à la Constitution. Ils seront condamnés aux galères.

couvent des dominicains de tours

Sous le consulat et l’empire, entre 1802 et 1813, le collège rouvre et se développe à nouveau. Il devient lycée lors de la création de ceux-ci par Napoléon. Mais sous la RESTAURATION, vers 1815 les autorités fermeront autoritairement le Collège et rendront les bâtiments à des religieuses, les Ursulines, pour punir les professeurs et les élèves d’avoir été favorables à Napoléon.

En 1840, le collège rouvre définitivement parce que des Dinannais progressistes veulent un collège à Dinan.

La fresque est redécouverte en 1964, par hasard, un morceau d’enduit étant tombé, laissant voir un bout de peinture. Elle est classée Monument historique en 1981, et restaurée entre 1982 et 1985.

Aujourd’hui, ces bâtiments abritent toujours le collège Roger Vercel où ont étudié des hommes célèbres tels que Chateaubriand, Broussais, Auguste Pavie, Leconte de Lisle, Robert Surcouf et Roger Vercel.

De l’époque du couvent, ne subsiste de nos jours que la chapelle et le réfectoire.

couvent des dominicains de tours

Dominicains de Toulouse

800 ans d’histoire à Toulouse

C’est en 1957 que notre couvent s’est installé à Rangueil. Mais l'aventure dominicaine a commencé à Toulouse dès 1215…  Elle est marquée par des lieux comme la Maison Pierre Seilhan ou les Jacobins.

Chapelle de la maison Seilhan

L'intérieur de la chapelle à la maison Pierre Seilhan

Procession des reliques de saint Thomas aux Jacobins

Procession des reliques de saint Thomas d'Aquin aux Jacobins

Eglise saint Thomas qui donnait sur la rue Espinasse

Église saint Thomas, de la rue Espinasse

Les installations des dominicains à Toulouse de 1215 à 1957

En 1215 , saint Dominique et quelques frères fondent une communauté de prêcheurs sous l’autorité de Foulques, évêque de Toulouse. Ils s’installent dans une maison héritée par l’un d’eux, Pierre Seilhan . Les frères reçoivent peu après l’ église Saint­-Romain , dans l’actuelle rue Saint­-Rome, pour y prêcher et célébrer l’office.

À partir de 1231 , les frères construisent un couvent à l’emplacement actuel des Jacobins . Le 28 janvier 1368, le corps de saint Thomas d’Aquin y est déposé. De 1599 à 1606, fr Sébastien Michaëlis est prieur des Jacobins. De là, il étend sa réforme de la vie religieuse dominicaine : liturgie soignée, stricte mise en commun des biens, austérité de vie, débats contradictoires avec les protestants. Dans le même esprit, le monastère Sainte­-Catherine­-de­-Sienne est fondé pour les sœurs. Les frères sont expulsés des Jacobins en 1791 (nationalisation des biens du clergé). Le couvent devient ensuite une caserne.

Le fr Henri Lacordaire fait acheter une maison, rue Vélane, en 1853 , et y fait construire une petite chapelle (achevée en 1855). Après 1870, les frères achètent les maisons alentour pour bâtir un nouveau couvent (église, cloître…). Ce projet commence par l’église Saint­-Thomas­-d’Aquin (1880­-1885) dont l’entrée se trouve rue Espinasse . Les frères sont chassés en novembre 1880 (loi contre les congrégations religieuses), mais restent propriétaires. Ils sont recueillis un temps chez des amis puis rentrent chez eux (1882 ?). En 1903 (loi de 1901), les frères perdent la propriété de leur établissement et s’exilent en Italie, puis, en 1930 , ils rachètent le couvent quitté en 1903. À l’ouverture du couvent de Rangueil, en 1957 , les frères y déménagent progressivement. Le couvent rue Espinasse est fermé en 1963, vendu en 1971 et détruit.

Le projet du couvent de Rangueil procède du désir d’un plus grand déploiement à Toulouse, ville universitaire en expansion et surtout ville de fondation de notre Ordre. Ces « nouveaux Jacobins » résultent du transfert du grand couvent d’études de Saint-Maximin (Provence) et de celui de la rue Vélane. — Le couvent compte actuellement 50 frères (dont 17 étudiants en théologie). Il appartient à la Province dominicaine de Toulouse qui totalise environ 160 frères répartis sur 8 couvents ou maisons dans le sud de la France, La Réunion et Haïti.

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Affaire Dupont de Ligonnès : une communauté dominicaine au cœur de nouvelles investigations

Une femme pense avoir pu croiser Xavier Dupont de Ligonnès, recherché depuis treize ans pour le meurtre de sa famille, lors d’une veillée de prières le 9 mars au sein de la communauté des sœurs dominicaines de Béthanie, à 15 kilomètres de Besançon.

  • Héloïse de Neuville (avec AFP) ,
  • le 06/04/2024 à 12:14

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Lecture en 3 min.

Affaire Dupont de Ligonnès : une communauté dominicaine au cœur de nouvelles investigations

Xavier Dupont de Ligonnès aurait été vu dans la communauté des sœurs de Béthanie dont le couvent, photographié ici en septembre 2019, est situé à Montferrand-le-Château.

Franck LALLEMAND / PHOTOPQR/L’EST REPUBLICAIN/MAXPP

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C’est un signalement que les enquêteurs ont pris au sérieux. Une femme a rapporté en mars à la gendarmerie du Doubs avoir rencontré, durant une veillée de prières, un homme ressemblant à Xavier Dupont de Ligonnès (XDDL), recherché depuis treize ans pour le meurtre de sa famille, a indiqué vendredi 5 avril, le procureur de Besançon.

La femme qui a fait le signalement pense avoir pu croiser Xavier Dupont de Ligonnès lors d’une veillée de prières le 9 mars au sein de la communauté des sœurs dominicaines de Béthanie, à Montferrand-le-Château, à 15 kilomètres de Besançon. Deux autres personnes, qui ont également croisé le même homme, ont aussi jugé « possible » que cet homme soit « XDDL » , a précisé le procureur de Besançon.

Des religieuses… sorties de prison

Cette communauté de sœurs dominicaines est particulière : alors que les huit dernières religieuses du couvent de Montferrand-le-Château appartiennent à un ordre dit « contemplatif », dont la vie est normalement exclusivement tournée vers la prière, la plupart d’entre elles sont également visiteuses de prison.

Cette originalité tient à la mission propre de la communauté, vouée à la réinsertion des prisonnières. La congrégation a été fondée en 1867 par le père Jean-Joseph Lataste déclaré bienheureux par l’Église en 2012. Alors qu’il prêchait à des détenues condamnées aux travaux forcés et emprisonnées près de Bordeaux, ce prêtre, religieux dominicain, fut profondément marqué par ces rencontres. C’est alors qu’il eu l’intuition de fonder la communauté des Dominicaines de Béthanie. Pour l’époque, cette congrégation est d’une folle originalité : faire vivre en vie fraternelle d’anciennes prisonnières, qui s’engagent dans la vie religieuse.

« Nous sommes aujourd’hui des sœurs contemplatives, qui s’efforcent d’accueillir chacune telle qu’elle est – même si c’est parfois un peu rude et même si elle est tombée très bas – et de vivre le pardon et la communion fraternelle de la miséricorde comme nous nous y engageons en plus des trois vœux de pauvreté, chasteté et obéissance que nous prononçons. C’est ce qui nous caractérise, expliquait la prieure générale de la communauté en 2012 à La Croix . De même, à la différence d’autres contemplatives, nous n’avons pas de grilles à nos couvents pour ne pas rappeler la prison, nous nous abstenons toutes d’alcool, et nous donnons à celles qui veulent s’engager le temps qui leur est nécessaire pour retrouver un équilibre ».

Des analyses ADN en cours

En 2024, la communauté accueille également régulièrement des groupes de prières mélangeant des laïcs et des religieux de tous âges. C’est dans ces circonstances que Xavier Dupont de Ligonnès aurait été aperçu par un catholique présent : « Une des membres est venue accompagnée d’un dénommé Jean, dont la communauté – Le verbe de vie – a été dissoute en juillet 2023 et qui a raconté marcher depuis sur les routes, sans documents d’identité » , a précisé le magistrat, confirmant une information du quotidien L’Est Républicain.

L’homme a été hébergé deux nuits par les participantes à la veillée, avant de repartir sur les chemins. « Parmi sept personnes présentes à la veillée interrogées, quatre pensent qu’il ne s’agit pas du tout de Xavier Dupont de Ligonnès et trois » , dont la personne qui a fait ce signalement, « disent que c’est possible que ce soit lui, mais aucune (des trois) ne le reconnaît formellement » , note le procureur qui a ouvert une enquête pour « recherche des causes de la disparition » .

« Les gendarmes ont pu prélever des éléments, comme des canettes bues par le visiteur, qui vont être analysées, ce qui devrait permettre d’extraire une empreinte ADN. Elle pourra ensuite être transmise au parquet de Nantes en charge de l’enquête sur la disparition de Xavier Dupont de Ligonnès » , poursuit le magistrat.

Des monastères au cœur de l’enquête Ligonnès

Ce n’est pas la première fois qu’une communauté religieuse se retrouve au cœur des investigations des enquêteurs dans l’affaire Ligonnès. De fait, le père de famille recherché par la police entretenait, avant sa disparition, une forte proximité avec la religion catholique.

Le 18 mai 2021, la police a ainsi perquisitionné l’abbaye de Saint-Michel-en-Brenne (Indre), en vain. En 2018, des perquisitions similaires ont aussi été menées dans un monastère de Roquebrune-sur-Argens (Var), mais aussi en 2011 dans celui de Sainte-Madeleine du Barroux (Vaucluse) où Xavier Dupont de Ligonnès avait effectué, dans les années 1980, plusieurs retraites spirituelles.

L’homme est suspecté d’avoir tué en avril 2011 sa femme et ses quatre enfants, dont les corps ont été retrouvés à Nantes sous la terrasse de la maison familiale. Lui n’a jamais été retrouvé. L’enquête n’a pas déterminé s’il était mort ou en fuite.

  • Ordre des prêcheurs (dominicains)
  • Faits divers

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Revenir à la page d'accueil : Couvent des Jacobins

Fermé (ouvert de 10h à 18h) Informations pratiques : horaires et tarifs

  • Billetterie

Guided tour : History and architecture

  • Visite guidée

Infos pratiques

  • Date et heure 12/04/2024 au 12/04/2024 16:30 à 17:30
  • Lieu Couvent des Jacobins
  • Public Tout Public

Guided tour : History and architecture

A medieval monastery at the heart of the city - Eight centuries of history

Guided tour

The Jacobins, a Dominican monastery built in 1229, is an exceptional testimony to southern gothic design.This brick architecture uses the same principles developed for the cathedrals of the Kingdom of France.Visit the convent: the church, the sacristy, the cloister, the chapterhouse, Saint Anthoninus chapel.

Immerse yourself in the Dominican Order history, whose influence shaped both the spiritual and cultural landscape of Toulouse during the middle-age. Marvel at the intricate rib vaults of the church, admire the delicate rose window, and explore the quiet cloister where monks once walked in contemplation.

Whether you are passionate about history, an architecture aficionado, or simply seeking a moment of serenity amidst the bustling streets of Toulouse, our guided tours offer an rewarding journey through time.

Book your visit

Hours : 4:30pm Duration : 45min From 12 years old

Entrance through the church. You can also buy your tickets on site.

Price : Admission ticket* + Guided tour ticket (3€) *The admission ticket grants you access to the exclusive exhibition  » ‘Cathares’. Toulouse dans la croisade  » (translated in english). Select the rate matching your situation.

Photo : © Patrice Nin

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Couvent de la Tourette

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Les Frères Dominicains du Couvent Sainte-Marie de La Tourette

Frère Christophe Boureux

Frère Pascal David

Frère Charles Desjobert

Frère Alain Durand

Frère Jean-François Duthilleul

Frère Jean-Baptiste Humbert

Frère Grégoire Laurent-Huyghues-Beaufond

Frère Jean-Etienne Long

Frère Jean Mansir

Frère Pascal Marin 

communaute-des-freres-domincains-de-la-tourette-oct-2023.jpg

Edition du Soir Isère

dim. 14/04/2024

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  • Démolition du couvent des Capucins : Denis Duperthuy « inquiet pour la chapelle »

Annecy Démolition du couvent des Capucins : Denis Duperthuy « inquiet pour la chapelle »

Denis Duperthuy.  Photo d’archives Le DL /M.R.

Le premier à s’être battu pour conserver l’ensemble conventuel des Capucins est l’élu du groupe “ Les Annéciens ”, Denis Duperthuy. C’était en 2011, il était à l’époque conseiller municipal socialiste d’opposition au...

...pour lire la suite, rejoignez notre communauté d'abonnés

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Couvent des Capucins démoli : « C’est un scandale » pour Jean-Luc Rigaut

IMAGES

  1. Transformation de l'ancien couvent des Dominicains pour les Archives de

    couvent des dominicains de tours

  2. Couvent des Dominicains

    couvent des dominicains de tours

  3. Couvent des Dominicains

    couvent des dominicains de tours

  4. Couvent des Dominicains

    couvent des dominicains de tours

  5. Ancienne chapelle du couvent des Dominicains

    couvent des dominicains de tours

  6. Paroisse Saint-Maurice

    couvent des dominicains de tours

VIDEO

  1. Les dominicains de Toulouse célèbrent saint Thomas d'Aquin

  2. Cap'e saint Martin !

  3. La Croix et les sept douleurs de la Sainte Vierge, 13 septembre 2015

  4. Souvenirs de Mgr Lefebvre, Conférence de Mgr Thomas d'Aquin

  5. Chorale de la paroisse des Dominicains de Toulouse

  6. Couvent de la Grande Bretèche

COMMENTS

  1. Tours

    Dimanche : 8h30. Vêpres. Du lundi au samedi : 19h. Messes. Du lundi au samedi : 12h15. Dimanche : 10h30. Sacrement de Réconciliation et confessions. Samedi : 10h à 12h et sur rendez-vous.

  2. Tours : le couvent des Dominicains fermera à l'été 2024

    C'est une page importante de la vie religieuse tourangelle qui se tournera à l'été 2024. À cette date, le couvent des Dominicains cessera son activité. Fondé au début du 13 e siècle, l ...

  3. Oratoire de la Sainte-Face

    Les Dominicains animent par ailleurs l'Espace Catherine de Sienne, dont l'accès est situé 1 quater rue Jules Simon à Tours. Contact : 02 47 75 30 60. Courriel : [email protected]. www.optours.fr. Site web de la paroisse Saint-Maurice, Cathédrale de Tours.

  4. Diocèse de Tours: Vie religieuse

    Communiqué du prieur provincial des Dominicains. Le chapitre provincial de la province de France qui s'est tenu du 27 décembre 2022 au 27 janvier 2023 a pris la décision difficile de la fermeture du couvent de Tours. Celle-ci ne prendra pas effet immédiatement, mais à l'été 2024.

  5. Notre Communauté

    NOTRE COUVENT. Sainte-Marie de La Tourette. Est inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 2016. Propriété de l'ordre des Dominicains, il est la dernière grande oeuvre en France de l'architecte Le Corbusier. icon; icon; icon ; NOS ACTIVITÉS. icon Séjourner; icon Visite Individuelle; icon Visite en Groupe; icon Séminaires Pro; icon Les Expositions; icon Les Rencontres; icon ...

  6. Pour le maintien du Couvent dominicain de l'Annonciation de Tours

    La fermeture définitive du Couvent de l'Annonciation des Dominicains de Tours est envisagée à l'été 2024. Le Sanctuaire de la Sainte-Face restera, quant à lui, ouvert. Depuis 2007, la communauté a en charge le Sanctuaire où reposent les restes de Sœur Marie-de-Saint-Pierre et ceux du Vénérable Léon Papin-Dupont.

  7. Réservez Votre Visite Individuelle au Couvent de La Tourette

    Réservez Votre Visite Individuelle au Couvent de La Tourette. English page here. Durant 1h30 environ, laissez-vous guider et visitez notre Couvent de l'intérieur. Découvrez l'univers des Frères Dominicains et le chef-d'œuvre de l'architecte Le Corbusier.

  8. Dominicains de Tours

    Dominicains de Tours, Tours, France. 2,581 likes · 1 talking about this · 29 were here. Les frères Dominicains de Tours animent l'Oratoire de la Sainte...

  9. Le Couvent

    NOTRE COUVENT. Sainte-Marie de La Tourette. Est inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 2016. Propriété de l'ordre des Dominicains, il est la dernière grande oeuvre en France de l'architecte Le Corbusier. icon; icon; icon ; NOS ACTIVITÉS. icon Séjourner; icon Visite Individuelle; icon Visite en Groupe; icon Séminaires Pro; icon Les Expositions; icon Les Rencontres; icon ...

  10. Dominicains de Tours

    Dominicains de Tours, Tours. 2 761 J'aime · 46 en parlent · 23 personnes étaient ici. Les frères Dominicains de Tours animent l'Oratoire de la Sainte Face et le centre de conférence l'Espace...

  11. PDF Dominicains

    Bibliothèque du couvent des dominicains Entrée 1 quater rue Jules Simon, Tours Accueil tous les jeudis (sauf vacances scolaires) de 14h à 18h. Dimanche 13 septembre 2015 10h30 Messe de rentrée Jeudi 24 et vendredi 25 décembre 2015 22h Messe de la nuit 10h30 Messe du jour de Noël Mardi 9 février 2016 Célébration de la Sainte Face et de la Miséricorde Du jeudi 24 au dimanche 27 mars ...

  12. L'oratoire de la sainte Face à Tours

    En 2007 l'archevêque de Tours a confié aux dominicains la charge pastorale de l'oratoire de la sainte Face avec la promotion de l'œuvre de réparation. Un père dominicain est le recteur de l'Oratoire de la sainte Face. Il est toujours possible de s'inscrire dans les registres de l'archiconfrérie. Cette inscription ...

  13. Dominicains

    Une communauté de 7 frères Dominicains assure l'accueil des pèlerins à la Sainte-Baume (à la grotte et à l'hôtellerie). Cet accueil des pèlerins est fort ancien puisque c'est en 1295 que, à l'instigation de Charles II d'Anjou, le pape Boniface VIII et l'Ordre de saint Dominique installaient une communauté de 4 frères en ce même lieu.

  14. Liste des couvents dominicains de France

    Cet article liste les couvents dominicains de France, c'est-à-dire les lieux en France où vivent des communautés de frères appartenant à l' ordre dominicain. Cette liste concerne en priorité les couvents actuels, mais contient aussi d'anciens couvents, signalés en italique .

  15. Couvent Des Dominicains de Tours Tours (adresse)

    Couvent Des Dominicains de Tours. Présentation Horaires Contact INSEE. Afficher le numéro. 02 47 75 30 60 02 47 75 30 60. 8 rue Bernard Palissy 37000 Tours - Y aller. www.optours.fr. Voir plus de coordonnées. Plus d'infos sur Couvent Des Dominicains de Tours : C'est mon entreprise, je mets à jour mes infos. Informations pratiques. Horaires. Lundi.

  16. Couvent Des Dominicains de Tours

    Découvrez Couvent Des Dominicains de Tours (8 Rue Bernard Palissy, 37000 Tours) avec toutes les photos du quartier, le plan d'accès, les avis et les infos pratiques : horaires, ...

  17. COUVENT DES DOMINICAINS DE TOURS

    COUVENT DES DOMINICAINS DE TOURS, congrégation, immatriculée sous le SIREN 512843871, est active depuis 15 ans. Domiciliée à TOURS (37000), elle est spécialisée dans le secteur des activités des organisations religieuses. Son effectif est compris entre 1 et 2 salariés. Societe.com recense 1 établissement, aucun événement .

  18. Edifices religieux

    4 - Le couvent des Jacobins ou Dominicains; Le couvent des Dominicains (ou Jacobins, ou encore des frères prêcheurs) est créé entre 1215 et 1221. Il fut le couvent le plus prestigieux de Dinan. Pourtant, c'est celui dont il reste le moins de traces aujourd'hui.

  19. Couvent des Jacobins de Toulouse

    Le couvent des Jacobins de Toulouse est un édifice religieux situé dans le centre de la ville de Toulouse , en France , à mi-chemin entre le Capitole et la Garonne , juste à côté du lycée Pierre-de-Fermat . Il est constitué d'une église dite « église des Jacobins », d'un cloître, d'une salle capitulaire, d'un réfectoire et d'une chapelle, la chapelle Saint-Antonin. Il est parfois ...

  20. Son histoire

    24 novembre 1943, achat du domaine de la Tourette par les frères dominicains. 3 février 1953, la Province dominicaine de Lyon fait le choix de Le Corbusier pour la construction de son couvent d'étude à la Tourette. 2 juillet 1959, installation des frères dans le couvent.

  21. Une histoire à Toulouse

    800 ans d'histoire à Toulouse. C'est en 1957 que notre couvent s'est installé à Rangueil. Mais l'aventure dominicaine a commencé à Toulouse dès 1215… Elle est marquée par des lieux comme la Maison Pierre Seilhan ou les Jacobins. L'intérieur de la chapelle à la maison Pierre Seilhan. Procession des reliques de saint Thomas d'Aquin aux Jacobins.

  22. Affaire Dupont de Ligonnès : une communauté dominicaine au cœur de

    Une femme pense avoir pu croiser Xavier Dupont de Ligonnès, recherché depuis treize ans pour le meurtre de sa famille, lors d'une veillée de prières le 9 mars au sein de la communauté des ...

  23. Coupe des champions de la CONCACAF 2024

    La Coupe des champions de la CONCACAF 2024 est la seizième édition de cette compétition. Cependant, c'est la 59 e fois que les clubs de la confédération se disputent le titre de leader de la CONCACAF. Le vainqueur représente la CONCACAF à la Coupe du monde des clubs de la FIFA 2025. Le Club León est le tenant du titre après son sacre en 2023 face au Los Angeles FC. Participants. Un ...

  24. Alors qu'il devait être sauvegardé, le couvent des Capucins va

    Fin 2018, la Ville d'Annecy décidait de vendre le couvent et la chapelle des Capucins à un promoteur privé en vue d'y construire un hôtel. Seule ...

  25. Guided tour : History and architecture

    The Jacobins, a Dominican monastery built in 1229, is an exceptional testimony to southern gothic design.This brick architecture uses the same principles developed for the cathedrals of the Kingdom of France.Visit the convent: the church, the sacristy, the cloister, the chapterhouse, Saint Anthoninus chapel.

  26. Les Frères

    Les Frères Dominicains du Couvent Sainte-Marie de La Tourette. Frère Christophe Boureux. Frère Pascal David. Frère Charles Desjobert . Frère Alain Durand. Frère Jean-François Duthilleul. Frère Jean-Baptiste Humbert. Frère Grégoire Laurent-Huyghues-Beaufond. Frère Jean-Etienne Long. Frère Jean Mansir. Frère Pascal Marin . NOTRE COUVENT. Sainte-Marie de La Tourette. Est inscrit au ...

  27. Annecy Démolition du couvent des Capucins : Denis Duperthuy « inquiet

    Le premier à s'être battu pour conserver l'ensemble conventuel des Capucins est l'élu du groupe " Les Annéciens ", Denis Duperthuy. C'était en ...