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Conservatoire de la tomate, château de la Bourdaisière - Indre et Loire (37)

C'est en 1998 que Louis Albert de Broglie crée le Conservatoire de la tomate au Château de la Bourdaisière qui s'étend sur 55 ha, acquis quelques années plus tôt. Descendant d'une famille de la noblesse comptant des académiciens, un ministre et un prix Nobel, Louis Albert de Broglie, lui, se passionne pour la botanique, notamment les tomates qu'il plante , pour atteindre aujourd’hui 650 variétés venues du monde entier, les premières venant d'Inde et d'Asie. Dès lors, fort de ce patrimoine végétal dont il préserve la biodiversité, la création du Conservatoire de la tomate s'imposait donc.

Aujourd'hui, les collectionneurs continuent d'enrichir ce patrimoine pour offrir aux visiteurs la possibilité de découvrir des tomates anciennes allongées, rondes, jaunes, vertes, noires, rouges, en coeur et avec d'infinies autres caractéristiques. Devant ce patrimoine, on comprend vite l'intérêt de préserver cette biodiversité pour la survie des espèces.

Une déclinaison de tout ce qui est lié à ce fruit se développe, en parallèle, naturellement au château de la Bourdaisière. Un "bar à tomates" est ouvert en saison, de mai à fin octobre, proposant de se restaurer à partir des plantes, fruits, légumes, herbes aromatiques et médicinales récoltées sur place. Tisanes, jus de tomates et de fruits, salades, soupes, assiettes de produits locaux sont à la carte.

La marque "Le Prince Jardinier" propose aussi des outils et accessoires de jardin très chics et prestigieux, fabriqués en France.

Au delà de la tomate , ce sont autour de 150 autres légumes que le potager fait pousser, une centaine d'arbres fuitiers de colection au verger, ainsi qu'un jardin de plantes médicinales. Un "Dahliacolor" rassemble une collection de plus de 240 variétés de dalhias . Depuis octobre 2013 un projet géré par l'association "Fermes d'avenir", inspiré de la permaculture s'est installé dans l'enceinte du château. Les jardins se visitent donc avec enchantement, surtout depuis 2010, date à laquelle ils ont été redessinés par Louis Benech, célèbre paysagiste français.

Des évènements sont régulièrement organisés, en plus des évènements privés tels que séminaires, mariages et autres réceptions : la fête des plantes et des poules en avril pour une chasse aux oeufs exceptionnelle, le soutien au Neurodon durant un week-end de mai, les Rendez-vous au jardin en juin, les journées du patrimoine en septembre, sans oublier l'évènement phare qui est le festival de la tomate mi-septembre chaque année !

Infos pratiques

Conservatoire de la tomate Château de la Bourdaisière 25 Rue de la Bourdaisière 37270 Montlouis-sur-Loire à 10 km de Tours

E-mail : [email protected] Tél : +33(0)2 47 45 16 31

Ouverture au public du 1er avril au 31 octobre de 10h à 19h.

Crédit photo : © labourdaisiere.com

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4 commentaires.

j'ai vu avec interet un reportage sur votre domaine, notamment la plantation des tomates en forme de "tipi".

Pourriez-vous me dire les distances de plantation, la hauteur des tuteurs et quels sont les avantages d'une telle technique pour le moins originale.

J'habite dans la région Toulousaine.

Merci d'avance pour votre réponse.

Cordialement.

Bonjour, quel amendement apportez vous à vos tomates en ce moment ? Merci

Je suis allé au mariage de ma nièce l'année dernière au Chateau de la Bourdarsiere, j'ai acheté des graines de tomates que j'ai planté en mai cette année, j'ai les tomates blanches très fragiles avec des fissures, mais aussi les tomates noires petites et fissurées de partout. Est-elle normale ? Qu'est-ce que je fais mal ? Je vis à Pensilvania USA. Merci pour votre réponse.

J'ai un paquet de semences de tomates et malheureusement pas une seule a levé, un peu déçu !!!!

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CHATEAU-HÔTEL DE LA BOURDAISIERE – CONSERVATOIRE NATIONAL DE LA TOMATE

Le mariage au Château de Marie Gaudin, héritière de La Bourdaisière et Philibert Babou, descendant d’une grande lignée de notaires de Bourges , marque le début d’une première période de prospérité. Marie Gaudin était réputée être « la plus belle femme de son temps » . Elle sera d’ailleurs la première maîtresse du Roi François Ier, ce qui aidera certainement la carrière de son époux. En effet Philibert Babou reçut du Roi de multiples charges et honneurs qui lui permirent d’asseoir sa fortune et de réaliser, vers 1518-1522, la reconstruction de la vieille forteresse médiévale en une demeure campagnarde, composée d’un châtelet d’entrée à haute toiture ouvrant sur un pont levis enjambant les douves, prolongé vers le nord d’une aile le reliant au donjon du moyen âge. 

Au décès de Marie Gaudin, veuve de Philibert Babou depuis quatorze ans, la Bourdaisière reviendra à leur fils aîné Jean II qui sera, entre autre, Grand-Maître de l’Artillerie du Royaume (ministre de la Défense). Compte tenu des temps troublés de cette époque par les guerres de religion il jugea préférable de fortifier le château en aménageant, en 1567-1568, la tour sud-est des remparts d’une caponnière munie de bouches à feu et en dégageant les douves. C’est en novembre 1569 qu’il laissa par son décès le domaine de la Bourdaisière à son fils aîné Georges Ier Babou, Comte de Sagonne. Il fit construire vers 1595 une ferme aux allures de « manoir champêtre » et un cellier percé à flanc de coteau appelé aujourd’hui chapelle troglodyte. 

Le 2 septembre 1991 il est acquis par les Princes de Broglie.

Lire la suite

Le Conservatoire national de la Tomate

Créé en 1998 par Louis Albert de Broglie, cette collection unique au monde rassemble 700 variétés de tomates , offrant ainsi un panorama inédit de ce fruit aux richesses insoupçonnées.

L’idée a germé lors de voyages en Inde et en Asie, d’où furent rapportées les premières graines. Les collectionneurs et les jardins botaniques du monde entier ont ensuite permis d’enrichir le conservatoire. Rondes, allongées ou en forme de cœur, noires, vertes ou jaunes, ces tomates anciennes portent des noms étonnants : Dix doigts de Naples, Rouge d’Irak, Erika d’Australie, Cornue des Andes…

En mettant en avant la richesse naturelle de notre planète, l’objectif de Louis Albert de Broglie est ainsi de permettre à un très large public de regarder, comprendre et apprendre les enjeux de la préservation de cette biodiversité afin de  transmettre aux générations futures  les fondements essentiels à la survie des espèces.

A la boutique du Château, vous retrouverez plus de 375 variétés de graines récoltées en Septembre 2022 au Conservatoire.

Château-Hôtel

14 chambres dans le château dont 3 appartements , 12 chambres dans le Pavillon Choiseul comprenant 1 appartement . Décorées avec les tissus signés Braquenié de la maison Pierre Frey, toutes les chambres portent le nom d’un personnage qui illustre l’histoire de la Touraine ou de ce Château.

Toutes les chambres ont vue sur le parc.

Le Dahliacolor

Inauguré au printemps 2008, le DAHLIACOLOR® a été repensé en 2012 par le célèbre paysagiste Louis Benech.

Jardin contemporain  composé de parterres de dahlias de plusieurs variétés traités comme des taches de couleur, il permet de découvrir l’extraordinaire biodiversité de cette fleur éclatante et généreuse. Ce jardin regroupe aujourd’hui plus de  5 000 tubercules , avec  400 variétés différentes  dans la forme et la couleur. Une allée pédagogique permettra aux visiteurs de reconnaître les différentes espèces exposées dans le jardin.

Le Parc de la Bourdaisière présente un verger d’ arbres fruitiers de collections , de  plus de 100 de variétés . Se promener dans le verger nous rappelle à la découverte de ces fruits tombés des arbres et à la  biodiversité , qu’il est aujourd’hui plus que jamais indispensable de préserver.

• LES CONFRERIES DES VINS DE LA TOURAINE

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Balade au Conservatoire national de la tomate

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Accueil > Permaculture > Pascal Poot : Le conservatoire de la tomate

Pascal Poot : Le conservatoire de la tomate

Publié le 28 juillet 2017

Le conservatoire de la tomate en permaculture :

Cet agriculteur atypique – il n’a jamais mis les pieds à l’école sauf pour enseigner ses méthodes à des étudiants agronomes – a toujours été à contre-courant. Quand les productivistes arrosent, traitent et désherbent à tout-va, lui laisse la nature faire. «Il n’y a pas vraiment de mot en français pour expliquer ce que je fais. Les chercheurs disent que c’est de la régénération. J’apprends aux variétés que je cultive à résister à la sécheresse et aux maladies en ne les soignant jamais.» Le résultat, après un comparatif de dix échantillons avec des hybrides, semble probant. « Mes plants, cultivés dans des conditions normales, produisent 11,5 kg par mois au m² contre 10,5 à 6 kg pour les hybrides. Elles ont le double de sucre, protéine, vitamine C et antioxydant. » Une réussite atteinte après quarante ans de dur labeur et de scrupuleuse observation. « L’agriculture est empirique. Ce qui marche ici n’est pas forcément valable ailleurs. » Lui connaît sa terre de tuf, schiste et vieux calcaire comme personne.

Paradis oublié entre Lodève et le Salagou, que Pascal Poot ressuscite les tomates d’antan. Il avait 4 ans à peine lorsque son père, qui avait quitté son cabinet de psy pour cultiver la terre en 1966, lui confie sa première parcelle. « C’était un intellectuel qui a tout revendu année après année pour survivre. J’ai racheté 30 hectares, j’en cultive 3. » Outre les tomates, Pascal Poot produit 150 autres variétés de fruits et légumes. Certains sont introuvables tel le concombre citron. Un régal à croquer avant qu’il ne devienne jaune. Des goûts aujourd’hui oubliés, sacrifiés sur l’autel du productivisme. « Les semences qui absorbent l’eau et les engrais et qui résistent au transport ont été favorisées. Les producteurs sont dépendants des centrales d’achat. La marchandise est ainsi plus facilement contrôlée et taxée. » Un système lié à l’économie du pétrole, antinomique du développement durable. La crise incitera peut-être les gens à consommer autrement.

Pascal Poot Le conservatoire de la tomate, La Roque, 34700 Olmet (04 67 96 69 83 – 06 83 13 26 50)

Video 15′ :

Vidéo Octobre 2015, 17′ :

Vidéo novembre 2016, 42′ :

Un article du NouvelOb nous parle de Pascal Poot “conservateur” de tomates.

http://rue89.nouvelobs.com/2015/03/04/tomates-sans-eau-ni-pesticide-cette-methode-fascine-les-biologistes-257958

Commentaire d’un  lecteur : “ Ca me fait penser au “carré Fukuoka” que Jacques Mittler voulait faire ici : on sème à la volée tout ce qui nous intéresse, mélangé, au même endroit, et on regarde ce qui sort et s’épanouit le mieux, et on recommence avec ça l’an suivant. 

Par contre, en récoltant le fruit “le plus tard possible” pour qu’il expérimente sécheresse de l’été et pluies d’automne, on va favoriser les traits génétiques les plus “tardifs”, logiquement? 

Dans la methode du SRI ( http://tristanlecomte.purprojet.com/tristan/2010/08/la-methode-sri-ou-comment-cultiver-le-riz-sans-eau.html ), la petite dame Malgache venue aux entretiens de Millancay 2012,  surnommée “Madame 0%” par ses voisins (parce qu’elle ne perd pas un grain de riz) expliquait  qu’elle prend les premiers grains de riz qui tombent lorsqu’on touche une touffe de riz, pour ressemer, parce que ce sont les meilleurs, ceux qui sont le plus à maturité et prêts les premiers… ? 

Peut être faire les deux, pour étendre la saison de fructification? 

Ce qui me paraît aussi intéressant c’est qu’on peut faire ça avec quelques pieds ici et là, pour les semences, sans avoir besoin de passer directement toute les buttes dans ce mode de culture. Donc transitionner graduellement au fur et à mesure que ça fonctionne, tout en gardant une récolte correcte tout du long.”

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Le château de la Bourdaisière, conservatoire de la tomate

Château de la Bourdaisière

Montlouis sur Loire

Horaires : L'hôtel est ouvert du 15 mars au 15 novembre et du 26 décembre au 4 janvier et toute l'année sur demande pour mariages, groupes et séminaires. Les jardins sont ouverts au public du 1er avril au 30 avril et du 1er octobre au 31 octobre de 11h à 18h ; du 1er mai au 30 septembre de 10h à 19h.

02 47 45 16 31

Site de La Bourdaisière

Situé à 20 minutes de Tours , dans le village de Montlouis-sur-Loire, le château de la Bourdaisière vous invite à passer une nuit de rêve dans un hôtel de charme aux jardins somptueux, où la tomate est reine…

Plus qu’un séjour dans un château-hôtel, le propriétaire Louis Albert de Broglie vous invite à découvrir son univers au château de la Bourdaisière. Bien qu’il soit connu principalement pour ses jardins et son Potager-Conservatoire national de la Tomate, le château de la Bourdaisière n’en est pas moins chargé d’histoire.

Le château de la Bourdaisière, un monument historique de Touraine

Un hôtel au charme élégant

Offrez-vous une nuit de rêve dans ce merveilleux monument, un hôtel de charme à la décoration élégante et raffinée … Tissus signés Braquenié, antiquités chinoises, mobilier griffé Le Prince Jardinier : chaque pièce raconte sa propre histoire.

Les 25 chambres et le gîte, décorés avec goût,  offrent une vue imprenable sur le parc et ses arbres remarquables. Une vraie vie de châtelain vous attend. 😉

Des réceptions exceptionnelles

Des jardins incroyables où la tomate est reine

Le château de la Bourdaisière, ce n’est pas que des pierres, c’est aussi un lieu où la nature est préservée et respectée  : elle s’épanouit tranquillement, nous invitant à la détente et à la flânerie bucolique…

Les jardins conservent toute une collection de tomates : 700 variétés cultivées , faisant de la Bourdaisière un véritable conservatoire de la tomate . Quatre cents  dahlias viennent s’ajouter à cette palette de couleurs, ainsi que des arbres fruitiers et une réplique du capitulaire de Villis , jardin doté de 73 plantes médicinales et aromatiques cultivées dans les douves, comme de la menthe ou du basilic…

Côté restauration

Envie de déguster des tomates ou d’autres produits du jardin ? Rendez-vous au Bar à Tomates ou au salon de thé afin de goûter des produits locaux ou des  vins  en provenance directe du jardin établi en face de l’établissement (jus de fruits frais, tisanes de plantes médicinales, jus de tomates et salades…). On en a l’eau à la bouche 😉 .

Destination bien-être

Si la région offre de multiples possibilités de visites touristiques et d’activités sportives (parcours de la  Loire à vélo  à partir de la propriété, descente de la Loire en gabare, etc.), le parc du château est dédié au bien-être. Eh oui ! Ici, on se la coule douce ! Vous pourrez profiter d’une piscine et d’un terrain de tennis ou faire   de  grandes promenades dans le parc de 55 hectares et découvrir des expositions en plein air des planches de la maison Deyrolle . Des massages sont également proposés en chambre. Si ce n’est pas le paradis !

Offrez-vous un séjour de rêve ou une réception exceptionnelle au château de la Bourdaisière, entre nature et prestige.

Crédits photo : © Marc Dantan, © Château de la Bourdaisière

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Une collection de tomates unique au monde près de Tours

• Frédérique Le Teurnier ,
• Denis Faroud
• France Bleu

Frédérique Le Teurnier et Denis Faroud s’intéressent également à un musée Platini qui devrait voir le jour en 2020 et au théâtre immersif.

Au sommaire aujourd’hui :

- Le conservatoire de la tomate . Une collection unique au monde

- Un musée Platini ? Il devrait voir le jour en 2020.

- Le théâtre immersif . Quand le spectateur évolue au cœur de l’action

Ce week-end à lieu le festival de la tomate au château de la Bourdaisière près de Tours, où se trouve le conservatoire de la tomate imaginé en 1998 par Louis Albert de Broglie.

L'idée de créé un tel endroit a germé lors de voyages en Inde et en Asie d’où furent rapportées les premières graines de tomates. 

Aujourd’hui encore, les collectionneurs et les jardins botaniques du monde entier continuent d'enrichir le conservatoire. 

Rondes, allongées ou en forme de cœur, noires, vertes ou jaunes, ces tomates anciennes portent des noms étonnants : Cornue des Andes, Rouge d'Irak, Dix doigts de Naples, Erika d'Australie... La collection du château rassemble 650 variétés de tomates, offrant ainsi un panorama inédit de ce fruit aux richesses insoupçonnées. 

Le potager est cultivé selon les normes de l' agriculture biologique . Les pieds de tomates sont plantés à la mi-mai et les premières variétés sont à maturité mi-juillet. La production s'étale ensuite jusqu'à octobre... 

Ce conservatoire est agréé par le CCVS, Conservatoire français des Collections Végétales Spécialisées . Mettant en avant la richesse naturelle de notre planète, Louis-Albert de Broglie souhaite permettre à un large public de regarder, comprendre et apprendre les enjeux de la préservation de cette biodiversité afin de transmettre aux générations futures les fondements essentiels à la survie des espèces. 

Une déclinaison de tout ce qui est lié à ce fruit se développe, en parallèle, naturellement au château de la Bourdaisière. Un " bar à tomates " est ouvert en saison, de mai à fin octobre, proposant de se restaurer à partir des plantes, fruits, légumes, herbes aromatiques et médicinales récoltées sur place. Tisanes, jus de tomates et de fruits, salades, soupes, assiettes de produits locaux sont à la carte.

► Pour en parler : Nicolas Toutain, le chef jardinier

► En savoir + : le site internet du château de la Bourdaisière 

La petite ville de Joeuf, où Michel Platini a tapé dans ses premiers ballons, projette d'ouvrir d'ici à 2020 un musée dédié à cette figure du football mondial et à son père Aldo.

L'idée a été évoquée entre les différentes parties - la ville, la famille Platini et le District de football - lors des obsèques d'Aldo Platini en décembre dernier.  

Il rassemblera des objets ayant appartenu à l'ancien directeur sportif de l'ASNL et à son fils Michel Platini. 

Il occupera les locaux du collège Barrès qui doit fermer à la rentrée.

► Pour en parler : Gérard Keff , vice-président de la commission des sports à Joeuf.

► A lire également : Un musée Platini va voir le jour à Joeuf

Dans une ancienne usine de 1.200 m2, située au cœur du Vème arrondissement de Paris, a ouvert le 29 juin dernier Le Secret .

Ce lieu éphémère est dédié aux expériences immersives et conçu pour repenser le rapport scène-salle , en plaçant le spectateur au plus près des artistes.

Helsingør – château d’Hamlet

Il s’agit ici d’une adaptation en théâtre immersif de la pièce de Shakespeare .

Pour comprendre le principe du théâtre immersif, il faut imaginer un espace de jeu où le « hors-scène » n’existe pas. Le public peut aller où il le désire. Il est libre d’évoluer au cœur de l’action et d’y perdre ses repères…

Ici, les parcours se déploient en temps réel dans un espace à six dimensions : une salle du trône, trois chambres, une chapelle, et un parc. Les intrigues se jouent en simultané et s’entrecroisent dans une narration en arborescence. 

Ainsi, cette pièce grandiose se révèle une expérience insolite de la folie et de la peur, aux multiples points de vue, qui entraîne chaque spectateur dans une tragédie esthétique et métaphysique.

► Pour en parler : le metteur en scène Léonard Matton et Stan qui interprète Hamlet

► En savoir + : le site internet et la page Facebook du lieu Le secret

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Dominant la vallée du Cher, le parc et les jardins de La Bourdaisière sont un haut lieu de la biodiversité. Ce laboratoire de la nature aux multiples couleurs a été imaginé et créé par Louis-Albert de Broglie, surnommé le Prince Jardinier. En se promenan

Venez visiter le potager conservatoire National de la tomate et le Dahlia Color (juillet-octobre), le parcours pédagogique "école de la Nature", 40 planches anciennes et nouvelles de la maison Deyrolle autour de la zoologie, la botanique, les enjeux environnementaux et sociétaux contemporains, sans oublier les essences remarquables dans les 62 hectares du parc: cèdres, séquoias, châtaigniers et chênes.

« Joli parc du château avec parcours intéressant en compagnie du petit prince. Le parcours est un peu difficile avec une poussette. Il doit être encore plus joli l été avec le potager, vide en avril. A faire par beau temps ! »

« Très belle visite des jardins du château, de la cave des sous sols, avec les petites activités dans le jardin, le potager , les roses, les dahlias sont magnifiques pas eu le temps de prendre quelque chose au bar à tomates »

« Jardin agréable et exposition instructive sur les jardins et en particulier les tomates. Beaucoup de variétés présentes mais pas forcément hors saison. Petite boutique qui ravira les amoureux du jardinage avec des petits ces spires mignons. »

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Idée de sortie : 700 variétés de tomates à découvrir au festival de la tomate et des saveurs, à Montlouis-sur-Loire

Malgré la météo pluvieuse, la 23ème édition du Festival de la tomate et des saveurs aura lieu les 11 et 12 septembre à Montlouis-sur-Loire. L’occasion de découvrir le travail du chef jardinier qui prend soin de 700 variétés de tomates dans le potager conservatoire du château de la Bourdaisière.

Créé en 1998 par Louis-Albert de Broglie, le propriétaire du château de la Bourdaisière , le Conservatoire national de la Tomate est un réservoir de biodiversité avec ses 700 variétés pour 1500 plants de tomates. Amateurs et gourmands se retrouvent chaque année pour fêter ce fruit estival. Mais cette année, la pluie a failli gâcher la fête.

Nicolas Toutain, le chef jardinier a dû mettre les bouchées doubles pour prévenir et limiter les dégâts du mildiou, un champignon qui s’épanouit avec la pluie et les températures douces et peut attaquer les feuilles de tomates, les tiges et même les fruits.

L’été le plus humide depuis 40 ans en Touraine

Nicolas Toutain rappelle que l’été a été frais avec de nombreux épisodes de pluie en mai, juin et juillet, une météo idéale pour le développement du mildiou.

"Cette année, comme partout, on a été très attaqué par le mildiou. J’ai réussi à sauver une grande partie de la collection mais c’est vrai qu’il y a une partie des plants qui ont été très abimés, voire certains qui sont morts mais je m’en sors plutôt pas trop mal."

Comment sauver les tomates du mildiou ? C’est la question que se posent tous les jardiniers, amateurs ou professionnels.

Nicolas a traité les plants de tomate beaucoup plus qu’à l’accoutumée. Dans le Conservatoire de tomates en culture bio, c’est la bouillie bordelaise (à base de sulfate de cuivre) et du bicarbonate de sodium qui ont été utilisés dès le mois de juin.

J’ai eu une fréquence de traitement très inhabituelle, toutes les semaines en juin et 2 fois par semaine en juillet jusqu’au 15 août. Des traitements en alternance avec des purins d’ortie, de prêle et de consoude pour fortifier les plants, ils apportent des oligoéléments à la plante.

Les variétés les plus résistantes au mildiou sont les tomates cerise et Nicolas Toutain a même découvert une variété presque inconnue, indemne.

"C’est Lumina, qui ressemble à une petite cornue des Andes. Elle n’a pas été touchée du tout par le mildiou. C’est la première fois que je parle de cette variété, elle était un peu anonyme dans la collection, elle était restée anonyme mais il a fallu une année exceptionnelle comme celle-ci pour se rendre compte qu’elle est intéressante."

Chaque année je propose des plants de tomates en vente à Pâques pour la fête des Plantes doc je vais recueillir des graines pour proposer Lumina l’année prochaine comme une des rares variétés qui résistent au mildiou.

"Il faut relativiser par rapport à l’année dernière où le potager était magnifique et regorgeait de milliers de tomates parfaitement mûres sur des plants très sains, même si cette année on a sauvé plus de ¾ des plants, les tomates ont moins de saveur." Depuis le 15 août la situation s’améliore et les premières semaines de septembre ont apporté soleil et chaleur, un cocktail idéal pour les tomates. Mais Nicolas Toutain est un jardinier exigeant.

"Je vais insister là-dessus, pendant le festival de la tomate, c’est de montrer que quand on est sur une culture bio, en extérieur, il faut se rappeler que la tomate est une culture d’exception, très exigeante et donc il y a des années où ça va et d’autres où ça peut être catastrophique. Ces dernières années on avait des étés chauds et secs qui allaient très bien pour la tomate mais il ne faut pas oublier que c’est une culture exceptionnelle, pas facile à réussir" .

Pendant 2 jours  les curieux et jardiniers amateurs pourront profiter des conseils du chef jardinier de la Bourdaisière mais aussi de la découverte d’une cinquantaine d’exposants, de conférences sur le thème de la tomate et de l’alimentation, de démonstrations culinaires et d’animations pour les enfants.

Informations pratiques

Festival de la tomate et des saveurs les 11 et 12 septembre 2021 de 10h à 18h au château de la Bourdaisière à Montlouis-sur-Loire.

Entrée 7,50€ par personne, gratuit pour les moins de 10 ans

Pour aller plus loin

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• copier le lien https://france3-regions.francetvinfo.fr/centre-val-de-loire/idee-de-sortie-700-varietes-de-tomates-a-decouvrir-au-festival-de-la-tomate-et-des-saveurs-a-montlouis-sur-loire-2234317.html
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Incubateur de projets innovants autour de la tomate

N é de la rencontre entre Louis Albert de Broglie (Propriétaire du Domaine de la Bourdaisière), Laurent Bergé (Président de l’Association d’Organisations de Producteurs nationale « Tomates et Concombres de France ») et Arnaud Lebert (Entrepreneur, La Ressourceraie), Tomato Lab est le fruit d’un constat partagé : le Conservatoire national de la Tomate possède une ressource inégalée, inexplorée et inexploitée de composés végétaux organiques et chimiques naturels à valoriser.

Sous la forme d’une structure physique située à La Bourdaisière, articulant recherche appliquée et développement industriel, l’objectif du Tomato Lab® est de profiter de la richesse du patrimoine génétique présent au Conservatoire pour développer des produits et des services issus de la tomate et de l’ensemble de ses composants (tiges, feuilles, graines, etc.) et de favoriser les opportunités que cette diversité apporterait à la filière de production (AOP). Les champs d’applications des projets développés au Tomato Lab® seront divers : autour des fibres, de la pigmentation de la tomate, de la cosmétique, etc.

Le Tomato Lab a pour objectifs de : • Répertorier l’exceptionnelle diversité de ce fruit ; • Analyser les propriétés scientifiques des variétés, notamment sur les plans agroalimentaire, cosmétique, médicinal et industriel ; • Créer des opportunités de développement (aval) pour la filière.

Le Tomato Lab se veut à la fois :

• une plateforme où seront rassemblés tous les acteurs en amont et en aval de la filière tomate (obtenteurs, producteurs, chercheurs, transformateurs…) ;
• un accélérateur/facilitateur de projets innovants autour de la tomate ;
• un incubateur de projets prometteurs autour de la tomate.

Signature d’un accord de confidentialité entre le Tomato Lab et l’université de Tours. Laurent Bergé, président de l’AOP Tomates et Concombres de France,  Louis-Albert de Broglie, propriétaire du Château de la Bourdaisière, Arnaud Lebert, en charge de la Ressourceraie et Benoist Pierre, directeur du CESR.

La presse en parle :

• LA NOUVELLE RÉPUBLIQUE : Avec le Tomato Lab, la tomate sort de nos assiettes
• MEDIAFEL: L’innovation au coeur du Tomato Lab
• REUSSIR FRUITS ET LEGUMES : le Tomato Lab au Festival de la Tomate
• RTL : Recyclage : bientôt des vêtements en fibre de tomate ?
• PLURIS : matière première d’avenir

Pigments de couleur issus de tomates et de tiges de tomates, développés par Valérie Anne

Projets en cours

• La marque de jus frais NoFilter haut de gamme créée par Marin Mulliez offre une solution au gaspillage alimentaire en revalorisant les tomates bio écartés des circuits de distribution.
• Chez Cœur de couleurs , Valérie Anne créé des pigments de couleur naturels issus des tomates invendues. Du vert avec  les tiges, du rouge, de l’orange et du jaune avec les fruits. Elle aimerait installer ses machines directement chez les producteurs.
• Création d’une fibre textile à base des tiges de tomate
• Réflexion sur la technique de zéodratation pour déshydrater les tomates en conservant toutes leurs caractéristiques organoleptiques…

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