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15 voyages hors des sentiers battus à faire en 2023

Lonely Planet

• Publié le 05/01/2023 11 minutes de lecture

Et si, en 2023, vous preniez les chemins de traverse ? Du Suriname à Con Son au Vietnam , en passant par la région du Kanchenjunga au Népal … nous vous proposons 15 destinations passionnantes restées dans l’ombre des sites incontournables. Tous ces endroits sont issus de notre nouveau guide « Voyages hors des sentiers battus » qui vous propose 100 alternatives aux lieux les plus fréquentés de la planète.Alors, quel sera votre prochain voyage hors des sentiers battus ?

Le petit royaume montagnard qui investit dans le tourisme communautaire

Dominé par le Drakensberg et les monts Maluti, le minuscule Lesotho peut se targuer d’être le pays le plus haut de la planète, avec une altitude minimum de 1400 m. Lors d’un trek ou d’une randonnée sur un robuste poney Basatho dans des paysages montagneux à la population rare, vous croiserez plus sûrement un berger enveloppé dans une couverture en laine traditionnelle à motifs colorés que des touristes.En 2019, seuls 800000 touristes internationaux ont franchi les cols à plus de 3000 m de cet ancien protectorat britannique, contre les 15,8 millions qui ont exploré les Table Mountain, le Blyde River Canyon et les autres grands sites de l’Afrique du Sud , qui enserre le territoire.Les lodges pour backpackers gérés par les communautés locales, souvent dans les anciens comptoirs perchés qui desservaient les villages de rondavels (cases rondes coiffées de chaume), sont le secret bien gardé des voyageurs avertis.

Tétouan, Maroc

La cité blanche du Marc a des parfums d’Andalousie

Avec ses maisons immaculées s’étageant sur les flancs d’une vallée du Rif, la petite Tétouan possède un charme irrésistible . Port fondé par les Phéniciens, la ville conserve des vestiges romains du IIIe siècle. Elle doit son air cosmopolite à plusieurs vagues d’immigration intervenues au fil des siècles. Les juifs et les maures chassés de la péninsule Ibérique au VXe siècle s’y installèrent, suivi à la période ottomane par les Algériens fuyant la colonisation française. Entre 1912 et 1956, Tétouan fut la capitale du protectorat établi par l’Espagne dans le nord du Maroc .

Les bâtiments Art nouveau du quartier espagnol contrastent avec le lacis des ruelles de la médina. La présence d’une Ecole des beaux-arts de premier plan, d’un des meilleurs musées d’art contemporain du pays et de l’école royale d’artisanat, qui forment des jeunes à des savoir-faire traditionnels comme le travail du cuir et la fabrication de zelliges, constituent des atouts supplémentaires. Pourtant Tétouan reçoit moitié moins de touristes que sa voisine Chefchaouen.

Con Son, Vietnam

Un havre de nature protégé et un refuge de tortues de mer

Parmi les 16 îles et îlots volcaniques bordés de coraux de l’archipel de Con Dao, au large du sud du Vietnam, Con Son semble à des années-lumière des villes affairées du delta du Mékong . Ce territoire de 52 km2 et quelque 700 habitants, dont les montagnes descendent jusqu’au rivage, possède de larges étendues de forêt préservées , des lacs couverts de lotus et des plages parmi les plus belles du pays .Des tortues de mer viennent pondre sur le sable, tandis qu’une faute abondante évolue dans les eaux où gisent plusieurs épaves. L’île abrite aussi plus de 80 espèces d’oiseaux et l’on peut y voir une sous-espèce endémique de macaque à longue queue. Mais, sous ses airs de paradis tropical , Con Son cache un sombre passé. Elle fut en effet un enfer pour des milliers d’opposants à la colonisation française et détenus de droit commun qui croupirent au bagne de l’ancienne Poulo Condore, transformé plus tard en camp de rééducation par le régime pro-américain du Sud-Vietnam. Les anciennes geôles et les cimetières témoignent de ces souffrances.

Nagaland, Inde

Une immersion dans l’univers ethnique du « fast east » indien

Longtemps, le Nagaland a été la terra incognita de l’Inde, une sorte de frontière ultime, bornée par des montagnes brumeuses et émaillée de villages ethniques , aussi fascinante que hors d’atteinte pour cause de lourdeurs bureaucratiques héritées de l’époque coloniale. Depuis une dizaine d’années, les obstacles au voyage s’amenuisent peu à peu, mais l’information a mis du temps à se diffuser. En 2019, moins de 6 000 étrangers ont visité cet Etat contre 1,6 million pour le Rajasthan .

Autrefois qualifiés de chasseurs de têtes , les différents groupes nagas ont conservé nombre de leurs traditions ancestrales . Si la plupart se sont convertis à la foi chrétienne, des pratiques animistes demeurent, comme celle de décorer les maisons avec des crânes de buffle. Voyager dans cette contrée lointaine n’est cependant pas de toute repos. Il faut composer avec la lenteur des transports et un manque de confort certain . En revanche, loger chez des villageois permet une immersion en profondeur dans une culture unique. Cerise sur le gâteau, vous ne croiserez guère d’autres étrangers.

Shikoku, Japon

A la découverte de l’île spirituelle et écolo du Japon

Shikoku figure rarement sur l’itinéraire des voyageurs étrangers au Japon . L’île a pourtant de nombreux atouts, notamment des évènements comme le festival de danse traditionnelle Awa Odori Matsuri, qui attire en août une foule de visiteurs nippons dans la ville de Tokushima. De même la Triennale de Setouchi, un festival d’art contemporain , se déroule à Naoshima, Shodo-Shima et d’autres îles de la mer intérieur de Seto dépendant de la préfecture de Kagawa. Enfin, le vénérable Dogo Onsen de Matsuyama se classe parmi les plus anciens bains thermaux du pays.

L’île abrite en outre des destinations plus confidentielles. Ainsi le village vert de Kamikatsu, champion du développement durable , et la vallée de l’Iya, où l’on peu loger dans une kominka (chaumière traditionnelle) du XVIIIe siècle et descendre en rafting le cours supérieur de la Yoshina-gawa. Vous pourrez parcourir dans la foulée tout ou partie du chemin de pèlerinage des 88 temples ou vous joindre aux surfeurs sur le littoral accidenté du Pacifique, entre les caps Muroto et Ashizuri.

Région du Kanchenjunga, Népal

Un trek dans l’Himalaya népalais à l’état brut

Plus de 57 000 trekkeurs et alpinistes se bousculent chaque année sur l’itinéraire qui gravit l’Everest aux deux tiers jusqu’à son camp de base . Ceux qui rêvent de paysages tout aussi spectaculaires enveloppés d’un silence de cathédrale choisissent plutôt la région sauvage et déserte du Kanchenjunga (8 586 m), troisième plus haut sommet de la planète, à l’extrême est du Népal.

Les 900 visiteurs annuels du Kanchenjunga Conservation Arez n’ont pas droit à une tarte aux pomme à chaque étape comme ceux qui s’attaquent au Toit du monde. Ils doivent obligatoirement recourir à une agence de trekking pour assurer la logistique le long des sentiers ardus qui mènent aux camps de vase de Pang Pema et de Ramche.

Seuls quelques villages ruraux fournissent des repas chauds aux courageux qui se risquent dans cette contrée loin de tout. Mais qu’importe l’effort déployé, le décor naturel époustouflant vous rembourse au centuple.

Nord de Luzon, Philippines

Ethnies montagnards, architecture coloniale et îles lointaines

Alors que les plages de sable blanc et les sites de plongée autour de Boracay, Ceb et El Nido jouissent d’une renommée mondiale, le nord de Luzon reste souvent ignoré des touristes. La région résume pourtant l’essence du pays mieux que toute autre île. Le long de la route littorale, des surfeurs chevauchent les vagues à San Juan (La Union), Pagudpud et Baler. Sur la côte ouest, la ville de Vigan, datant du XVIe siècle, présente la plus belle architecture coloniale espagnole d’Asie. Et, sur la côte est, la jungle impénétrable renferme bon nombre d’espèces endémiques des Philippines .

A l’intérieur des terres, la cordillère Centrale , tapissée de forêt, se démarque par ses rizières en terrasses , ses rivières aux eaux vives, ses cercueils suspendus et ses grottes remplies de crânes. Dans les villages des hautes terres de la province enclavée de Kalinga, très riche sur le plan ethnique , on se souvient encore de l’époque pas si lointaine des chasseurs de têtes. Au large, le paisible mode de vie traditionnel des îles Batanes contraste radicalement avec le chaos urbain de Manille.

Tubagua, République Dominicaine

Au-delà des plages, la découverte d’un mode de vie dominicain authentique

Dans un pays où peu de touristes s’éloignent du bar et de la piscine de leur hôtel, le village de Tubagua est une alternative réjouissante. Tout en longueur, perché en bordure de la Cordillera Septentrional et traversé par la Ruta Panoramica, une route sinueuse qui relie les villes dominicaines de Puerto Plata et Santiago de los Caballeros, il abrite l’une des plus beaux écolodges des Caraïbes. De modestes maisons d’un étage y alternent avec des pâturages de vaches; construit dans le style traditionnel local, le lodge bénéficie d’un emplacement spectaculaire, en hauteur. Ici, parmi la végétation luxuriante et les collines ondoyantes, des stands sont installés en bord de route: on y trouve notamment toutes sortes de fruits tropicaux.Très différente de la côte en termes de rythme et de culture, Tubagua est un lieu idéal pour entrevoir un mode de vie dominicain authentique , grâce à des projets de tourisme communautaire . Troquez la climatisation contre l’air frais des montagnes et le merengué au bord de la piscine contre un chœur de cigales!

Une population cosmopolite dans un coin sauvage d’Amérique du Sud

Le Suriname, plus petit d’Amérique du Sud, est aussi le moins visité. On se demande pourquoi, tant ce petit coin méconnu du continent offre une expérience singulière et gratifiante. Après avoir essuyé les coups d’Etat et une guerre civile dans les années 1980, le Suriname est aujourd’hui l’un des pays les plus sûrs d’Amérique du Sud . Nichées à l’embouchure du fleuve Suriname, la belle capitale de style colonial néerlandais, Paramaribo, s’enorgueillit d’une architecture inscrite au patrimoine de l’Unesco, d’une vie nocturne trépidante et d’excellents restaurants misant sur une cuisine fusion épicée, à l’image de sa population cosmopolite. Les habitants du Suriname descendent en majorité d’esclaves africains fugitifs (appelés marrons ou Bushinengué), de travailleurs indiens, indonésiens et chinois, de colons anglais et néerlandais et d’Amérindiens.

Les anciennes plantations rappellent un chapitre sombre de l’histoire du pays, quand il s’agissait d’une des colonies d’esclaves les plus brutales des pays européens. A seulement quelques heures de route ou de bateau, la forêt vierge couvre plus de 90 % du territoire national et offre de nombreuses occasions d’observer la faune et de découvrir la culture des Bushinengué.

Parc national de Big Bend, Etats-Unis

Un parc texan préservé de la surfréquentation par son isolement

Les montagnes et le désert se rencontrent à Big Bend , un vaste parc national lové dans un coin isolé de l’ouest du Texas . Dotée de gorges et aux parois abruptes, de pics dentelés et d’un couloir fluvial verdoyant qui dessine un ruban dans les broussailles, cette immense étendue sauvage offre une large gamme d’aventures. Vous pourrez passer vos journées à marcher sur des chemins bosselés, à pagayer sur des rivières languides et à vous baigner dans des sources chaudes ; le soir, vous contemplerez la Voie lactée dans l’une des plus grandes réserves de ciel étoilé du monde . Big Bend est aussi un eldorado pour les ornithologues , avec plus de 450 espèces d’oiseaux – plus que dans tout autre parc national aux Etats-Unis .Ne vous y trompez pas : Big Bend est loin de tout . L’aéroport le plus proche est à plus de 3 heures de route et, en voiture, n’importe quel trajet sera très long (au moins 8 heures depuis Dallas ou Houston).Petit point positif : cet isolement l’a protégé d’un développement excessif. Le parc national reçoit moins de 10 % des visiteurs du Grand Canyon , et il n’est pas nécessaire de réserver des mois à l’avance pour une excursion de plusieurs jours – par exemple du rafting sur le Rio Grande.

Kufstein, Autriche

La perle du tyrol, un autre joyau des alpes autrichiennes

Si le seul reproche que vous feriez à Salzbourg est qu’elle est trop touristique, sachez qu’à une heure de train à l’ouest se trouve la ville tyrolienne de Kufstein, nichée au cœur des Alpes bavaroises . Elle paraît sortir tout droit d’un conte de frères Grimm : ses ruelles pavées sont bordées de maisons à pignon pastel et de tavernes éclairées à la lanterne, une forteresse médiévale domine le cours de l’Inn et un décor de forêts de sapins, de praires peuplées de vaches et de pics enneigés complète le tout. Éminemment romantique , Kufstein incarne l’Autriche alpine telle qu’on se l’imagine.La ville a connu son heure de gloire nationale dans les années 1960 grâce à la chanson Die Perle Tirols (La Perle du Tyrol). Que l’on randonne vers les sommets et crêts calcaires du Kaisergebirge, que l’on fasse du ski de fon ou que l’on paresse au bord d’un lac étincelant, le cadre donne envie de yodler à tue-tête ! Kufstein offre un beau mélange de culture et d’aventures de plein air.

Presqu’île du Cotentin

Un bout de Normandie où s’isoler du reste du monde

On dit que c’est le bout de la Normandie, on dit aussi que c’est une île, tellement la mer et les marais y pénètrent… Le Cotentin est un havre de nature, où l’eau et la terre se rencontrent de manière parfois spectaculaire . Doigt vers la Manche, la point de la Hague est fouetté par les vents. Face ouest, la Côte des Havres vit au rythme des marées, comme à Regnéville et ses prés-salés. Tournés vers les îles anglo-normandes, Barneville-Carteret et Portbail sont les deux pôles de charme de la Côte des Isles. A l’est, le Val de Saire et sa mosaïque de parcelles honorent la définition du bocage, là où, tout de granit, le joli port de pêche de Barfleur, distingue parmi les « plus beaux villages de France » , étend ses jolies plages de sable. Plus au sud sur la côte est, Saint-Vaast-la-Hougue, station balnéaire et touristique, couplée à l’île de Tahitou qui lui fait face, charme d’emblée les visiteurs.

L’intérieur des terres réserve d’autres belles rencontres, comme Valognes, le « petit Versailles normand », et les châteaux de Bricquebec et de Saint-Sauveur-le-Vicompte, où plane encore l’ombre de Barbey d’Aurevilly.

Fribourg et la Forêt-Noire, Allemagne

Une ville à l’avant-garde de l’écologie et une forêt fantasmagorique

La Forêt-Noire se situe juste à côté de la Bavière. Ses collines boisées et ses maisons à colombages évoquent le même univers fantastique – avec moins de touristes. Coucou et gâteaux mis à part, la Forêt-Noire s’illustre par ses hauts reliefs couverts de sapins et creusés de vallées, dont on ressent la magie dès que l’on en explore les coins reculés à pied, à vélo ou en voiture . Dans le parc national de la Forêt-Noire, les épicéas se dressent au-dessus des fermes en bois sombre et les glaciaires se déploient tels des draps de soie bleu profond. Se promener dans la forêt au petit matin feutré procure un rare sentiment de paix. En hiver, chaussez raquettes ou skis de fond pour explorer ce paysage féerique .

Tourisme durable ? Natürlich . En Allemagne, la Schwarzwald est la destination verte par excellence : une nouvelle réserve de biosphère de l’Unesco , des villes vertes comme Fribourg, pionnière en énergie solaire, et des kilomètres de pistes cyclables et de sentiers de randonnée impeccablement balisés.

Nord de l’Islande

Vers les confins sauvages de l’Atlantique par la route côtière Arctique

La spectaculaire île de l’Atlantique nord a sérieusement souffert de surfréquentation : avant la pandémie, le nombre de visiteurs annuel a atteint les deux millions – soit cinq fois la population islandaise. Loin des sentiers battus, dites-vous ? Il se trouve que la plupart des visiteurs se limitent à un petit coin de l’île, rayonnant depuis Reykjavik, la capitale, jusqu’aux sites les plus populaires – la cascade de Gullfoss , Geysir , le Blue Lagoon . Certains poursuivent par le sud de la Route circulaire jusqu’aux glaciers du Skaftafell et aux icebergs de la lagune de Jökulsarlon.

Le Nord offre un visage de l’Islande que beaucoup ignorent. Des routes serpentant le long de péninsules désertes ; des plages de bout du monde ; des bassins géothermiques au milieu de nulle part ; des villes particulières et des musées spéciaux ; des grottes de lave ; des îles où les oiseaux sont 10 000 fois plus nombreux que les humains. Un peu de témérité et une voiture suffisent pour se lancer à l’aventure et découvrir l’Islande à l’état brut .

Macédoine du Nord

Une beauté des Balkans au passé historique passionnant

La Croatie reçoit 60 millions de visiteurs par an, l’Albanie six millions, la Macédoine du Nord …80 000. Son enclavement réduit incontestablement son pouvoir d’attraction ; pourtant, depuis la plage de galets de la charmante ville médiévale d’Ohrid, la vue n’a rien à envie à la mer. Entre le vaste lac d’Ohrid et le lac Prespa, la Macédoine du Nord n’est pas en reste côté tourisme balnéaire . Et ce pays chaleureux recèle bien d’autres attraits à découvrir lors d’un séjour.

Gorges et montagnes en sculptent de vastes superficies, dont un chapelet de parcs nationaux très sauvages , où s’est tissé un réseau de sentiers de randonnée reliant des villages datant de l’ère ottomane dominés par des fins minarets. Ici prospèrent des producteurs adeptes du Slow Food et des initiatives touristiques communautaires . Du passé complexe de la région subsiste un riche héritage grec, romain, ottoman et yougoslave . Des racines anciennes à explorer dans les musées de Skopje, l’une des capitales les plus dingues et originales d’Europe.

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Tout savoir sur nos voyages hors des sentiers battus

Qu’est-ce qu’un voyage hors des sentiers battus evaneos .

Voyager hors des sentiers battus, c’est voyager autrement ! C’est découvrir les endroits les plus reculés d’un pays, les lieux que seuls les locaux connaissent. C’est aller à la rencontre de la population locale, s’immerger dans leurs traditions, prendre les moyens de transport empruntés par les locaux, etc.

Pourquoi voyager autrement ?

Vous êtes tombé amoureux d’une destination et souhaitez la découvrir autrement ? Vous voulez vivre une expérience différente ? Vous avez toujours eu un petit côté explorateur ?  C’est un voyage hors des sentiers battus qu’il vous faut !

Un voyage hors des sentiers battus conviendra à tous types de voyageurs, mais avant tout à ceux qui connaissent déjà une destination et veulent la vivre différemment.

Pour un voyage en toute simplicité, nos agents locaux partenaires sont à votre écoute afin de vous concocter un circuit original et sur mesure qui vous correspondra parfaitement.

Experts de leur destination, ils vous emmèneront dans leurs adresses les plus secrètes , loin des routes touristiques pour plus d’authenticité.

On pense souvent que, pour voyager hors des sentiers battus, il faut partir au bout du monde. Faux ! Il suffit de choisir un circuit différent, d’opter pour une région moins connue, de dormir dans des hébergements plus proches des habitants, etc.

Arpenter les chemins de la jungle du Triangle d’Or au Nord de la Thaïlande et échanger avec les nombreuses ethnies de la région. Découvrir une autre Chine, celles des villages et des minorités ethniques au mode de vie si éloigné des Han. Ou encore, partir au Bhoutan , grimper jusqu’à ses monastères perchés sur les contreforts de l’Himalaya et y rencontrer un peuple aux mœurs et traditions aux antipodes des nôtres. Voilà autant de possibilités de voyages hors des sentiers battus en Asie !

Découvrez l’Afrique du Sud différemment, à la rencontre du peuple Tsonga du Swaziland. Au volant de votre propre voiture, hébergé dans des lodges privés avec piscine et accueil familial, à vous la liberté ! Ou apprenez tout de la culture de café dans le Sidama, région peu connue des touristes au coeur de l’Ethiopie . Immersion dans une coopérative de café équitable, nuit dans un écolodge en pleine nature, randonnée de village en village, l’Ethiopie vous promet un voyage authentique s’il en est.

En Amérique

Si c’est d’Amérique dont vous rêvez, notre préférence va à l’Argentine . Découvrez Buenos Aires comme les locaux et le Nord de l’Argentine chez l’habitant, pour un voyage au cœur de la culture, la nature et des traditions des peuples originels du pays. Plutôt Amérique du Nord ? Préférez un circuit entre Gaspésie et Maritimes au Canada pour une immersion dans les cultures québécoise et acadienne.

Randonner sur les côtes sauvages à la recherche des plus beaux fjords d’Islande ou découvrir l’Arménie , ses vallées et monastères isolés, à votre rythme. Voici deux des idées de voyages découverte en Europe pour une expérience mémorable.

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Hors des sentiers battus — 10 destinations pour voyager autrement

Fuir le tourisme de masse, trouver des chemins de traverse, faire un pas de côté, regarder dans une direction opposée, voilà quelques notions qui définissent assez bien le “voyage hors des sentiers battus”. Mais peut-on encore réellement employer cette expression ? Qu’en est-il du voyage atypique et original, est-ce encore possible ? Portrait de 10…

• AUTEURE : Amélie
• TEMPS DE LECTURE : 27 minutes

Fuir le tourisme de masse, trouver des chemins de traverse, faire un pas de côté, regarder dans une direction opposée, voilà quelques notions qui définissent assez bien le “voyage hors des sentiers battus”. Mais peut-on encore réellement employer cette expression ? Qu’en est-il du voyage atypique et original, est-ce encore possible ? Portrait de 10 destinations pour voyager autrement !

J’ouvre le débat avec 9 autres voyageurs sur le thème du “voyage hors des sentiers battus”. C’est une expression galvaudée qui pour certains aurait presque perdu de son âme. C’est d’ailleurs un sujet, parfois sensible, qui n’a pas fini de diviser la communauté de voyageurs. Peut-on encore voyager hors des sentiers-battus ? Dans le fond, qu’est-ce que cela signifie ? N’est-ce qu’une symbolique d’aller là où personne ne va ? Voyager tel un explorateur des temps modernes pour poser les pieds sur de nouveaux territoires, presque, ou pas explorés ? Ou n’est-ce plus qu’un vulgaire argument marketing ? Alors que de nombreux voyageurs souhaitent se rendre dans les destinations “tendances”, “instagrammables” et déjà très populaires, pourquoi certains se tournent plutôt vers des pays ou régions qui portent des noms drôles, inconnus, parfois imprononçables. Des lieux qu’un grand nombre de personne ne pourrait même pas positionner sur un planisphère. 

Voyager “hors des sentiers battus” en 2019 késako ? 

Mais la question que l’on se pose pour beaucoup est la suivante : est-ce qu’il est encore possible en 2019 de voyager hors des sentiers-battus ? Je suis bel et bien convaincue que oui. À l’heure où le tourisme n’a jamais autant battu son plein, il est évident qu’il y a de nombreuses régions sur Terre peu médiatisées qui ne sont qu’au stade embryonnaire de leur développement touristique (ou inexistant). Le tourisme ne se réduit pas à un classement Lonely Planet des “destinations à ne pas manquer cette année”. Voyager hors des sentiers battus pour moi, c’est une manière aussi de mériter son voyage. Les destinations peu explorées s’expliquent souvent par des distances longues, des trajets inconfortables voir périlleux, des aléas. Pas de vol low cost, évidemment. Voire même pas de routes pour certaines. Ceci explique certainement la non-ténacité de certains voyageurs qui manquent de temps, d’énergie et qui ont besoin de confort ou d’un accès rapide (car peu de vacances).

Voyager hors des sentiers battus c’est aussi bien choisir son hébergement. Privilégier le tourisme solidaire local, les hébergements autogérées par les communautés qui ne proposent souvent que très peu de places (et qui rapportent un revenu aux villageois) comme dans la région du Siné Saloum au Sénégal . 

Voyager hors des sentiers battus c’est aussi savoir mettre ses habitudes de vie et de consommation de côté. Ses mœurs, coutumes et pensées figées pensant que le monde tourne de la même manière que chez nous. C’est vivre en immersion, se couper du monde et explorer un espace temps que nous ne connaissons pas. C’est partir à la rencontre des peuples du monde et s’ouvrir en faisant tomber les différentes barrières d’idiomes et religions. C’est accepter de voir son voyage bouleversé, de devoir faire de la pirogue ou de l’autobus sur plusieurs jours, de ne pas avoir de l’eau potable, ni même de douche. 

Mais voyager hors des sentiers battus c’est savoir aussi ouvrir les yeux sur ce qui nous est le plus proche et pourtant nous semble invisible. Notre quête d’ailleurs nous pousse instinctivement vers l’étranger et l’inconnu. Pourtant nous avons la chance de vivre dans un pays très multiculturel où nous avons tous quelque chose à apporter à l’autre. Le voyage, je le dis toujours, commence à l’orée de notre porte. Il suffit de sortir de son quartier, de tendre l’oreille, de se poser sur un banc pour rencontrer des gens et voyager à travers leur histoire, leur culture, leur parcours. Je sais, vous ne pourrez pas rayer une destination qui figure sur votre bucket list mais c’est une autre manière de voyager qui peut être tout aussi bien non ?

Petit aparté avant de laisser la parole aux autres voyageurs : lorsque l’on voyage, surtout dans des territoires isolés, lointains, peut-être même dépourvus d’hôpitaux, il est primordial de souscrire une assurance voyage. Un accident à l’étranger est vite arrivé et le rapatriement (dans le pire des cas) doit être assuré. Différentes assurances propose par exemple divers forfaits, notamment l’assurance voyage spéciale longs séjours (de plus de 2 mois et jusqu’à 2 ans), idéal pour les grands voyages ou même les expéditions. Dans tous les cas, n’oubliez pas : partez assurés !

10 destinations hors des sentiers battus pour voyager autrement

• Le Lac Baïkal
• Les îles Samoa
• La Tanzanie en train
• Le Kirghizistan
• Les îles Australes
• L’Arctique Russe
• La Mongolie

1) Le Lac Baïkal en hiver par Laurélen & Célia

« Mars 2019. Aéroport Roissy-Charles De Gaulle. Je piétine d’impatience. Mon regard ne peut se détacher de ma montre. Je guette l’heure de l’embarquement. Premier vol pour Moscou. Deuxième vol pour Irkoutsk. Direction la Sibérie. Il y a un peu de poésie dans le mot “Sibérie”. Pour moi, la Sibérie évoquait des terres de solitude entachées par une Histoire sombre, des rivages infinis, une mer de glace, sans parler d’un climat rude quand on sait que dans la région de Verkhoïansk la différence entre les plus hautes et les plus basses températures dépasse les cent degrés. Mais pas la peine d’aller si loin, le froid du lac Baïkal, à la frontière mongole, me suffit amplement ! Mon projet est simple : réaliser en quelques jours le tour d’Olkhon, la principale île du Baïkal, en total autonomie et par la glace. Mon objectif est encore plus simple : renouer avec l’autonomie que confèrent les voyages en pleine nature et le dépassement de soi induit par les longues journées de marche.»

Il y a un peu de poésie

Dans le mot “sibérie”.

La côte ouest de Khoujir, la principale ville d’Olkhon, est plutôt « touristique ». A longueur de journée, des UAZ, de vieux combi soviétiques, évoluent sur le lac pour emmener des voyageurs, majoritairement asiatiques, à la découverte des cavernes de glace créées au début de l’hiver et de quelques lieux phares où se mêlent bouddhisme et chamanisme. En revanche, la côte Est est inaccessible aux véhicules à cause des nombreuses failles créées dans la glace. Pendant mes derniers jours de marche, je ne croiserais personne à l’exception de quelques voyageurs russes, venus de Moscou, chaussés de patins à glace. La traversée du lac Baïkal en hiver est un voyage contemplatif, qui s’adresse aux voyageurs responsables. Néanmoins se déplacer sur la glace ne s’improvise  p as et demande un minimum d’expérience ou la présence d’un guide. »

Retrouvez le blog de Laurélen et Célia — Marguerite & Troubadour (un de mes blogs chouchous)

2) Les îles Samoa avec Marina

C’est en août 2017 que mon barbu baroudeur et moi avons découvert ce petit bout de paradis situé au coeur de la Polynésie, dans le Pacifique Sud. Expatriés à Wellington depuis 1 an, nous cherchions alors à fuir l’hiver austral, trop pesant, trop gris et trop humide et notre choix s’est finalement porté sur cet archipel volcanique du bout du monde. De l’île d’Upolu à Savai’i, d’Apia à Lalomanu, de Matareva à Manase en passant par Satuiatua et Falealupo, nous avons, pendant une dizaine de jours, découvert les merveilles des îles Samoa, admiré des paysages grandioses, véritables cartes postales, savouré les spécialités locales, nagé avec les tortues et plongé sur épave, et rencontré des gens passionnés et fiers de leur culture. Un voyage bien loin des grandes routes touristiques que nous ne sommes pas prêt d’oublier tant nous avons été touché par l’exubérance et la beauté des paysages, la générosité de tout un peuple et la richesse de sa culture.

Notre roadtrip au Samoa s’inscrit, pour nous, dans un voyage hors des sentiers battus. Il n’y a qu’a demander autour de vous, bien peu de gens ont déjà voyagé dans ces îles paradisiaques du bout du monde ! Bien que ces îles tirent une grande partie de leur richesse du tourisme, leur isolement géographique, leur éloignement des grands axes aériens et donc des grandes routes touristiques en font un archipel préservé du tourisme de masse. Il y a bien des néo-zélandais et des australiens qui s’y rendent pour quelques jours de repos ou pour y passer leur lune de miel mais on est bien loin de l’envahissement et il est très facile de s’en éloigner car peu nombreux sont ceux qui quittent leurs hôtels pour s’aventurer sur les petites routes des Samoa comme nous l’avons fait !

Rechercher l’authenticité, vivre des expériences typiques et partir à la rencontre des locaux, aujourd’hui, nombreux sont les voyageurs à souhaiter donner davantage de sens à leur voyage en s’éloignant des itinéraires classiques. Sans parler du voyageur extrême qui partira seul sur son île déserte au fin fond du Pacifique ou au milieu de la jungle, coupé de toute civilisation et à des centaines de kilomètres de la moindre habitation et sans connexion internet ou réseau téléphonique. Voyager hors des sentiers battus c’est peut être adopter une approche différente du voyage classique en visitant des sites moins connus, en voyageant en basse saison et pour les plus téméraires, en se rendant dans des lieux plus difficiles d’accès quitte à y perdre un peu (beaucoup !) de son confort et ça, tout le monde n’est pas prêt à le faire ! Je me souviens d’un voyage en Birmanie, de ce bus de nuit dans lequel nous étions les seuls touristes, de ces très très longues et inconfortables heures de voyage, de cette minuscule route de montagne pour finalement arriver au petit matin à Mrauk U, un site archéologique beaucoup moins connu que Bagan mais qui n’a rien a lui envier. C’était en juin 2015, au début de la mousson et malgré les nombreuses averses et l’inconfort du voyage, nous n’avons jamais regretté notre choix de nous y rendre hors saison et en empruntant un chemin plus long, loin, bien loin des routes touristiques.

Et ce n’est pas tout, puisqu’en plus des temps de trajets, il y a aussi parfois le budget qui augmente considérablement lorsqu’on souhaite orienter son voyage hors des sentiers battus. L’offre des hébergements par exemple peut être bien inférieur à la demande et donc les prix peuvent s’en ressentir. Mais est-ce que voyager ‘hors des sentiers battus’ signifie obligatoirement voyager loin du tourisme et ainsi devoir faire une croix sur les sites et lieux ‘incontournables’ ? Est-ce que cela implique de ne pas assister au lever du soleil sur les pagodes millénaires de Bagan en Birmanie ou de faire l’impasse sur les temples d’Angkor au Cambodge ? Si l’envie est là, je ne pense pas qu’il soit obligatoire de ne pas visiter ces lieux si beaux et ces sites extraordinaires. Il faut chercher simplement un moyen de rendre ces visites plus authentiques, en prévoyant de s’y rendre en basse saison ou, autre exemple, en mettant le réveil à sonner aux aurores et en se levant tôt pour ainsi essayer d’échapper aux hordes des perches à selfies !

Retrouvez le blog de Marina et son récit complet aux îles Samoa dans le Pacifique — Stories of Inspiration

3) La Tanzanie en train avec Maryne & Jules

Nous aimons le train pour sa lenteur, les choses qui s’y passent, pour les paysages qu’il permet de découvrir mais jamais autant un voyage en train ne nous avait autant marqué … Ce voyage part de Dar Es Salam, principale ville de Tanzanie, sur la côte Est pour rejoindre Kigoma, à l’extrême Ouest ! Plus de 1 200 km sur les rails, 3 jours, 65 arrêts, environ 1 000 passagers, 14h de retard et nous ! Le but ? rejoindre le Parc de Gombe, rendu célèbre par Jane Goodall, primatologue reconnue dans le monde entier qui y a étudié les chimpanzés, ces grands singes que Maryne rêve de rencontrer.

Dès le début nous sommes gâtés, le train part avec un peu plus de 2h de retard (les ingénieurs devant attendre la livraison des freins de la locomotive), c’est aussi ce que nous étions venus chercher : des imprévus, une notion du temps complètement modifiée et loin de notre rythme habituel. Ça tombe bien, les aléas continuent puisqu’à peine partis et alors que le train n’a pas quitté totalement Dar Es Salam, nous nous arrêtons, 2h de retard de plus ! Peu importe, il se fait tard, la nuit tombe mais les marchands sont déjà aux fenêtres pour nous proposer de grignoter. (La suite de ce fabuleux voyage en Tanzanie en train à retrouver ici ). 

Ce trajet n’avait pas uniquement pour but de rallier ce fameux parc mais bien de se connecter au pays que nous nous apprêtons à découvrir, à en apprendre la langue, à en connaître la culture, l’histoire et même la gastronomie. Un voyage hors du temps, hors des sentiers battus, hors des touristes. Nous sommes d’ailleurs pour beaucoup les premiers Mzungus (européens) croisés dans ce train !

Mais au fond qu’est ce que voyager hors des sentiers battus ? Ce terme peut semblé aujourd’hui banalisé, à juste titre je pense. Ou en tout cas trop utilisé subjectivement : un voyageur habitué aux lieux touristiques va avoir l’impression de sortir des sentiers battus dès qu’il croisera moins de touristes. Ce qui allie cette notion à l’idée de zone de confort. Peut-on dire qu’on sort des sentiers battus dès lors que l’on sort du tourisme de masse ? Je ne crois pas, je pense qu’il faut aller plus loin même si évidemment sortir du tourisme de masse est déjà une très belle étape. Les voyageurs ont tendance aussi à associer le fait de sortir des sentiers battus au voyage indépendant, au backpacking, là aussi je suis persuadé qu’il faut aller plus loin.

J’ai tendance à penser que ce mode de voyage est directement lié à la notion de temps, un voyage de courte durée ne nous permettant généralement que de faire les « immanquables » et de rester dans les traces habituelles. Le voyage hors des sentiers battus c’est, pour moi, l’idée d’aller chercher autre chose que ce que tout le monde connaît, d’aller découvrir de nouveau paysages, de s’immerger dans la culture locale à travers les rencontres, la langue, la gastronomie. De sortir des lieux où on peut croiser d’autres voyageurs occidentaux. Alors évidemment ceci demande une grande volonté de s’ouvrir et de découvrir en acceptant d’apprendre quelques mots de la langue locale, de goûter aux plats qui peuvent des fois être éloignés de nos standards européens. Mais on y trouve surtout des rencontres très souvent sincères et désintéressées, ce qui est plus difficile dans les zones touristiques. Il ne faut cependant pas tomber dans l’extrême : nul besoin de partir dans un pays en guerre ou dans une zone de danger comme Fukushima ou Tchernobyl (pourtant à la « mode » en ce moment !). Un voyage hors des sentiers battus peut très bien se faire dans un pays où le tourisme est roi, il suffit de choisir ses zones de voyage.

Pour terminer cet article j’ai envie de dire que finalement voyager hors des sentiers battus est aujourd’hui nécessaire pour l’équilibre des locaux et de leur environnement, à condition que nous ne soyons pas trop nombreux à faire de nouvelles traces, auquel cas nous n’aurons nulle part où aller ensuite.

Retrouvez le blog de Maryne & Jules et leur voyage (magique) en Tanzanie — Explore le Monde

4) L’ile de Mayotte avec Elisa & Max

C’est en septembre 2018 que nous avons découvert Mayotte, l’île aux 1000 surnoms tous plus enchanteurs les uns que les autres, l’île aux parfums, l’île aux tortues, l’île au lagon. C’était aussi une première fois dans l’océan indien pour nous et Mayotte ne fut pas un hasard. Nettement moins touristique que La Réunion ou Maurice, nous étions curieux de voir ce que ce petit bout de France avait à offrir. D’un autre côté, quand on entend parler de Mayotte, c’est malheureusement la plupart du temps en mal : délinquance, insécurité, problème d’immigration. C’est ainsi que nous sommes partis vérifier par nous-mêmes, par forcément rassurés. 

Mayotte, perle méconnue de l’Océan indien

101e département français, l’île de Mayotte ne recense qu’à peine 50 000 visiteurs à l’année. La majorité rendant visite à de la famille ou à des amis vivant sur place. C’est un chiffre très faible si on le compare aux 500 000 touristes de La Réunion. Déjà pour les statistiques, on peut considérer Mayotte comme une destination hors des sentiers battus. Au-delà des chiffres, une fois sur place, on prend vite conscience que ce n’est pas une destination touristique. Nous ne serons jamais abordés pour nous proposer une excursion ou des chapeaux. Les locaux, au contraire, se sentaient très flattés que nous ayons choisi leur île pour nos vacances et nous remerciaient. Très peu d’infrastructures de tourisme existent sur l’île, ce qui permet de garder une belle authenticité comme rarement nous en avons vu durant nos voyages de par le monde. Bien sûr une partie de nous est tentée de garder ce petit coin de paradis secret, dans un soucis de préservation d’une nature exceptionnelle mais fragile. Une autre partie de nous comprend que les habitatns ont aussi besoin que l’on parle de leur l’île et en bien pour changer des médias traditionneles. 

Retrouvez le blog d’Elisa & Max ainsi que leur voyage à Mayotte, joli département d’outre-mer que je rêve de voir — Best Jobers

5) Le Kirghizistan avec Linda

Lors de l’été 2016 je suis partie seule au Kirghizistan pendant cinq semaines. Un voyage haut en couleurs où le mot aventure avec un grand A a pris tout son sens. Adepte de randonnées au cœur de grands espaces un peu isolés le choix du Kirghizstan m’est apparu comme une évidence. Ici j’ai vécu de merveilleux moments, auprès de locaux qui ne parlent pas anglais mais où la barrière de la langue n’a jamais été un frein aux belles rencontres. Le réseau de transports locaux n’étant pas bien développé j’ai vagabondé dans le pays à pied et en stop.  Je n’avais pas spécialement de plan au départ, j’avais simplement préparé l’itinéraire de quelques randonnées et j’ai laissé une grande place à l’imprévu, tout ce que j’aime en voyage.

Dans ce pays sortir des sentiers battus est plutôt facile car le pays n’est pas encore très touristique. Ce terme est aujourd’hui un peu banalisé car beaucoup souhaite fuir les lieux connus et bondés pour se retrouver dans des endroits plus isolés. Même si j’apprécie les réseaux et les blogs de voyage je suis pour le fait de ne pas tout partager, encore plus si ce sont des endroits encore préservés du tourisme de masse. Les blogueurs qui ont de l’influence devraient à mon sens faire attention à ce qu’ils partagent et ne pas toujours tout partager sans filtre. Tout va tellement vite sur les réseaux. Car certains endroits hors des sentiers battus, finissent par ne plus le devenir … (vous pouvez retrouver l’avis de Linda plus détaillé sur le sujet ici ) . Pour ma part je partage certains lieux sauvages mais j’en garde aussi pour moi. Après tout quand on aime les endroits préservés on fait tout pour qu’ils le restent non ? Et plus le voyage c’est aussi savoir se perdre, emprunter des petits sentiers et ne pas suivre bêtement un plan tout prémâché découvert dans un guide ou sur un blog. C’est aussi ça l’aventure : se construire son propre voyage en explorant les cartes ou en prenant le temps d’échanger avec les locaux qui restent les mieux placés pour partager leurs pépites. 

6) En cargo dans les îles Australes avec Mélissa

Un jour, j’ai lancé une flèche virtuelle sur un carte avec Dartsonmap et je me suis prise au jeu. Ma flèche était tombée en plein Pacifique Sud, loin de tout mais en zoomant, elle était à équidistance entre deux petites îles : Pitcairn, l’Île des révoltés du Bounty et Rapa Iti, la dernière des Îles Australes, dont je n’avais jamais entendu parlé. J’ai soumis les deux destinations au vote de mes lecteurs et ils ont choisi Rapa Iti.  Pour la rejoindre, il n’y avait qu’une seule option : le bateau. Jamais les Rapas n’ont voulu installer un aéroport et le cargo mixte qui transporte (en plus des passagers) vivres, matériels, fioul, etc. ne s’y rend qu’une fois par mois maximum. Il aura fallu 9 ans pour que je réalise ce projet et en novembre 2018, j’ai embarqué à bords du Tuhaa Pae IV pour une rotation quasi complète entre Tahiti et les 5 îles habitées des Australes. J’y ai découvert une Polynésie loin des clichés, moins tropicale, plus rurale, où le reste du monde semble vraiment, vraiment loin ! 

Pour moi, « hors des sentiers battus » a trois significations. La première est celle d’une destination difficile d’accès. La deuxième, je la rattache à une destination pas spécialement lointaine mais qui serait ignorée, pour des raisons diverses. Enfin, la troisième relève de l’expérience même du voyage, de ne pas faire du simple tourisme, mais de dénicher de l’insolite, même dans une destination qui est déjà très populaire. Malheureusement, le terme est en effet galvaudé. Tout le monde veut une « expérience unique ». Notre monde, pour ceux qui ont la chance de pouvoir le parcourir, se rétrécit et à part quelques exceptions, il semble que la grande majorité des routes, chemins et sentiers aient été parcourus et en voulant à tout pris de l’original, on essaie de défricher le peu de sentiers plus ou moins vierges qui restent. 

Les Îles Australes, c’est l’archipel le moins fréquenté de Polynésie. Son isolement géographique, le fait qu’il n’y ait pas eu d’aéroport jusqu’à récemment ont fait que les 5 îles soient restées très préservées et très peu touristiques. A part quelques atolls isolés des Tuamotu, on ne peut pas plus  « hors des sentiers battus ».C’est justement cet éloignement (et le prix que ça demande pour y arriver) qui va préserver les Australes mais je me pose la question en tant que blogueuse-voyageuse… dois-je garder le secret ? Tout cela entre violemment en collision avec mon instinct de raconteuse d’histoire mais quand je vois le pouvoir destructeur que peut avoir Instagram, je me pose sérieusement la question. J’ai déjà pris la décision de ne plus taguer géographiquement des lieux de grande beauté naturelle isolés mais pour le blog, je me tâte. Peut-être les raconterais-je sans photo, ou sans indiquer comment s’y rendre ? Maintenant, certaines destinations ignorées sont heureuses d’être mises en lumière. Jamais je n’ai autant de visiteurs quand je publie un article sur une petite ville, par exemple. C’est un équilibre à atteindre. 

Retrouvez le blog de Mélissa & ses articles sur la Polynésie — MelLovesTravel

7) Madagascar avec Servane

Et s’il suffisait de faire un pas de côté pour sortir des sentiers battus ?

Octobre 2006. Je partais découvrir l’Ile Rouge pour la première fois. Exit l’allée des baobabs, les Tsingys de l’Ankarana et les plages paradisiaques de l’Océan Indien : si Instagram n’avait pas encore converti des milliers d’internautes-aventuriers avec ses clichés faisant le Tour de la toile après avoir fait celle du Monde, j’avais décidé de faire l’impasse sur les itinéraires classiques de la Grande Ile. Troquer les cartes postales contre une aventure en terrain totalement inconnu. Une région sur laquelle je n’avais presque rien lu ni entendu. Une immersion entre brousse et océan, entre les eaux turquoise de l’océan et les verts intenses de la forêt primaire dans le nord-est malgache.

Appelée aussi « côte des pirates » ou « côte du palissandre », la péninsule difficile d’accès du Cap Masoala était encore dépourvue de toutes infrastructures touristiques. Mais, peu m’importait. Cette itinérance à pied devait me conduire de Maroantsetra jusqu’à Antalaha sur un chemin parfumé de doux arômes sucrés de vanille et d’ananas, de litchis et de clous de girofle à la découverte de la culture Betsimsaraka . Intégré dans le cadre d’un projet pilote de développement écotouristique, ce voyage représentait ma deuxième expérience de tourisme participatif sur le continent africain. La première remontant 10 ans en amont dans le sud du Sénégal , à la frontière de la Guinée Bissau en basse-Casamance. Cette région pilote servant de laboratoire dans le début des années 70 à travers la gestion de campements communautaires ou « campements villageois ». Un concept que l’on nommait à cette période « Tourisme rural intégré » .

Avril 2019. Je suis de retour sur la grande île, entrainant cette fois ma fille dans l’aventure. Du nord-est confidentiel et mystérieux, je pars non sans quelques à priori dans le nord-ouest malgache, autour de l’une des îles les plus fréquentées : Nosy Be. 13 ans se sont écoulés et je crains ne pas retrouver la spontanéité qui avait fortement marqué mon premier voyage. Pour ce nouveau départ, mon choix de vivre une immersion nature se présente comme une évidence pour sortir des sentiers battus. Sous condition de m’engager dans une démarche respectueuse de l’environnement et des populations locales. Ainsi, j’embarque à bord d’un boutre traditionnel pour une itinérance entre terre et mer, à la rencontre du peuple Sakalava . Des villages de pêcheurs du bout du monde au plaisir d’un bivouac nature sur une plage déserte, la robinsonnade invite à la détente et au dépaysement. Lorsque le bateau quitte terre, on s’enivre des embruns et de la limpidité des fonds marins. Lorsque l’on arrive à terre pour installer le campement, les sourires s’émancipent et on laisse la rencontre s’installer. Naturellement. Avec, toujours, un plaisir réciproque dont personne ne se lasse. Ni le vazaha ni l’autochtone. Côté terre, nous avons enchaîné par un trip de 3 jours à vélo le long du Sambirano, un fleuve qui prend sa source dans le massif du Tsaratanana et se jette dans la ville d’Ambanja. L’aventure complète à retrouver là .

3 ans. Si le temps n’a pas réussi à freiner la course à la croissance et au progrès, laissant hélas sur son passage les traces symptomatiques d’un monde à deux vitesses, les années n’ont pas altéré l’essentiel. A l’instar du Sambirano, Madagascar recèle une grande quantité de trésors plus ou moins cachés. Sa culture et son identité fortement ancrées dans le quotidien en font toute sa richesse. Et surtout son humanité. Subtile et généreuse, son âme se dévoile pour celui qui prend le temps de la percevoir et de la comprendre. Savoir user des chemins de traverse et autres sentiers buissonniers pour voyager mieux et plus longtemps : voici à mes yeux le plus grand secret d’un voyage hors des sentiers battus ! Ainsi, ce n’est pas tant la destination qui importe, son décor ni ses lumières, qu’elle soit instagrammable ou pas assez photogénique pour influencer une communauté de voyageurs amateurs ou aguerris. L’essentiel consiste à savoir emprunter les sentiers balisés, tout en s’éloignant des axes les plus empruntés. Et en portant, toujours, un regard curieux et sans jugement sur l’altérité afin de laisser la magie opérer. En ce sens, teinté de couleurs et de parfums authentiques, le voyage devient une véritable aventure humaine. Et parce qu’il y a l’Art et la manière, il est toujours utile de savoir s’ouvrir à l’inconnu, qu’il se trouve devant sa porte ou encore de l’autre côté de.

L’aventure de Servane à Madasgascar à retrouver au complet ici — De l’autre côté de

8) Perdre le Nord dans l’Arctique russe avec Lucie

Le 9 juillet 2018, je m’envolais de Genève direction Arkhangelsk, une ville au Nord-Ouest de la Russie, pour une expédition de 24 jours à bord d’un navire de recherche scientifique, le Professeur Molchanov. Le but ? Mener à bien des projets de recherche en lien avec le réchauffement climatique dans l’Arctique russe. Parmi les projets, deux étudiant.e.s avaient pour objectif de quantifier les micro-plastiques présents dans les eaux des mers traversées. Un autre groupe s’était donné pour mission de calculer les échanges de CO2 entre la mer et l’atmosphère. Pour ma part, je travaillais en binôme avec une camarade de Master. En tant qu’étudiantes en communication et journalisme, notre projet consistait à réaliser une série de vidéos de vulgarisation scientifique sur les projets de recherche menés sur le bateau. Durant cette expédition nous avons débarqué plusieurs fois sur l’archipel de la Nouvelle-Zemble . De manière générale, c’est le caractère désertique de l’archipel qui m’a frappé. Que ce soit sur le bateau lorsque nous n’avions que l’horizon à perte de vue, ou à terre lorsque nous foulions le désert arctique, nous avions un sentiment tenace de bout du monde. Et le jour polaire qui ne finissait jamais ajoutait encore au sentiment d’étrangeté sublime.

Je peux dire que cette expédition était réellement hors des sentiers battus. En effet, nous avons navigué pendant des jours et des jours sans voir un seul bateau à l’horizon. De plus, le cadre même du voyage – une expédition scientifique – en fait quelque chose de difficilement accessible. Enfin il faut savoir qu’une partie de l’Arctique russe est protégée puisqu’elle fait partie du Parc national de l’Arctique russe.

Concernant l’expression hors des sentiers battus, je pense qu’elle fait office aujourd’hui d’argument de vente pour des agences de voyages ou autres entreprises liées au tourisme, au même titre que l’authenticité par exemple. De ce fait, je ne considère pas qu’une destination de voyage hors des sentiers battus doive forcément être gardée secrète. En revanche, je considère que les lieux fragiles, tels que l’Arctique russe, doive être préservés. Ainsi selon moi un voyage comme celui que j’ai entrepris devrait effectivement rester inaccessible au plus grand nombre. En effet, même lorsque l’endroit est quasiment vierge d’habitants comme de touristes, on retrouve déjà de la pollution. C’est ce que nous avons constaté durant notre expédition : nous avons retrouvé des déchets sur les plages de la Nouvelle-Zemble à des endroits pourtant inhabités, et des micro-plastiques dans les trois mers traversées, même la mer de Kara, pourtant peu fréquentée. Les étudiant.e.s qui ont mené à bien ces recherches sont arrivés à la conclusion que ce sont entre autres les courants marins qui ont amenés les déchets dans ces zones reculées. Cela signifie que la pollution humaine arrive absolument partout, même là où les humains sont absents : il semble que sans même poser le pied sur une terre isolée, nous parvenons déjà à la polluer. Qu’est-ce que ce serait alors si l’endroit devenait une attraction touristique ? 

C’est un vaste sujet que de savoir quels endroits devraient voir leur accès limité – voire interdit, quels autres non, et comment mettre en pratique cette réglementation. Mais je pense que c’est aussi une question de prise de conscience individuelle : nous n’avons pas toujours besoin d’aller dans des endroits incroyables, nous ne sommes pas tous Mike Horn. Parfois, aller hors des sentiers battus, cela signifie aussi aller à rebours des guides touristiques. Je me souviens de ce voyage en Norvège où nous avons passé quelques jours dans les montagnes, à un endroit magnifique qui n’était absolument pas traité dans notre Lonely Planet. Comme quoi, lire un guide de voyage en creux, c’est-à-dire s’intéresser aux endroits dont il ne parle pas plutôt qu’à ceux dont il parle, peut réserver de belles surprises. Souvent, un seul petit pas de côté permet déjà de sortir des sentiers battus.

Le journal de bord de l’Expédition est à retrouver ici — la websérie “Perds pas le nord !” là

9) La Mongolie avec Delphine & Maxime

La Mongolie nous a toujours fait rêver pour son côté sauvage et ses traditions préservées. Après avoir parcouru la région du désert de Gobi en van par le biais d’un tour organisé, nous n’avions qu’une envie : aller nous perdre et vivre notre propre expérience. Grâce à la plateforme Workaway nous avons trouvé une famille chez qui aller vivre. Ils habitaient dans cette région que les habitants de la capitale déconseillaient en cet hiver précoce : l’extrême nord de la Mongolie . C’est une fois là-bas que nous avons commencé à entendre parler de ce mystérieux peuple nomade, élevant des rennes et vivant dans des tipis à des centaines de kilomètres. Avec l’aide d’une guide indépendante locale nous avons organisé une expédition afin d’aller à leur rencontre. S’en sont suivis 5 jours au cœur de la nature, à parcourir les steppes en van puis les montagnes enneigées à cheval, à se laver dans les rivières gelées, à dépendre du bois pour se chauffer et manger, à partager des moments emprunts d’une infinie simplicité. Une des expériences les plus incroyables de notre vie : surprenante et profondément enrichissante !

Difficile d’éviter le terme « hors des sentiers battus » lorsqu’on parle de cette aventure, et c’est vrai que par sa nature insolite et sa localisation du bout du monde (le tout en plein cœur d’une saison où il devient même dur de croiser des habitants), il lui va plutôt bien ! Cependant il nous rend de plus en plus mal à l’aises. On s’explique : nous aimons particulièrement l’idée qu’il exprime à l’origine : sortir des schémas classiques pour faire ses propres expériences (c’est d’ailleurs à notre sens l’essence même de la définition du mot voyage : « exploration, découverte »). Cependant nous trouvons que ces dernières années il s’est largement banalisé, au point d’en perdre son sens  : tout le monde veut sortir des sentiers, si bien qu’il est devenu difficile de réellement le faire. Les grosses agences de tourisme vendent des circuits « hors des sentiers battus », les guides de voyage ont des rubriques « hors des sentiers battus »… Si bien que ces petits endroits préservés deviennent des spots touristiques populaires. Et ainsi ce terme sensé faire référence à quelque chose de « différent » tend paradoxalement à faire ce que tout le monde veut faire : c’est devenu le graal de tout voyageur, la vague que tout le monde veut surfer.

Mais il ne faut pas se voiler la face : nous savons qu’en tant « qu’influenceurs » nous sommes aussi une des causes de cette évolution. On ne peut pas donner envie aux gens de faire des choses différentes et ensuite leur reprocher de vouloir faire pareil. Ce qui nous « inquiète » ce sont les dérives que cet engouement peut créer, comme la perte d’authenticité d’endroits auparavant préservés du tourisme. On aurait des anecdotes en pagaille et pas toujours très drôles, c’est pourquoi on fait maintenant davantage attention à ce qu’on partage ou pas. Ça peut paraître assez radical et on le fait parfois à contre-cœur, mais si on veut être sûrs qu’un petit trésor caché soit préservé de certaines dérives, le mieux est parfois qu’il reste caché. Pour le reste, ne plus géolocaliser les photos et sensibiliser à une expérimentation « responsable » semble être une alternative. Selon les cas (les Tsaatans, par exemple) il nous arrive aussi de demander l’avis et l’autorisation des personnes directement concernées. Le tourisme, quand il est raisonné, peut aider certains peuples : le challenge est de veiller à maintenir cet équilibre fragile entre tourisme constructif… Ou destructeur !

Voyager en Mongolie hors des sentiers battus — Entre Deux Pôles

10) Le Nunavik

Je clos cette liste de 10 destinations pour voyager hors des sentiers battus en vous parlant du Nunavik. Ces terres arctiques du nord québécois que peu de gens connaissent ou même s’y intéressent. Pourtant, riche d’une culture inuite incroyable, j’y ai vécu mon plus beau voyage. En immersion au creux de cette folle toundra. C’est un voyage, comme je vous l’expliquais dans mes articles de blog sur le Nunavik , hors des sentiers battus. Du fait d’abord qu’aucunes routes ne permettent un accès direct à la région. Territoire isolé, l’avion est le seul moyen d’accès. Les prix des billets et du séjour (car il faut être encadré et bien guidé) sont onéreux. Un critère supplémentaire qui freine un grand nombre de voyageurs.

Je suis convaincue que si des routes directes depuis le sud du Québec existaient, il y aurait bien plus de touristes. Certains même camperaient n’importe où. D’autres feraient voler leur drone au-dessus des troupeaux de caribous pendant la migration (pour avoir la shoot à mettre sur instagram). D’autres encore viendraient le temps de quelques jours pour dire “j’y suis allée moi aussi”. D’autres encore viendraient polluer ces terres vierges de saloperies en tout genre. Je vois le côté négatif et bien évidemment, beaucoup de gens (sincères et respectueux) rêveraient de venir au Nunavik mais ne le peuvent en raison du budget conséquent d’un tel voyage. Malheureusement et fort heureusement (je sais c’est paradoxal), ces inconvénients permettent aussi de préserver la région, la nature mais surtout la culture inuite des touristes “compulsifs”. Les coûts alors élevés de certains voyages sont en quelque sorte les garants d’une balance fragile entre tourisme et préservation.

Mon carnet de voyage au Nunavik est à retrouver ici — Hellolaroux

Vous aussi participez au débat. Que pensez-vous du terme “voyager hors des sentiers battus” ? A-t-il un sens à vos yeux ? Vous avez un voyage à nous raconter ou un voyage que vous rêvez d’entreprendre ? Laissez-nous un commentaire ou envoyez-nous un mail ! 

* Cet article contient un lien sponsorisé

• Itinérance à vélo

• Peuples du monde

• Corée du Sud

Merci Amélie pour cet article ! Je suis ravie d’avoir pu participer :) Et il me permet de découvrir d’autres blogs. Bon dimanche

Magnifique, que cela donne envie !

Superbe article, il ne reste plus qu’à choisir et organiser le prochain voyage!

très chouette cet article! Contents d’voir pu en être:-) Et cela nous donne des idées d’aventures! merci à vous deux

Le Kirghizistan, même ce n’est pas encore aussi populaire que Tenerife ou la Thaïlande est une destination de plus en plus “bobo qui fait des voyages roots”. Ca se démocratise vachement plus. Après, les paysages qui y sont offerts sont majestueux, donc ça se comprend. Et puis, c’est si pauvre qu’en dehors du billet d’avion le prix n’est pas excessif.

Je rêve d’aller au Groënland un jour. J’ai adoré le récit du blog “entre deux pôles” dans les steppes mongoles, et celui de Maryne et Jules en Tanzanie, aussi.

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19 destinations hors des sentiers battus

Les destinations hors des sentiers battus ont toujours eu quelque chose d’attirant chez moi. C’est souvent lorsque j’ai fui le tourisme de masse que j’ai découvert les endroits où la culture était la mieux préservée et où j’ai fait mes plus belles rencontres.

Cette quête du « vrai » m’a notamment amené à visiter des destinations en dehors du radar de plusieurs voyageurs comme la Mongolie , le Kirghizistan , le Tadjikistan , le Cap-Vert et des coins reculés du Laos et de l’Inde par exemple.

Dans chacun de ces périples, les rencontres que j’y ai faites étaient toujours remplies de chaleur et les discussions avaient bien plus souvent comme objectif de se connaître mutuellement que de me soutirer quelques billets (comme c’est souvent le cas dans les destinations plus courues).

Puisqu’il peut être insécurisant de faire un voyage hors du commun dans une destination peu touristique, j’ai demandé à 19 blogueurs voyage de me présenter la destination atypique qui les a le plus plu. Voici donc 19 destinations hors des sentiers battus , de quoi vous inspirer dans le choix de votre prochain voyage!

Je ne surprendrai personne en disant que le Soudan n’est pas forcément une évidence quand il s’agit de choisir la destination d’un prochain voyage. Le pays ne jouit pas d’une très bonne image, et la majorité le considère comme dangereux. Mais la majorité cette fois-ci a tort. Certaines régions (au sud et à l’ouest) sont à proscrire, mais le Soudan est un vaste pays et les régions sûres n’y manquent pas.

Alors OK, ça ne serait pas dangereux, mais quand bien même, y a des trucs à voir au Soudan ? Quelques sites archéologiques, le plus célèbre étant les pyramides de Méroé, où vous serez parfois le seul touriste, mais pas que. La raison numéro un d’un voyage au Soudan, ce sont sans doute les Soudanais.

Qui n’a pas connu en voyage la frustration de côtoyer bien trop souvent des pseudo guides autoproclamés et autres vendeurs de tout et n’importe quoi ? Vous rêvez d’un voyage duquel vous rentrerez apaisé ? Sans conteste, le Soudan répondra à vos attentes. Nulle ironie dans ce propos. Non seulement faute de touristes, le rabatteur en quête d’une proie n’existe pas, mais les Soudanais comptent sans conteste parmi les peuples les plus chaleureux que j’ai été amené à rencontrer de par le monde.

N’hésitez pas pour vous en convaincre pleinement à lire sur mon blog les articles sur  mon voyage au Soudan . Qui sait, ça vous donnera peut-être envie de découvrir ce pays trop peu connu.

Laurent du blogue One chaï

Le Pakistan

Le Pakistan ! Ce pays vous évoque sans doute l’insécurité et les Talibans. Non et non ! Comme partout, on ne peut pas donner une étiquette uniforme à un pays d’après ce qu’en disent les médias. Nous avons visité le Nord du Pakistan début 2017 et nous nous y sommes sentis en parfaite sécurité.

Et en plus de la sécurité, les habitants de la vallée de la Hunza nous ont offert leur fantastique hospitalité! Tous les jours des sourires sincères, des invitations à boire le délicieux thé pakistanais et des discussions inspirantes ont rythmé notre séjour, sans oublier les paysages sublimes et sauvages : des montagnes tantôt rousses, blanches, roses ou vertes suivant les saisons et des sommets enneigés à plus de 7000 mètres.

Le meilleur moyen de découvrir cette région est de suivre l’une des plus belles routes du monde: la Karakoram Highway qui traverse ces paysages jusqu’en Chine, en passant par les petites villes villages de Gilgit, Karimabad, Passu et par la plus haute frontière du monde à 4800 mètres d’altitude ! Assurément le Nord Pakistan accueille ceux qui osent s’y aventurer à bras ouverts… Pourquoi pas vous?

Découvrez le Pakistan à travers les récits de voyage de Marine

Marine du blogue What made you happy today

L’Iran est dans l’imaginaire collectif un pays au passé sulfureux, dangereux. La « République islamique d’Iran » a mauvaise réputation. C’est pour nombre d’entre nous un pays non-démocratique, représenté par la sombre image de l’Ayatollah Khomeini ou les images traumatisantes de la guerre du Golfe.

Et pourtant… Ce pays a été mon vrai coup de cœur de l’année 2016 et je le place en tête des pays à visiter au plus vite. Car l’Iran, c’est avant tout la Perse avec tout ce que ça implique en terme de rayonnement culturel. L’Iran est une des plus anciennes civilisations au monde et possède un patrimoine historique et archéologique exceptionnel. Visiter l’Iran vous fait sentir perpétuellement dans un conte des 1001 nuits. Les mosaïques aux nuances variées de bleus et de jaunes, les éclats de miroirs scintillants et les dômes dorés des mosquées brillant au soleil vous rappellent le passé prospère et la richesse culturelle du pays.

Mais avant toute chose, ce qui fait le charme et la richesse de l’Iran, ce sont la gentillesse et la générosité extrêmes de ses habitants. Pas un jour ne se passe sans faire de nouvelles rencontres et sans être abordé dans la rue juste pour échanger trois mots ou un sourire. L’accueil chaleureux des iraniens laisse un souvenir impérissable de tout voyage dans ce pays aux habitants au si grand cœur.

Pour l’article complet sur l’Iran : De Teheran à Ispahan un voyage en Iran enthousiasmant

Magali du blogue MaGlobetrotteuse

Le Tadjikistan

Le Tadjikistan est un pays d’Asie centrale enclavé entre l’ Ouzbékistan , le Kirghizistan , la Chine et l’ Afghanistan . Presque entièrement occupé par les montagnes arides du Pamir, c’est un véritable terrain de jeu pour les amateurs de plein-air et pour ceux en quête d’authenticité. Et avec le peu de touristes qui le visitent chaque année, il ne fait aucun doute que vous y ferez un voyage hors des sentiers battus!

Un pays en « stan », ça peut intimider au premier abord. On n’irait effectivement pas en Afghanistan les yeux fermés! Mais si ce pays au sud du Tadjikistan a effectivement mauvaise réputation, le Tadjikistan pour sa part est tout à fait sécuritaire. À titre de preuve, j’y ai passé un mois sans souci!

Pour être honnête avec vous, tout m’a séduit au Tadjikistan. Les paysages montagneux et arides du Pamir sont spectaculaires, les lacs dont la couleur changent en fonction de l’heure de la journée sont irréels, les marchés explosent de couleurs, la vision de l’Afghanistan que l’on longe en visitant le pays donne un petit coup d’adrénaline et l’accueil chaleureux des Tadjiks est incomparable. Vraiment, une destination encore méconnue qui mérite d’être explorée!

Pour plus de détails sur le Tadjikistan : Quoi faire au Tadjikistan en 10 incontournables .

Pierre-Luc du blogue Explorer la planète

Totalement absent des guides de voyage et des écrans radars médiatiques, le Vanuatu est un petit archipel d’îles perdu au large du Pacifique que nous avons découvert lorsque nous étions de passage en Océanie. Pendant un mois, nous avons exploré un pays très pauvre et vulnérable certes, mais d’une richesse naturelle et humaine sans égale.

L’expression voyager en dehors des sentiers battus a pris tout son sens au Vanuatu. C’est une terre sauvage où le tourisme est à un stade embryonnaire. Si c’est une destination qui nous a autant marqués, c’est surtout parce qu’on y a vécu des émotions intenses: assister à une cérémonie de circoncision au sein d’une des dernières tribus au monde qui a volontairement renoncé à toutes possessions matérielles, loger chez l’habitant dans une “tree house” perchée au-dessus d’un arbre banyan taillé comme une cathédrale avec vue sur un volcan en éruption, se tenir au bord du cratère de ce même volcan qui gronde et crache des boules de feu, plonger dans les entrailles de la plus grande épave au monde, nager à dos de cheval dans les eaux translucides d’une plage déserte… Toutes ces expériences insolites dans une nature exubérante de beauté ont fait battre notre cœur.

Mais ce voyage était tout d’abord une leçon de vie. Comme les lendemains ne sont pas sûrs au Vanuatu, on vit dans le moment présent. C’est peut-être cette philosophie de l’éphémère qui donne au peuple vanuatais cette joie de vivre et cette résilience à toutes épreuves. Ils sont totalement satisfaits du peu qu’ils ont et rient à pleines dents devant l’adversité. Pas étonnant qu’à plusieurs reprises, ce peuple ait été élu le plus heureux du monde. Leur terre et leur culture communautaire ancestrale sont leurs seules richesses et ils font tout pour les préserver. C’est ce que nous retenons du Vanuatu, tous ces sourires édentés chaleureux et sincères. Même après le passage dévastateur du cyclone Pam en mars 2015, les vanuatais continuaient à chanter haut et fort: “Vanuatu still smiles”.

Découvrez le Vanuatu à travers les récits de voyage de Nadia et Mike

Nadia et Mike du blogue Lovetrotters

La Mongolie

Ce matin-là, je me réveille très tôt traversé par un frisson. Le petit foyer de ma yourte est éteint et il fait froid. Je sors rapidement de mes couvertures et m’empresse de m’habiller. Dehors il fait beau, mais le soleil n’a pas encore vraiment commencé son travail. Je suis invité à déjeuner avec une famille mongole. Ah non, pas encore du lait fermenté de yak ! En Mongolie, il est très mal perçu de refuser quelque chose qui nous est offert. Alors me voilà en train de boire ce lait chaud et pétillant qui me fera assurément aller aux toilettes dans les prochaines heures !

Nous sommes au beau milieu des terres non loin du désert de Gobi. Seulement quelques yourtes composent le village de ces 3 familles qui vivent encore à ce jour comme des nomades en suivant leur énorme troupeau. Aujourd’hui est une journée importante. Les 3 familles vont tuer un yak et le dépecer pour retirer tout ce qui est possible de manger. Pratiquement rien n’est perdu. Les enfants participent aussi à ce rituel pour apprendre les rudiments de la vie.

Plus tard ce sera la récolte de la merde séchée du troupeau. Celle-ci sera utilisée pour chauffer les foyers et ainsi se réchauffer.

Les paysages sont magnifiques. Je vois des champs à perte de vue. La nuit tombée, en absence de pollution lumineuse, j’ai le privilège de contempler la voie lactée dans toute sa splendeur… spectacle de la nature digne d’une photo de revue d’astronomie !

Ce peuple est accueillant et aucunement stressé. Parfois un peu intense sur la vodka mais tout de même merveilleux à connaître.

Éric du blogue Rien qu’un sac à dos

Pour plus d’informations sur cette destination, consultez l’article complet que j’ai écrit sur quoi faire dans un voyage en Mongolie .

La Namibie est un pays hors du commun avec la deuxième plus faible densité de population de la planète. Nous sommes partis une semaine sur les routes namibiennes (ou plutôt les pistes) avec l’objectif d’atteindre les dunes de Sossusvlei et le mythique Dead Vlei !

Nous avons pris la route depuis Windhoek, la capitale, en direction du Sud, sur la seule et unique route goudronnée, la route une. Très vite, nous avons bifurqué sur une piste. A partir de ce moment-là, nous avons roulé quelques heures en ne croisant que très peu de voitures.

Nous avons passé la première nuit au Gecko Camp. Une de ces nuits les plus marquantes de nos voyages. Nous étions seuls au Camp. D’ailleurs, ça faisait 2 jours que notre hôte, une belge, n’avait vu personne. La chambre, sans électricité, sans eau chaude, se situait à 10 minutes de piste de la réception, 25 minutes à pied. Nous avons admiré un de nos plus beaux couchers de soleil face à la savane, les animaux et l’immensité.

Nous avons continué la route vers le seul village du coin qui porte bien son nom, Solitaire. On nous avait conseillé de nous rendre dans le désert très tôt le matin pour profiter de la lumière et pour être plus tranquille. Au final, nous n’avons pas été aussi matinaux que prévu et c’était pas plus mal ! Le temps de profiter de chaque dune, animal, couleur, nous ne sommes arrivés au Deadvlei que vers 11h face à un paysage incroyable.

A cette heure-ci, les touristes repartaient et nous avons eu la chance d’avoir le Deadvlei presque que pour nous. Cet endroit est fabuleux. Les dunes de sable sur des centaines de kilomètres sont visibles depuis le sommet de la plus haute dune. Au loin, on peut même apercevoir l’océan Atlantique. Au centre de ces dunes oranges, un désert blanc très sec avec des arbres morts comme pour souligner les conditions extrêmes de la région. Ici, le temps s’arrête.

Sophie et Corentin du blogue Souvenirs d’ailleurs

L’Ouzbékistan

Situé en Asie centrale, l’Ouzbékistan est notamment connu pour ses villes faisant anciennement office d’escales pour les caravaniers qui traversaient la route de la soie. Aujourd’hui, la majorité de ceux qui s’aventurent dans ce pays d’ex-URSS y viennent principalement pour apprécier l’architecture musulmane des villes de Samarcande, de Boukhara et de Khiva.

C’est donc l’occasion de faire le plein de mosquées, de mausolées, de minarets et de médersas. Petit avertissement! Toutes ces constructions sont des chef-d’œuvres par le souci du détail qui les caractérisent et par les impressionnants dégradés de turquoises qui sont présents sur leurs toits. Alors vous aurez de la difficulté à en trouver une préférée!

Pour ceux qui voudront sortir des sentiers battus dans ce pays, il est également possible de dormir dans des yourtes sur le bord du lac Aidarkul, de faire de la randonnée dans les montagnes de Chimgan situées à la frontière avec le Kirghizistan et de voir les vestiges d’une catastrophe écologique humaine à Moynaq.

Bien sûr, lors d’un passage en Ouzbékistan, vous aurez l’occasion de vous remplir la panse avec des montagnes de plov (plat traditionnel ouzbèke) et de constater l’incroyable hospitalité ouzbèke.

En somme, l’Ouzbékistan est vraiment un pays à mettre sur votre liste si vous êtes attirés par les destinations hors des sentiers battus!

Pour plus de détails sur l’Ouzbékistan: 11 choses à faire en Ouzbékistan .

Le Sultanat d’Oman

A la pointe sud-est de la péninsule arabique, le Sultanat d’Oman est un pays où la richesse culturelle rivalise avec les paysages à couper le souffle. Un voyage dans ce territoire de montagne, de mer et de désert vous transporte dans le monde de Sinbad le marin.

Mascate, sa capitale aux maisons blanches nichées entre les collines et la mer, accueille maintenant une des plus belles mosquées au monde et un opéra à la pointe de la technologie.

Le long des côtes escarpées, vous trouverez une faune marine abondante : au niveau de la péninsule de Musandam, les dauphins profitent de la version désertique des fjords alors que plus au sud, les tortues glissent avec difficulté sur le sable pendant la nuit pour trouver le parfait endroit pour déposer leurs œufs.

A l’intérieur des terres, des hauts plateaux avec canyons vertigineux, tels que Jebel Shams, contrastent avec les vallées oasis et leur système d’irrigation ancestral.

Les forteresses à visiter ne manquent pas, mais n’hésitez pas à explorer hors des sentiers battus pour découvrir les nécropoles de l’Age du Bronze classées à l’Unesco telles que celle de Al-Ayn.

Au final, dans la même journée, vous pourrez par exemple visiter le magnifique Opéra dans la capitale Mascate, nager jusqu’à une cascade dans le canyon de Wadi Shab, puis admirer le coucher de soleil dans les dunes de sable du désert de Wahiba Sands !

Une journée inoubliable…

Pour le guide complet sur la planification d’un voyage au Sultanat d’Oman : Voyager au Sultanat d’Oman – Destinations, planning, photos, conseils.

Claire du blogue ZigZag Voyages

La région du Gansu en Chine

La route de la soie, un itinéraire de légende auquel est associé immanquablement le nom du grand aventurier du XIIIe siècle, Marco Polo. La simple évocation de cette route stimule mon imaginaire et anime en moi chacune de mes cellules de voyageuse.

Cette route, ou plutôt ces routes, car il y en a plusieurs, relie la Turquie à la Chine en passant par l’Asie centrale. Les distances sont considérables et la parcourir nécessite plusieurs mois. J’ai décidé de consacrer mon premier voyage en Chine à l’exploration du premier tronçon de cette route situé dans la province du Gansu. Trois semaines et demi à découvrir l’arrière-pays chinois, sur la trace des caravaniers de l’époque qui transportaient la soie et autres objets à travers ce chemin.

L’une des raisons pourquoi j’aime tant la route de la soie, c’est qu’elle représente autant un voyage géographique, que culturel et historique. À travers ce voyage, j’ai pu monter à dos de chameau comme le faisaient les caravaniers, découvrir les premiers vestiges bouddhiques de la Chine ou encore marcher sur les derniers segments de la Grande muraille de Chine. Cette route a façonné l’identité de cette région du monde.

Bien que je n’aie visité qu’une infime partie, j’ai pu prendre conscience de l’importance de cette route dans l’histoire de l’humanité. Je garde pourtant cette impression de l’avoir simplement survolée, qu’il me faudrait des mois sur place pour la saisir. Elle garde avec elle une part de ses mystères et c’est clairement ce qui me donne envie d’y retourner. En parlant de mystère, vous savez que c’est une région encore très peu visitée des Occidentaux. Pour un voyage hors des sentiers battus, c’est la destination.

Pour l’article complet sur le Gansu en Chine : Route de la soie : mon voyage au Gansu en Chine .

Rachel du blogue  Découverte Monde

L’Afrique. Ce continent trop souvent oublié. Sa simple évocation entraîne mystère et méconnaissance dans les yeux des gens, même parfois de certains avides voyageurs. Après avoir visité l’Asie, l’Amérique du Sud, l’Europe, ce continent restait pour moi encore trop peu exploré. Je me devais de changer cela et c’est pourquoi j’ai ajouté Madagascar à ma liste de lieux à visiter cette année. Partie avec  Village Monde  dans le cadre du projet d’exploration solidaire, je me suis concentrée sur l’est de la gigantesque île. Je n’aurais donc pas la prétention de vous parler de tout le pays, mais laissez-moi vous raconter en quelques émotions pourquoi Madagascar se doit de faire partie de vos prochaines destinations!

En boucle, de notre arrivée à notre départ, les sourires fusent de toute part. Curieux sont les Malgaches des raisons de notre visite, surtout dans les petits villages qui ne reçoivent pas énormément de touristes. Lorsqu’on prend le temps de s’arrêter quelques instants et de dialoguer, les habitants nous livrent de petits bijoux, autant en histoires de leur quotidien qu’en recommandations de lieux à voir.

Madagascar ne reçoit pas le nom de l’île rouge pour rien, sa terre est ocre, terre cuite, rosée, le tout à quelques mètres de rizières en terrasses d’un dégradé de vert éclatant. Au-dessus de cela règne un ciel bleu rempli de gros nuages blancs. Des photos saisissantes à croquer à tous les 100 mètres, je vous dis!

Dans les marchés de la capitale, Antananarivo, les étals remplis de souvenirs, gourmandises, produits ménagers et babioles inexplicables deviennent un régal pour les yeux. La nuit tombée, dans les parcs nationaux du pays, les lémuriens nocturnes se distinguent à la cime des arbres, leurs yeux brillants jouant à cache-cache avec le visiteur venu les apercevoir. Au petit matin, ce sont les cris des autres espèces que l’on entend du lodge écoresponsable ou du lit chez l’habitant dans lequel on loge. Et tout cela qu’en une semaine pour ma part. Imaginez-vous ce que Madagascar vous réserve si vous y accordez quelques semaines! Je me promets d’y retourner!

C’est par ici pour l’article complet sur Madagascar de Jennifer.

Jennifer du blogue Moi mes souliers

Les Émirats Arabes Unis

Vous croyez que les Émirats Arabes Unis se résument à Dubaï? Détrompez-vous! Bien qu’ils soient beaucoup moins visibles dans les médias, les six autres émirats méritent largement que l’on s’y attarde.

À Abu Dhabi, outre les attractions célèbres de la capitale, plusieurs sites sont à découvrir. Classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, la ville d’Al Aïn est à ne pas manquer avec son oasis, son magnifique zoo, ses montagnes, ses sites archéologiques et son souk aux dromadaires ( Camel Souk ).  Cet émirat possède également de nombreuses îles, dont Sir Bani Yas Island, qui abrite plus de 10 000 animaux en liberté que l’on peut rencontrer en faisant un safari.

Visiter Abu Dhabi, c’est aussi l’occasion de marcher, glisser, conduire ou de dormir dans l’Empty Quarter, le plus grand désert de sable du monde.

De son côté, l’émirat de Fujairah est connu pour ses fonds marins, propices à la plongée sous-marine. Plusieurs endroits y sont réputés pour observer la faune marine, tels que Snoopy Island , Shark Island et Al Badiyah Rock . On y découvre de magnifiques coraux et de nombreux poissons. Une autre option pour le snorkeling et la pêche consiste à faire une excursion à partir de Dibba pour découvrir les fjords de Musandam lors d’une croisière en boutre. Fujairah est finalement un émirat à ne pas manquer pour ses combats de taureaux ( bullfighting) , ses montagnes, ses wadis, de même que ses sites historiques.

Calme et paisible, Ras al Khaimah sait aussi charmer ses visiteurs avec sa magnifique mangrove, ses paysages montagneux, son village fantôme, son vieux fort et ses sources naturelles. C’est l’émirat à privilégier pour prendre contact avec d’anciennes traditions, telles que les courses de dromadaires, la fauconnerie et la pêche aux perles.

Et que dire des musées de Sharjah et d’Ajman ou encore des colonies d’oiseaux et des mangroves d’Umm Al Quwain? Nous sommes loin des immenses tours de Dubaï, n’est-ce pas?

Pour l’article complet sur les Émirats Arabes Unis : dans l’ombre de Dubaï, trois émirats à découvrir.

Ève du blogue Nos Racines sur 4 Continents

Le Burkina Faso

Sortir des sentiers battus, c’est savoir se lancer des défis à soi-même. C’est ce que j’ai fait en me rendant au Burkina Faso. Ce pays de d’Afrique de l’Ouest est un petit bijou de bonté dans le rude écrin qu’est le Sahel.

Toutes les arrivées internationales passent par la capitale au nom plus qu’exotique : Ouagadougou. Sortir de l’avion directement sur le tarmac et être happé par la chaleur écrasante et étouffante sera votre première expérience. Cette capitale chaude (52 degrés en avril-mai) s’offre plus facilement que certaines autres capitales africaines. Il faut savoir en profiter; les rues poussiéreuses et sèches de Ouaga n’ont peut-être rien d’extraordinaire, mais son peuple oui. Ce n’est pas pour rien qu’on surnomme le Burkina Faso le pays des hommes intègres. La chaleur et l’hospitalité des Burkinabés sont exemplaires. N’ayez pas peur d’entrer en contact avec eux. Ils vous inviteront à la maison et vous offrirons « l’eau de bonne arrivée ».

À part le village artisanal qui vaut vraiment le détour, Ouaga a peu à offrir en attraits. Il faut surtout aller au sud en direction de la ville de Pô pour s’immiscer dans de petits villages ruraux forts sympathiques. Personnellement, j’ai eu droit à une cérémonie officielle dans le village de Tiébélé au sud. Honoré de ma présence (je n’ai pourtant pas de titres de noblesse), on m’a remis un carquois avec des flèches faites main. Un cadeau inestimable pour moi. Il faut absolument voir le village traditionnel où chaque maison est une œuvre d’art.

Le plus touchant : des enfants qui serrent la main d’un blanc pour la première fois. Oui, vous serez un objet de curiosité, mais jamais de convoitise. Dans ce coin du pays, vous êtes à deux pas de la réserve nationale Nazinga, une occasion rêvée de voir des éléphants dans leur état sauvage. Ça en vaut le coup.

Prévoir au moins deux semaines, car les déplacements dans le pays sont laborieux. Il ne faut pas manquer les cascades de Banfora dans l’ouest du pays ainsi que la mare aux hippopotames à Bobo-Dioulasso. L’endroit est peu fréquenté, des pêcheurs locaux offrent des tours de barque. Bref, un gros coup de cœur pour le Burkina, mais surtout pour son peuple.

Robert du blogue Le Bob Trotteur

L’île de Maupiti en Polynésie française

Lors de notre séjour d’un mois en Polynésie française, nous avons visité plusieurs îles. Tahiti, Moorea, Huahine, Bora-Bora… puis Maupiti. Plus nous nous éloignions de Tahiti, plus nous pénétrions dans la culture et le mode de vie polynésien.

Officiellement, la Polynésie fait partie de la France. Mais sur place, la réalité est complètement différente.

Lorsque nous sommes arrivés à Maupiti, nous avons vraiment réalisé que nous étions bien petits au milieu de l’océan pacifique. L’île, dont on fait le tour en une heure à pied, reçoit très peu de touristes. Il n’y aucun resorts construit sur cette île… seulement quelques pensions. Le seul moyen pour y accéder est l’avion (ou par bateau de pêche pour les locaux). Et pire encore, on ne trouve aucun supermarché sur cette île, seulement quelques petites épiceries. Les gens vivent essentiellement de la pêche et de leurs plantations, ainsi que des échanges de produits entre familles.

Nous sommes restés trois jours et avons été hébergé dans la famille d’un pêcheur. Des gens modestes qui vivent du fruit de leur travail en mer. Des gens qui n’ont pas de possessions particulières mais qui nous ont offert le meilleur de l’hospitalité polynésienne. Des gens qui étaient tellement heureux d’accueillir chez eux des voyageurs venus de l’autre bout du monde cherchant à vivre des moments de vie avec des Polynésiens.

La première journée, nous avons accompagné notre hôte en mer pour une journée de pêche. Nous avons découvert ce jour-là la dure réalité de vie de pêcheur. Martial était tellement heureux. Il avait tout ce qu’il faut : l’océan, son bateau et des invités pour partager ce moment ensemble.

Les deux autres jours, nous avons profité du lagon exceptionnel de Maupiti. On a été conquis par ce lieu idyllique, où la mer est d’un bleu et d’une transparence qu’on avait rarement vue ailleurs. Bref, un endroit de rêve où nous étions presque seuls au monde…

Vous l’aurez sans doute compris, la distance, l’isolement et un mode de vie coupé de toute urgence font de Maupiti une vraie destination en dehors des sentiers battus. Le genre de petit paradis qu’on souhaiterait garder pour soi afin qu’il ne soit jamais menacé par le tourisme de masse…

Pour l’article complet sur Maupiti : Maupiti 3 jours dans une famille de pêcheurs en Polynésie .

Chloé du blogue Playing the world

Pour plus d’informations sur Maupiti, vous pouvez également consulter l’article que j’ai écrit sur la Polynésie française: 10 îles qu’il faut absolument visiter en Polynésie française .

La Dominique

La Dominique est une île des Caraïbes hors des sentiers battus. Elle est très loin du tourisme de masse comme on dit et assez peu connue. Elle a pourtant beaucoup à offrir et se trouve idéalement située entre la Guadeloupe et la Martinique. On peut même y aller en ferry depuis ces deux îles très visitées par les touristes français. Si vous avez prévu des vacances en Guadeloupe ou Martinique, je vous conseille donc d’aller y faire un tour.

C’est une île très sauvage avec une nature exubérante. Et même s’il y a des super plages comme partout dans les Caraïbes, en Dominique, cela vaut le coup d’explorer l’intérieur aussi. Forêts tropicales, rivières mystérieuses, plages, plongée, bref, il y en a pour tous les goûts en Dominique. C’est d’ailleurs cette île qui a été choisie pour tourner les films Pirates des Caraïbes II et III. Vous pouvez d’ailleurs aller sur les traces de Jack Sparrow et visiter les lieux de tournage de Pirates des Caraïbes en Dominique facilement en allant faire un tour sur Indian River et Batibou beach notamment.

Emily du blogue Travel and Film

Le Swaziland

Le Swaziland, ce petit pays enclavé en plein cœur de l’Afrique du Sud, est l’un des plus beaux pays que j’ai eu la chance de visiter. Encore peu touristique, j’ai été traversé par un goût d’aventure dès lors que j’ai franchi la frontière…

Le Swaziland est encore assez peu urbanisé. On y voyage donc comme on explore une terre inconnue. La randonnée y est à l’honneur, sur des chemins encore peu balisés. Rien de mieux pour se sentir libre, et c’est ce que j’ai probablement le plus apprécié en explorant le Swaziland. Au cœur de la réserve de Mlilwane Wildlife Park, j’ai rencontré des animaux mythiques et représentatifs de l’Afrique comme des girafes ou des éléphants. J’ai pu les photographier d’extrêmement près, et je ne pourrais pas expliquer le sentiment que j’ai ressenti en les voyant marcher nonchalamment sur ces terres qui sont les leurs. J’ai aussi eu l’énorme chance de me rendre au Swaziland au moment de la cérémonie Umhlanga. Je suis tombé en admiration devant ces femmes habillées traditionnellement qui dansent et chantent, pour le roi du Swaziland. C’était une expérience formidable, loin des cérémonies organisées pour les touristes curieux.

En définitive, même si le Swaziland s’étend sur un petit territoire, il y a énormément de choses à y découvrir, et on ressort de ce voyage hors des sentiers battus complètement transformé…

Julien du blogue Voyage Afrique du Sud

A l’occasion du mariage d’un ami arménien, nous avons eu l’opportunité de visiter le nord de l’Arménie avec notre fille qui n’avait alors que 7 mois. Nous devons avouer que nous ne savions pas trop à quoi nous attendre car nous n’avions pas trouvé beaucoup d’informations sur internet et dans les guides de voyages avant de partir !

Si nous avons tous entendu parler un jour du génocide arménien, nous connaissons très peu l’histoire de ce peuple millénaire. Le pays compte aujourd’hui de nombreux édifices religieux remarquables, les plus anciens datant du VII siècle. Un certain nombre d’entre eux sont d’ailleurs classés au patrimoine de l’UNESCO.  Il y a beaucoup de monastères et d’églises à visiter à travers le pays, mais ce n’est pas que pour cette facette que nous recommandons à tous d’aller découvrir ce pays méconnu.

L’Arménie, c’est surtout des gens extrêmement hospitaliers qui aiment la vie et les enfants. Lors de notre périple, nous n’avons pas compté le nombre d’arménien qui sont spontanément venu échanger avec nous et avec lesquels nous avons discuté autour d’un bon repas ou d’un verre de vodka.

Pour l’article complet sur l’Arménie : Voyage en Arménie, des monastères mais pas que…

Nicolas du blogue A contresens

Marsa Alam est un petit village au sud de l’Égypte, entre la mer rouge et le désert. Ce que j’ai vraiment apprécié ici, c’est que le tourisme n’a pas encore dénaturé le paysage. Les fonds marins sont dignes des plus beaux aquariums. J’ai passé mes journées avec seulement masque et tuba à quelques mètres de la plage à observer les poissons multicolores. J’ai même eu la chance de dire bonjour à une tortue qui passait par là. J’espère que les gens vont continuer de respecter la vie aquatique, car les coraux et les poissons sont vraiment magnifiques.

De l’autre côté de la route se trouve le désert à perte de vue. Nous avons visité un village dans le désert, c’était vraiment intéressant. Lorsque le soleil se couche dans le désert, on a vraiment cette impression d’être seul au monde avec la nature. Les gens sont vraiment super gentils et très accueillants.

J’ai entendu beaucoup de mauvaises expériences sur l’Égypte, mais pour ma part, j’en garde un super souvenir sous tous les points : nature, paysages, accueil, temps… Au niveau politique, c’est peut-être un peu plus compliqué en ce moment, mais dès que vous le pourrez, allez faire un tour du côté de Marsa Alam. Vous ne serez pas déçus et vous couperez avec le quotidien sans aucun doute.

Pour l’article complet sur Marsa Alam : Marsa Alam en Égypte en 10 photos.

Amélie du blogue Ameloche voyage

Le Kirghizistan

Le Kirghizistan, bien qu’il gagne en popularité, demeure un endroit assez peu visité par les voyageurs. Le fait qu’il se termine en « stan » en effraie peut-être quelques-uns, mais sachez que ce fameux « stan » à la fin signifie en fait d’être à la maison. De quoi revoir un peu nos préjugés non?

Lors de mon passage dans ce pays l’été dernier, j’ai été absolument charmée par les steppes et les étendues vertes qui s’offraient à mes yeux. Le Kirghi est un pays que les amoureux du plein air et de la nature sauront tout particulièrement apprécier puisqu’il est riche en randonnée, en montagnes et en endroits à explorer loin de la civilisation. Les villes ne sont pas sans attraits avec leur curieux look URSS, mais pour ma part, c’est vraiment les paysages des steppes qui sont restés dans ma mémoire et que j’espère revoir un jour.

Ce qui m’a le plus plu lors de mon séjour, c’est l’accueil des locaux. Malgré la barrière de la langue, ils se sont montrés curieux et intéressés et faisaient les efforts nécessaires pour qu’un minimum de communication avec eux soit possible. Je vous recommande sans hésiter les séjours chez l’habitant pour un peu de dépaysement tant par l’alimentation que par les nuitées sous la yourte qui contribuent à se sentir bien loin de la maison!

Pour l’article complet sur le Kirghizistan : voyage au Kirghizistan .

Gabrielle du blogue Vagabondeuse

Pour plus d’informations sur cette destination, vous pouvez également consulter l’article complet que j’ai écrit sur le Kirghizistan: 10 choses à faire au Kirghizistan .

Lviv ou Lvov, en Ukraine, se situe à 70 km de la frontière polonaise. Elle a d’ailleurs au cours de son histoire été polonaise, puis autrichienne, puis à nouveau polonaise, puis envahie par l’Allemagne au cours de la 2ème guerre mondiale, avant d’être annexée par l’Union Soviétique. C’est donc une ville qui a une longue histoire bien mouvementée depuis qu’elle a été fondée, au XIIIème siècle. Capitale à l’époque de la Galicie, elle en reste encore le centre historique.

Cela a été ma première visite en Ukraine et cela fût bien plus agréable que ce à quoi je m’attendais. Lviv est aujourd’hui une ville de villégiature pour beaucoup d’Ukrainiens, et l’ambiance à la période où nous nous y sommes rendus en famille était vraiment détendue et festive. Nous avons d’ailleurs eu la chance de nous y trouver un jour de fête nationale où tous les Ukrainiens portent leur tenue traditionnelle joliment brodée.

Ce jour-là, nous avons pu écouter des chants traditionnels sur la grande place de Lviv et observer les personnes qui brodent ces tenues. Le centre historique est très joli, on y reconnaît l’influence autrichienne.

Enfin, nous avons beaucoup aimé le pittoresque de certains restaurants, des cafés et même du logement où nous nous trouvions, qui se situent dans des caves et qui ont des thèmes parfois très originaux (tel le café sur le thème de la mine, où l’on vous chauffe votre boisson…au chalumeau). C’est aussi encore une destination où il n’est pas (encore ?) nécessaire d ‘avoir un gros budget une fois sur place.

Pour mieux découvrir cette ville, consultez l’article complet : Promenade à Lviv, Ukraine.

Sandrine du blogue Plume d’Isandre

Le Cap-Vert

Formé d’un archipel de 10 îles ayant appartenu au Portugal, le Cap-Vert est un pays fantastique puisqu’il sait plaire à tout le monde. Si l’île de Santo Antao séduit les amateurs de randonnées par sa géographie très accidentée, les îles de Boa Vista et de Sal plaisent à ceux en quête de plages. Les fervents de culture trouvent également leur compte au Cap-Vert par le mélange des cultures africaine et portugaise qu’on retrouve dans le pays de Cesaria Evora.

Pour ceux à la recherche d’un peu plus d’aventure, il est possible de grimper le très photogénique volcan Pico do Fogo et d’aller explorer les fonds marins à le recherche des plus « beaux » poissons-pierre.

Et pour bien finir une journée au Cap-Vert en beauté, rien de mieux qu’une bonne cachupa accompagnée d’un grogue local (l’acool de canne à sucre du pays!). Ça vous aidera à apprécier encore plus la devise locale: Cabo Verde, no stress! Bref, une excellente destination pour faire un voyage hors du commun!

Pour l’article complet sur le Cap-Vert: 10 choses à faire au Cap-Vert

Pour encore plus de destinations en dehors des sentiers battus, consultez l’article À la rencontre des peuples isolés (18 peuples à découvrir) :

Pour plus d’aventures, consultez mes autres articles !

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L’Andalousie hors des sentiers battus – Top 10

Par Claire Robinson | janvier 29, 2023 | cet article contient des liens affiliés ( détails )

Vous voulez éviter les foules de touristes et découvrir des joyaux moins connus ? Voyez mes suggestions de 10 endroits étonnants en Andalousie hors des sentiers battus avec photos, conseils et carte.

Cette page contient des liens affiliés. Si vous les utilisez, je reçois une commission sans coût supplémentaire pour vous ( en savoir plus )

Andalousie hors des sentiers battus - Intro et Carte

Dans la suite de cet article, vous pourrez voir des photos et en savoir plus sur chacune de ces destinations, mais pour un aperçu rapide, mes suggestions pour l'Andalousie hors des sentiers battus sont les suivantes :

• Cerro del Hierro - formations rocheuses colorées
• Puerto de las Palomas - route époustouflante au-dessus d'un lac
• Zuheros - charmant village blanc
• Lac Negratin - superbes formations rocheuses autour d'une eau d'un bleu profond
• Parc Mégalithique de Gorafe -  dolmens et vues imprenables
• Montoro - village photogénique
• Cala Enmedio - plage cachée accessible en randonnée
• Ruines d'Acinipo - ruines romaines entourées de montagnes
• Medonia Sidonia - vieux centre ville intriguant
• Jaen - ville alternative

Certaines d'entre elles sont bondées de locaux pendant les vacances d'été, mais toutes sont négligées par les touristes étrangers. Voici une carte qui vous aidera à les localiser :

Map - Andalucia, off the beaten path

Ces lieux sont inclus (avec coordonnées GPS et conseils) dans mon Guide de voyage eBook qui vous aide à planifier un road trip en Andalousie :

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EN SAVOIR PLUS

#1 - Cerro del Hierro - lieu apprécié des locaux

Pourquoi visiter ?

Au Cerro del Hierro, vous pouvez profiter d'une courte promenade pour atteindre un monument naturel impressionnant, résultat de l'activité de la nature et de l'homme. En raison de la présence de fer dans la colline, l'exploitation minière a commencé avec les Romains. Et elle a duré jusqu'au 10ème siècle. Ce qu'il en reste est un paysage avec des aiguilles, des dolines, des grottes, des gouffres et bien d'autres formations provenant des roches calcaires. Il reste également quelques bâtiments datant de la période d'exploitation minière.

Notez qu'il est populaire auprès des espognoles, donc les week-ends et pendant les vacances scolaires, vous pouvez voir pas mal de monde. Mais vous ne verrez pratiquement pas de touristes étrangers !

• La route n'est pas difficile
• De Séville à Cerro del Hierro = 1h30 de route.
• Au nord de Constantina, dans les montagnes de la Sierra Norte.
• Prévoyez 1h pour faire le tour des formations à pied
• En été, évitez le midi, il n'y a pas d'ombre.
• Voir les logements à proximité de Constantina

#2 -  Route de Puerto de las Palomas

Beaucoup de gens visitent les villages blancs autour de la ville de Ronda. Certains sont très populaires comme Setenil de las Bodegas et ses rochers. Cependant, moins de personnes visitent Zahara de la Sierra, et encore moins prennent le temps de parcourir la route qui traverse Puerto de las Palomas. Pourtant, la route est à couper le souffle, avec d'un côté, des vues sur le lac Zahara-el Gastor et de l'autre côté, les montagnes couvertes de forêts.

• Il s'agit d'une route de montagne mais large et avec quelques endroits pour se garer et admirer la vue.
• Nord-ouest de Ronda
• De Ronda à Zahara de la Sierra = 40min de route (2h de Malaga)
• Ce n'est pas une longue route, et elle vous mènera à encore plus de villages et de beaux endroits.
• Voir les hébergements les mieux notés à Ronda

#3 - Zuheros

Il faut faire un petit détour pour visiter Zuheros mais je pense que cela en vaut la peine. Le village blanc est bien entretenu et entouré de belles montagnes et d'un canyon. Son château est magnifiquement intégré aux rochers et aux falaises. Sa version actuelle remonte probablement au 11ème ou 12ème siècle et a été modifiée au 14ème. C'est l'un de mes villages blancs préférés en Andalousie ( voir ma liste ).

• La route n'est pas difficile - à l'ouest de Jaen, dans le parc national 'Las Sierras Subbeticas'.
• Cordoba à Zuheros = 1h10 de route
• Pas beaucoup de places de parking au niveau du village - venez tôt si vous en voulez une - les autres parkings sont en bas dans la gorge et la remontée est raide.
• Facile de se promener dans le village
• Il y a quelques hébergements à Zuheros

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#4 - Lac Negratin (réservoir)

Le réservoir de Negratin est, à mon avis, le plus beau lac d'Andalousie en termes de paysage. Vous pouvez en faire le tour en voiture pour avoir de nombreuses vues différentes. La couleur du lac varie du bleu profond au turquoise. Et il est entouré de formations rocheuses colorées. Et, à une extrémité, le Mont Jabalcon (1494m - 490ft) surplombe le lac.

Il est populaire auprès des Espagnols en été pour les activités nautiques, mais il n'y a personne hors saison ! Nous avons eu le lac pour nous quand nous l'avons visité !

• Prenez le temps de faire le tour en voiture, les vues des différents côtés du lac offrent une variété de paysages.
• Au nord-est de Guadix
• Grenade à Negratin = 1h10 de route
• Guadix à Negratin = 45 minutes de route
• Il y a quelques restaurants dans le coin, mais ce n'est pas très développé.
• Voir les hébergements les mieux notés à Guadix

#5 - Parc Mégalithique de Gorafe

Gorafe est l'un des petits villages aux maisons troglodytes de la région de Guadix. La route pour y accéder est magnifique. Je l'ai choisi parce qu'il y a une autre attraction à proximité : le Parc Mégalithique de Gorafe avec sa route non goudronnée qui vous emmène à plusieurs petits dolmens et offre des vues magnifiques sur la vallée ! Pour ceux qui aiment la géologie et l'archéologie, c'est génial !

• La route n'est pas goudronnée mais est facile à parcourir, le plus difficile est la descente vers Gorafe, mais si vous préférez, vous pouvez revenir à la route principale.
• Vous pouvez aussi vous garer au début du chemin et marcher pour voir les dolmens et les vues.
• De Grenade à Gorafe = 1h10 de route
• Accès gratuit
• Prévoyez 1h pour conduire lentement et vous arrêter tout le temps.
• Et si vous avez un 4x4, la région regorge de sentiers à parcourir, hors des sentiers battus.
• Vous pouvez trouver quelques hébergements à Gorafe , de vous pouvez séjourner dans une maison troglodyte ou un hébergement classique à Guadix ( voir les mieux notés ) !

#6 - Montoro

Montoro est un village très photogénique niché dans une courbe du fleuve Guadalquivir. Les ruelles étroites de la colline sont bordées de maisons blanches et le village est entouré d'une vallée fertile. De plus, il offre plusieurs points de vue intéressants pour la photographie.

• A l'est de Cordoue, facile d'accès, juste à la sortie de l'autoroute A4.
• De Cordoue à Montoro = 40 minutes de route
• Prévoyez 2h si vous explorez l'intérieur ou 30min pour admirer les alentours du village.
• Voir les hébergements les mieux notés à Cordoue

Où séjourner en Andalousie ?

Voir ma sélection des 15 meilleures coins où partir en Andalousie pour les plages, les attractions et / ou l'exploration... + mes conseils d'hébergements 

#7 - Cala de Enmedio

Pourquoi la visiter ?

Cette plage est située à Cabo de Gata, qui est déjà moins touristique que les plages de la Costa del Sol. De plus, cette plage de sable fin aux dunes fossiles érodées n'est accessible qu'à pied. Si vous êtes à la recherche d'une plage isolée et que vous êtes prêt à faire de la randonnée, c'est l'endroit qu'il vous faut. La randonnée vous emmène au-dessus d'Agua Amarga, avec de belles vues de la baie depuis le haut, à mesure que vous approchez.

• Prévoyez au moins 2h pour marcher, admirer l'endroit et revenir à pied.
• La randonnée part d'Agua Amarga (45 minutes de route d'Alemria).
• Quelques sections raides
• Meilleur lumière le matin
• Voir les hébergements les mieux notés à Agua Amarga

#8 - Ruines d'Acinipo, Andalousie loin des foules

Petit site archéologique, hors des sentiers battus. L'élément principal est ce qui reste du théâtre romain, y compris une partie du mur du 1er siècle de notre ère. Le site offre également de belles vues sur la campagne et les montagnes environnantes. Une partie des ruines provient même d'une colonie de l'âge du bronze.

Elles ne sont pas de la taille de celles d'Italica, près de Séville, mais, si vous vous y rendez tôt, vous pourriez être presque seul sur place !

• Au nord de Ronda, facile d'accès
• Ronda à Acinip = 30min de route
• Prévoyez 45min pour explorer les ruines
• Fermé le lundi et le dimanche après-midi - les heures d'ouverture sont normalement de 10 h à 17 h.

#9 - Medina Sidonia

Le vieux centre de Medina Sidonia a quelque chose de différent mais je ne trouve pas les mots pour l'expliquer. C'est probablement le mélange d'architecture. L'entrée principale avec une porte de style arabe est un bon début pour votre exploration. Profitez des bâtiments du 16ème siècle dans les parties basses de la ville. Ou dirigez-vous vers le sommet, à travers les rues étroites, pour visiter l'église au sommet de la colline et les ruines du château.

Il y a tellement de beaux villages blancs et de villes dans cette région, que certains ne reçoivent pas l'amour qu'ils méritent de la part des touristes. Cette ville est l'une d'entre elles, à mon avis.

• À l'est de Cadix, petit détour par la route principale A381.
• De Cadix à Medina Sidonia = 35 minutes de route.
• Accès libre, prévoyez une demi-journée pour l'explorer
• Sur une colline, attendez-vous à des pentes et à des rues étroites avec de vieux trottoirs.
• Voir les hébergements les mieux notés à Medina Sidonia

#10 - Jaen - une ville moins touristique

OK. Soyons honnêtes, c'est une grande ville. Elle est donc bondée par défaut. Cependant, ce n'est pas une ville touristique. Pas du tout comparée à Cordoue, Séville et Grenade . À mon avis, elle possède quelques points d'intérêt qui valent le détour si vous avez le temps : par exemple, elle offre des vues magnifiques avec ses rues étroites, sa cathédrale qui se détache et ses collines couvertes d'oliviers.

• Cordoue à Jaen = 1h30 de route
• Prévoir une demi-journée pour explorer
• Collines et vieux trottoirs dans la vieille ville.
• La conduite à Jaen était la pire de mon expérience dans les villes andalouses, nous avons donc rapidement trouvé un parking souterrain et nous nous sommes déplacés à pied.
• Voir les hébergements les mieux notés à Jaen

Vous voulez voir plus de ce que l'Andalousie a de mieux à offrir ?

• Les plus beaux paysages d'Andalousie en 40 photos - lire l'article
• Les 20 plus belles plages d'Andalousie - lire l'article
• Les 17 plus beaux villages blancs d'Andalousie - lire l'article
• Les 21+ plus belles villes d'Andalousie - lire l'article
• Les châteaux et forts les plus impressionnants d'Andalousie - lire l'article (à paraître)
• Conseils pour planifier un road trip en Andalousie - lire l'article

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Partez à la découverte de l'Europe hors des sentiers battus

Explorez les paysages sublimes de l'europe en partant à l'assaut des sentiers de randonnée les moins connus du continent..

Le secteur du tourisme mondial se porte très bien. Selon l'Organisation mondiale du tourisme, en 2017, le nombre de voyageurs qui se sont rendus à l'étranger a augmenté de 6 % et près de 52 % des Américains ont pour projet de se rendre en Europe d'ici deux ans. La hausse du nombre de touristes est bénéfique à l'économie des pays, permet de mettre en relation des communautés et de mieux comprendre le monde. Mais elle a aussi des conséquences négatives.

Le tourisme de masse pèse sur les infrastructures du pays de destination, sur ses résidents et ses paysages naturels. En Europe, cet afflux de voyageurs se traduit souvent par des routes engorgées et des merveilles architecturales bondées. Les villes, comme les zones rurales, sont touchées par ce phénomène. Des sentiers de randonnées populaires, comme le Cinque Terre en Italie ou le Tour du Mont Blanc en France , reçoivent aussi un nombre impressionnant de visiteurs. Conséquence : les zones montagneuses les plus sauvages du continent sont très fréquentées.

Si découvrir les paysages naturels les plus célèbres d'Europe avec des masses de touristes ne vous attire pas, les régions moins connues du continent ont beaucoup à vous offrir. Le long du chemin, vous découvrirez des villes côtières idylliques, des monastères perchés au sommet des montagnes, des gorges et des cascades pittoresques.

L'ALPE-ADRIA TRAIl : UN SENTIER, TROIS PAYS

Avec ses 750 km de long et ses 43 étapes, l'Alpe-Adria Trail traverse l' Autriche , la Slovénie et l'Italie. Le sentier relie Grossglockner, le plus haut sommet d'Autriche, à Muggia, une ville côtière du nord-est de l'Italie.

Un mois est nécessaire pour parcourir la totalité de ce long sentier. La plupart des randonneurs s'élancent pour quatre jours à deux semaines et parcourent entre deux et cinq étapes du sentier, qui vous emmène dans le « jardin d'Éden ». Au fil du parcours, les lacs de montagne de la Carinthie, les parois verticales et les falaises à pic des Dolomites, dans la région de la Frioul-Vénétie julienne dévoilent toute leur beauté.

Mountain Travel Sobek  vous propose une randonnée de 10 jours, au cours de laquelle vous parcourrez près de 100 km sur les plus belles sections du sentier. Le départ a lieu à Salzburg en Autriche et la randonnée s'achève à Trieste en Italie. N'hésitez pas à aller au-delà des lacs et des rivières de montagne pour découvrir les plus hauts sommets et les vallées luxuriantes de la région. Vous pourrez notamment passer devant des monuments comme le Garnet Gate, la « porte aux grenats » en Autriche et le sanctuaire du Monte Lussari en Italie. Une journée suffit pour vous rendre dans les trois pays. Vous pourrez même achever votre randonnée avec une ascension matinale du Vršič, le plus haut col montagneux de Slovénie, situé à 1 611 mètres d'altitude.

GRÈCE : À LA DÉCOUVERTE DE LA GORGE DE LOUSIOS

Lorsqu'ils se rendent en Grèce , la plupart des voyageurs choisissent de visiter des villes historiques comme Athènes , Delphes et Santorin, ou des îles aux maisons colorées.

les plus populaires

Mais la Grèce a aussi beaucoup à offrir en s'éloignant de ces lieux et en s'élançant sur les sentiers de randonnées sauvages du pays. Si vous choisissez de faire de la randonnée dans la région de la Gorge de Lousios, dans le Péloponnèse, commencez votre périple dans le village de Karytaina et dirigez-vous en direction de Dimitsana, au nord.

Ce sentier, peu fréquenté, est très agréable, avec ses ruisseaux bordés de fleurs sauvages qui poussent en abondance et ses prairies parsemées de cyprès et ses oliveraies.

Peregrine Adventures  propose une journée randonnée dans la Gorge de Lousios. Les débutants peuvent participer à ce parcours de 14 km qui passe à proximité de superbes monastères perchés au sommet des montagnes.

Traversez le village médiéval de Karytaina, situé non loin du confluent de la gorge, avant de reprendre la route pour Stemnitsa et Andritsaina, deux villes reconnaissables par leurs maisons aux tuiles de terre cuite. Le monastère de Prodromos n'étant pas loin, n'hésitez pas à le visiter et à rencontrer les moines locaux qui y vivent. La visite sera aussi l'occasion de découvrir comment l'édifice de bois et d'argile a été construit de façon précaire à même la paroi rocheuse.

Avant d'achever cette randonnée, petit arrêt au monastère byzantin de Philosophou, érigé au 10e siècle. Ce monastère est connu pour avoir abriter une école secrète, la krifó scholió,  dirigée par des moines sous l'empire Ottoman. 

ESPAGNE : BOL D'AIR MARIN SUR LE O CAMINO DOS FAROS

Le chemin de Compostelle est le théâtre du plus célèbre pèlerinage d' Espagne et attire de nombreux randonneurs qui veulent y tenter leur chance.

Si vous voulez quitter les sentiers battus, le sentier côtier O Camiño dos Faros est fait pour vous. Tout aussi fascinant, ce dernier serpente à travers le paysage sauvage et brut de la Costa da Morte, sur la côte Atlantique de la Galice en Espagne.

O Camiño dos Faros, le « sentier des phares » en français, a été créé par un groupe de volontaires locaux. Au fil de ce sentier long de 200 km, les caps et les promontoires de la Galice se dévoilent, tout comme le remarquable patrimoine architectural de la région.

Pour les randonneurs expérimentés, On Foot Holidays  organise un trek de 10 jours sur le sentier. Du lever au coucher du soleil, les participants découvriront les environs à quelques mètres du vide, au sommet des falaises. Phares, villages pittoresques et plages vides se révèlent au fur et à mesure de ce sentier côtier sauvage, qui s'achève au phare du Cap Finisterre. Une section du chemin de Compostelle s'achève également au Cap Finisterre, qui est le lieu idéal pour déguster des poissons et fruits de mer frais. La pêche constitue d'ailleurs la première source de revenus de la région.

ITALIE : LA VIA FRANCIGENA, CHEMIN DE PÈLERINAGE MÉCONNU

La Via Francigena est l'un des chemins de pèlerinage les moins connus d'Europe mais cela ne l'empêche pas d'être considéré comme le plus beau par de nombreux marcheurs.

Au Moyen-Âge, ce chemin reliait Canterbury, en Angleterre, à Rome, en Italie, en passant par la France et la Suisse. 90 jours sont nécessaires pour couvrir les 945 km de la portion italienne de la Via Francigena, si vous êtes capable de parcourir 20 km par jour.

Partez à la découverte de ce chemin peu balisé et des sublimes paysages de la région pendant 10 jours avec  Wilderness Travel , première entreprise à proposer des randonnées organisées sur la Via Francigena. De Sienne, le chemin vous mènera dans des villes et hameaux historiques, où les vestiges de l'Empire Romain sont encore visibles : voies romaines, amphithéâtres et tombes étrusques se dévoilent au fil du sentier, qui vous conduira à Buonconvento.

Cette ville, située au beau milieu de la campagne toscane et de ses oliveraies, ses champs de blé et ses forêts denses qui abritent des sources chaudes, est un arrêt obligé. Direction ensuite les villes de Montefiascone, Viterbe, Capranica et Sutri. Enfin, Rome est au bout du chemin. 

Une fois arrivés dans la capitale italienne, c'est sur la place Saint-Pierre que les randonneurs achèvent en beauté leur périple.

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Accueil > France > 3 idées pour découvrir la France hors des sentiers battus

3 idées pour découvrir la France hors des sentiers battus

Article mis à jour le

Faire un road trip en Van Aménagé

Un voyage en van ou fourgon aménagé est un excellent moyen de découvrir la France hors des sentiers battus et de changer sa manière de voyager ! Plus de liberté et d’ autonomie , voyager en van permet de décider au jour le jour de son itinéraire et de son programme, d’être à proximité de la nature , de découvrir des paysages méconnus tout au long de la route. 

En van aménagé, les surprises se trouvent tout autour de vous, il suffit d’ouvrir l’œil ! Un voyage en van c’est aussi plus d’aventure et un périmètre illimité de découvertes . Si vous souhaitez vous lancer, la location de fourgon aménagé vous permettra de découvrir un nouveau mode de voyage. Pour un week-end ou pour des vacances entières, un van ou fourgon aménagé est la promesse de profiter pleinement de votre séjour en vous rendant où vous le souhaitez et en vous arrêtant dès que vous en avez envie.

Partir en fourgon aménagé est une superbe expérience que vous devriez essayer une fois dans votre vie, en prenant le risque de ne plus jamais vouloir voyager autrement ! Seul, entre amis ou en famille, le van apporte la dose d’aventure que l’on recherche en voyage.

Choisir une destination peu touristique en France

En France, que vous préfériez la montagne , la mer , la campagne ou la ville , vous trouverez votre bonheur pour passer des vacances de rêve dans un cadre idyllique. Certaines régions ont la côte et deviennent rapidement bondées, notamment durant les vacances d’été. Cependant, il existe tellement de régions et encore plus d’ idées de destinations pour des vacances en France que le choix est bien assez large pour découvrir de nouveaux horizons.

Certains départements sont encore méconnus et réservent pourtant de belles surprises . Des lieux dépaysants , loin de la foule et où les découvertes sont encore plus merveilleuses. Le choix de la destination est primordial dans l’organisation de votre voyage, et l’un des points les plus importants pour voyager hors des sentiers battus.

C’est le cas de l’ Aisne par exemple, un département du nord de la France paisible , rural, historiquement très riche, mais encore peu fréquenté, ce qui vous laisse l’exclusivité des lieux que vous visitez . C’est également le cas de beaucoup de zones situées dans des régions très touristiques et pourtant isolées des sites les plus fréquentés , comme l’arrière-pays varois en Provence, de nombreux parcs naturels français, et bien d’autres coins qui regorgent de pépites hors des sentiers battus. Choisissez des destinations peu renommées pour séjourner au calme et prendre le temps de découvrir la France comme vous ne l’avez jamais vue, ce qui ne vous empêche pas de visiter certains sites touristiques au cours de votre voyage.

Pratiquer le slow tourisme

Pour découvrir la France hors des sentiers battus, le slowtourisme , ou tourisme lent , est une démarche et un état d’esprit faisant partie des manières de pratiquer le tourisme durable .

C’est une manière de voyager autrement qui se prête totalement à la découverte de la France hors des sentiers battus. Le slowtourisme désigne le fait de prendre son temps en voyage, de profiter de la nature , des expériences et rencontres locales , de mieux découvrir la région et ses habitants… A l’opposé du tourisme de masse, le slowtourisme vise à s’immerger dans la destination et à la découvrir de fond en comble, pas seulement en se rendant dans les lieux touristiques.

Le slowtourisme peut se pratiquer n’importe où, mais certaines destinations y sont plus adaptées. Par exemple, pour profiter de la nature, privilégiez un séjour à la campagne . Allez à la rencontre des artisans locaux, discutez avec des habitants , intéressez-vous aux habitudes régionales, logez dans des chambres d’hôtes, promenez-vous sans objectif précis si ce n’est faire la découverte de lieux par hasard…

Redécouvrir la France en voyageant autrement hors des sentiers battus, c’est possible. En choisissant de louer un fourgon aménagé pour vous déplacer librement et à votre rythme au cœur des paysages français, vous découvrirez la richesse et les grands espaces que la France a à offrir à ceux qui osent s’aventurer au-delà des itinéraires touristiques. Vous pouvez également faire le choix d’une destination peu touristique et méconnue, car si certains départements sont moins prisés ils sont pourtant tout autant splendides. Enfin, le slowtourisme est une démarche de voyageur qui vous permettra d’appréhender autrement vos voyages en prenant le temps de vous intéresser pleinement à la région que vous visitez.

Article réalisé en partenariat avec Evasia

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Road trip en Namibie: une expérience hors des sentiers battus

Le printemps arrive à grands pas et vous rêvez déjà de soleil, de grands espaces et d’aventure ? Alors lancez-vous dans un road trip en Namibie pour vivre une expérience hors du commun dont vous vous souviendrez toute votre vie !

La Namibie est un pays d’Afrique australe bordé au nord par l’Angola, au sud par l’Afrique du Sud, à l’est par le Botswana et au nord-est par la Zambie. Elle possède une superficie égale à celle d’une fois et demie la France et est pourtant l’ un des pays les moins peuplés au monde , avec seulement 2,6 millions d’individus. Il s’agit également du premier pays à avoir inscrit la protection de ses ressources naturelles dans sa constitution.

Si vous ne savez pas quand partir en Namibie , on vous rassure : la Namibie bénéficie d’un climat favorable tout au long de l’année et se caractérise par des écosystèmes très variés avec des hauts plateaux au centre, des plaines au nord, des régions désertiques du Namib et du Kalahari au sud et une bande littorale à l’ouest.

Dans ce pays sauvage , vous découvrirez des paysages désertiques de sable rouge, vous pourrez observer des montagnes aux teintes bleutées, ou encore des côtes aux paysages grandioses . La richesse et la variété de la faune sauvage vous surprendront : vous apercevrez des lions, des zèbres, des éléphants, des léopards, des buffles, des hippopotames, des girafes, des rhinocéros et de très nombreuses autres espèces. La Namibie , destination qui prône un tourisme responsable , possède une biodiversité exceptionnelle et unique au monde à protéger, qui émerveillera les amoureux de la nature et de grands espaces !

⚠️ De nombreux loueurs de 4×4 n’ont déjà plus beaucoup de disponibilités pour l’été 2024… Nous vous conseillons donc de réserver votre véhicule au plus vite ! Nous vous invitons à remplir ce formulaire !

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Comment se déplacer et comment louer une voiture en Namibie ?

Faut-il nécessairement un 4×4 pour un road trip en namibie .

Pour un road trip en Namibie, il vous faudra forcément un véhicule tout-terrain adapté à l’état des routes et des pistes. Car même si l’infrastructure routière de la Namibie est plutôt de bonne qualité pour un pays d’Afrique, les routes goudronnées sont rares (seules 15 % des routes sont asphaltées) et la plupart des sites les plus intéressants ne sont accessibles que par des pistes qui nécessitent un 4×4 .

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Quel 4×4 choisir pour un road trip en Namibie ?

Sachez tout d’abord qu’avec la crise liée au Covid-19, les agences de location de voiture ont dû revendre une partie de leur flotte de véhicules et qu’il y a nettement moins de disponibilités qu’il y a quelques années . De manière générale et particulièrement en haute saison, il est donc indispensable de réserver votre 4×4 plusieurs mois à l’avance .

Les principaux véhicules loués sont des Toyota Hilux ou des Toyota Fortuner mais il est également possible de louer des véhicules plus puissants comme des Toyota Land Cruiser . Tous les véhicules peuvent être loués avec une tente de toit et tout le matériel de camping nécessaire pour un road trip en totale autonomie .

Si chaque agence de location dispose de son propre barème de prix , notez que le prix de la location dépendra généralement de plusieurs critères :

• Le modèle et l’ année du véhicule ;
• La durée de location (tarif dégressif au-delà de 15 jours) ;
• La période de location (basse saison entre janvier et mars, haute saison entre juillet et août) ;
• L’ anticipation de la location (certains loueurs proposent un système d’ early booking discount qui fait que vous payerez moins cher si vous réservez longtemps en avance) ;
• Le montant de la franchise et la couverture de l’ assurance ;
• Les options (kilométrage illimité, transfert depuis l’aéroport, second conducteur, traversée de frontières, …) et l’ équipement compris (matériel de camping, réfrigérateur, GPS, téléphone satellite, jerrycan, …).

Vous souhaitez savoir quel modèle, quelle agence, quelles options et quelles assurances choisir ? 👉🏻 Découvrez notre petit guide pratique : la Namibie en 4×4

Pourquoi faire un road trip en Namibie ?

Pays précurseur de l’ écotourisme et du tourisme responsable , l’activité touristique est une ressource clé pour l’économie de la Namibie. Les guides de voyage qualifient souvent la Namibie de destination d’aventure et ils ont bien raison : avec ses deux déserts, le Kalahari et le Namib, ses réserves naturelles idéales pour un safari et ses beaux paysages, la Namibie séduit les amoureux de la nature. Voyager en Namibie c’est aussi aller à la découverte de l’une des plus grandes concentrations d’art rupestre et se plonger dans une histoire fascinante , en allant à la rencontre des tribus namibiennes, telles que les Bochimans ou les Himbas, qui contribuent à la richesse et la diversité du pays.

Alors si vous hésitez encore, on vous donne 5 raisons pour lesquelles vous devez absolument découvrir la Namibie :

Des paysages grandioses

La beauté des paysages namibiens vous coupera le souffle et vous surprendra. L’immense diversité de ses paysages et de ses habitats naturels nous montre à quel point l’homme est petit face à la nature. Il y a peu de pays dans le monde qui offrent un tel spectacle aux yeux des voyageurs ! Lors de votre road trip en Namibie, vous pourrez découvrir des paysages majestueux tels que le Fish River Canyon , qui est le deuxième plus grand canyon au monde avec une longueur de 160 km. Dans le nord du pays, Etosha abrite l’un des plus grands et des plus beaux parcs animaliers d’Afrique. Le désert du Namib , le plus ancien au monde, vous offrira des paysages époustouflants avec Sossusvlei et ses dunes de sable rouge qui s’étendent sur une soixantaine de kilomètres. Enfin, si vous voyagez en août et septembre, vous ne pouvez pas manquer de visiter le désert fleuri du Namaqualand ! Les amoureux de la nature découvriront un paysage sauvage où quelques gouttes de pluie transforment cette étendue désertique en un interminable champ de fleurs colorées.

Une culture unique

Dans cette ancienne colonie allemande, les traces de l’héritage colonial sont toujours visibles à travers un patrimoine architectural datant du début du siècle. La capitale du pays, Windhoek , a su conserver une architecture typique comme l’église luthérienne de Christuskirche, qui fut longtemps le symbole de la présence allemande. Durant votre voyage en Namibie, vous pourrez observer l’influence de la culture allemande , à travers l’architecture certes, mais aussi dans la gastronomie locale ou la Windhoek Oktoberfest . Dans le beau village de Aus , au sud du pays et au cœur des montagnes, vous pourrez observer des troupeaux de chevaux sauvages . Nous vous conseillons également de vous arrêter lors de votre road trip en Namibie dans la ville agricole d’Otjiwarongo , qui signifie « beau lieu ». Ne manquez pas non plus la jolie ville de Swakopmund située près du désert du Namib et célèbre pour son style bavarois ou encore la ville fantôme de Garub dont l’ancienne gare est classée monument historique. 

Même si la Namibie est un pays jeune sur le plan politique, son histoire et sa culture sont très riches. Vous serez notamment frappés par son incroyable diversité culturelle provenant des différents peuples qui la composent. La Namibie compte en effet 12 groupes ethniques (Himbas, Hereros, Tswanas, Bochimans, Khoisan, Namas, Damaras, Ovambos, …) regroupant de nombreuses tribus et parlant une trentaine de langues différentes. Pour les amateurs d’histoire, le site archéologique de Twyfelfontein , inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, abrite une impressionnante collection de peintures rupestres et de pétroglyphes. Ne tardez pas à venir en Namibie découvrir cette culture fascinante !

Le sentiment d’être seul au monde

Si vous voulez vous sentir libre et échapper à la foule, voyager en Namibie vous donnera la sensation d’être vraiment seul au monde . Comme nous le disions, sa densité de population est l’une des plus faibles au monde : seulement 2,8 habitants au kilomètre carré. Pour vous donner un ordre d’idée, c’est un pays qui peut être ainsi comparé à la Mongolie, au Groenland ou encore aux îles Falkland. Aussi, ne vous étonnez pas de ne croiser aucune voiture au cours d’une journée de road-trip et de ressentir un puissant sentiment de liberté et de solitude . De quoi vous garantir également de belles nuits étoilées grâce à l’absence de pollution lumineuse ! 

Les paysages grandioses de Namibie vous offriront aussi la chance d’observer des animaux rares ou en voie d’extinction comme le vautour à dos blanc, le rhinocéros blanc ou le chien sauvage d’Afrique. Vous pourrez observer pleinement les différentes teintes des levers et couchers de soleil dans le désert du Namib. Plongés au cœur de la nature et entourés d’une flore et d’une faune exceptionnelle, vous aurez cette impression de vous retrouver dans un endroit encore préservé du monde humain , comme peu de lieux sur terre le permettent encore. Que ce soit dans le désert du Namib ou à Sandwich Harbour, un des rares lieux au monde où le désert rencontre l’océan, vous ressentirez ce sentiment profond.

Une grande concentration d’animaux sauvages

Un road trip en Namibie est pour beaucoup de voyageurs synonyme d’un safari d’exception. En effet, la Namibie est connue pour abriter l’une des plus importantes concentrations d’animaux du continent africain. Vous pourrez croiser fréquemment des rhinocéros, des éléphants ou des girafes et apercevoir des animaux sauvages vivant en liberté . Une des étapes de votre road-trip sera très certainement le parc national d’Etosha , qui est réputé être l’une des plus belles réserves animalières de la planète. Pour la préserver ce site hors du commun, de nombreux points d’eau ont été aménagés, afin de faciliter l’observation des animaux durant la saison sèche.

Un voyage en Namibie hors des sentiers battus vous amènera à croiser bien évidemment les grands prédateurs tels que les lions et les guépards. Mais les amateurs d’ornithologie pourront également observer de nombreuses espèces d’oiseaux comme le tisserin, qui fabrique des nids ronds admirablement tressés, ou encore le Traquet de montagne ou l’Alouette des Dunes qui est présent uniquement dans le sud du désert du Namib. Dans le nord-est du pays, vous pourrez aussi croiser des hippopotames et des crocodiles ! Enfin, si vous êtes chanceux et accompagnés d’un guide, vous pourrez observer les derniers éléphants du désert , près de la rivière Hoanib dans la région de Kunene ou observer l’une des plus importantes colonie d’otaries à fourrure à Cape Cross.

De l’aventure à l’état pur

La Namibie est un terrain de jeu parfait pour vivre des expériences insolites et des activités originales ! Ce pays riche et varié offre des possibilités de voyages pour tous les goûts : safari sauvage dans le parc d’Etosha, vol en montgolfière au dessus du désert du Namib et des dunes de Sossusvlei, nuit à la belle étoile au milieu de la Réserve naturelle du NamibRand, treks sur plusieurs jours dans le canyon de la Fish River ou encore excursions en quad dans les dunes de sable de la côte des squelettes… Le choix est large ! Lors de votre voyage en Namibie, on vous invite aussi à découvrir les environs de Walvis Bay en kayak afin d’observer les impressionnantes colonies de phoques. Enfin pour les plus nostalgiques, vous pourrez emprunter le mythique Shongololo Express qui traverse l’Afrique du Sud et la Namibie et offre des paysages somptueux et variés.

Quelle période pour aller en Namibie ?

La période idéale pour partir en voyage est une préoccupation que nous avons tous à l’heure de la réservation. Heureusement, la Namibie se caractérise par des paysages et écosystèmes très variés et jouit grâce à cette diversité d’un climat favorable tout au long de l’année . Alors si vous recherchez du soleil et des températures agréables, vous avez trouvé votre prochaine destination de voyage ! Son taux d’ensoleillement est de 300 jours par an et ses températures varient entre 20 et 30 degrés , ce qui rendra votre prochain voyage en Namibie forcément agréable.

Le climat de la Namibie peut se résumer ainsi :

• un climat désertique sur la côte, le désert du Namib, le Damaraland et le Kaokoland ;
• un climat semi aride dans la partie centrale et dans l’est du pays (désert Kalahari, Etosha, Bushmanland, …) ;
• un climat subtropical dans le nord et l’est du pays (Ovamboland, Kavango, Bande de Caprivi, …).

On distingue 3 grandes saisons en Namibie :

• une saison sèche et fraîche de mai à août, durant l’hiver austral ;
• une saison chaude et sèche de septembre à novembre ;
• une saison des pluies de décembre à avril, durant l’été austral.

Il faut savoir que la Namibie se situe dans l’hémisphère sud, et que donc les saisons sont inversées par rapport à l’Europe.

Vous l’avez compris, la Namibie est un pays dans lequel on peut partir tout au long de l’année. Mais pour profiter pleinement de l’ensemble du pays, on vous conseille la saison sèche, entre fin avril et début décembre . Partir en Namibie à cette période de l’année vous garantira un soleil radieux et des températures agréables, notamment au cours des mois de mai, juin, septembre et octobre où la fréquentation est moins importante.

Si vous souhaitez partir en Namibie durant la saison des pluies (de décembre à avril), ce n’est pas une mauvaise idée pour autant car la côte et les plateaux centraux du pays sont relativement épargnés. A cette période, vous pourrez observer des paysages verdoyants aux couleurs magnifiques. Par contre, il est conseillé d’éviter le sud du pays entre décembre et avril car les températures sont très élevées.

En réalité, il n’y a pas de meilleure saison pour un voyage en Namibie. Quel que soit le moment où vous partirez, un road trip en Namibie vous enchantera et les beaux paysages rendront cette expérience inoubliable !

Alors comment choisir la saison qui vous correspond ? En fonction de vos envies et des expériences que vous souhaitez vivre sur place, découvrez les meilleures périodes pour découvrir la Namibie .

Que faire lors de votre road trip en Namibie ? 4 régions incontournables à découvrir

Lorsqu’on voyage pour la première fois en Namibie et que notre temps est compté, il est difficile de faire des choix concernant pour maximiser son itinéraire. Voici donc les principales régions et lieux à découvrir absolument au cours d’un road trip en Namibie :

Le désert du Namib et la côte (ouest)

Partir en Namibie avec le seul but de découvrir le désert du Namib, plus vieux désert de la planète , est une expérience suffisamment grandiose qui justifie déjà l’organisation d’un road trip en Namibie. Le parc de Namib Naukluft est le plus grand parc d’Afrique et le quatrième au monde et cela n’est pas son seul atout. Ses paysages grandioses, la beauté de ses dunes qui figurent parmi les plus hautes du monde et ses étendues désolées de la vallée de Dead Vlei qui semblent tout droit sortis d’un décor de film… Le vol en montgolfière au lever du soleil pour contempler les dunes rouges et ocre de Sossusvlei fait également partie de ces expériences uniques et insolites qui vous marqueront à vie. Ce site est d’ailleurs tellement immense qu’on nomme Sossusvlei la mer de sable !

Tout près de là, se trouve un autre lieu incontournable d’un road trip en Namibie : la réserve naturelle de NamibRand . Ne manquez pas ses paysages sublimes et le canyon de Sesriem , une réserve naturelle privée qui mêle désert, savane et  montagnes pour le plus grand plaisir des photographes.

Votre voyage sur-mesure vous conduira ensuite en direction de la côte des Squelettes et de la magnifique baie de Sandwich Harbour située un plus au nord : un lieu exceptionnel accessible uniquement en 4X4 et où le désert se jette littéralement dans l’océan. Vous pourrez découvrir ensuite le mystérieux village fantôme de Kolmanskop, un lieu énigmatique où le temps s’est arrêté et où la nature a repris ses droits. Perdu au milieu du désert du Namib et abandonné depuis longtemps, Kolmanskop fut l’un des villages les plus modernes d’Afrique et connut son apogée dans les années 1920, avant d’être englouti par le désert.

Le Désert du Kalahari et le grand sud namibien

Pour découvrir la Namibie autrement et hors des parcours conventionnels, direction le sud du pays, une terre sacrée pour le peuple San, les premiers habitants d’Afrique australe. C’est une partie de la Namibie peu visitée par les touristes , car éloignée des principaux circuits et réservée aux voyageurs en quête d’aventure. Ces terres sont le domaine de prédilection des randonneurs qui partent explorer le canyon de la Fish River . Il s’agit de l’un des canyons les plus grands et des plus longs au monde. Un sentier de randonnée long de 85 kilomètres vous permettra d’approcher une faune sauvage exceptionnelle (zèbres des montages, koudous, oryx, klipspringers, etc) et de profiter de paysages désertiques à couper le souffle ainsi que de couchers de soleil réputés parmi les plus beaux sur terre. 

Le Grand sud namibien recèle d’autres lieux sauvages et magnifiques, comme l’intrigante forêt de Kokerboom et ses arbres à carquois qui rappellent les dragonniers de l’île de Socotra . L’immense désert du Kalahari aux 900 000 km2 entre le Botswana, la Namibie et l’Afrique du Sud est également un incontournable pour un road trip en Namibie, de même que les paysages uniques et verdoyants du Namaqualand .

Le pan d’Etosha et la bande de Caprivi (nord)

Pour les amoureux de la nature sauvage qui souhaitent vivre l’expérience du safari en Namibie lors de leur road trip, le parc national d’Etosha, destination phare de tout voyage en Namibie, est un incontournable. Le parc d’Etosha est une aire protégée unique en Afrique. Déclarée réserve naturelle en 1907 et considérée comme l’une des plus belles réserves animalières de la planète , Etosha abrite un écosystème exceptionnel et concentre plus de 144 espèces de mammifères et près de 340 espèces d’oiseaux observables toute l’année.

Partez à l’aventure au cœur de ce paradis faunique avec les meilleurs guides de Namibie pour pister le Big five et passez une nuit loin de toute civilisation dans un magnifique lodge, entre le noir absolu de la nuit pure et les cris intenses des animaux sauvages.

Un voyage en Namibie est aussi synonyme de paysages luxuriants. Plus au sud vous trouverez les hauts plateaux et le Parc national du Waterberg , un lieu à l’écart des principales routes touristiques qui offre des panoramas exceptionnels sur le Kalahari. Et à l’extrême nord-est du pays, la bande de Caprivi où vous découvrirez de belles plaines inondées, véritable oasis pour les animaux sauvages. Caprivi est aussi la porte d’entrée sur le Zimbabwe, la Zambie et le Botswana où vous pourrez découvrir les chutes Victoria et le parc national de Chobe.

Les plateaux du Damaraland et le pays Himbas (nord-ouest)

Partir en Namibie, c’est aussi découvrir une autre culture et un autre visage du pays, que l’on ne voit rarement dans les lectures de blogs, livres et guides de voyage. La région autonome de Kaokokand , située à la frontière avec l’Angola, vous révélera tous ses secrets et vous fera vivre une expérience immersive. Le Kaokoland est le pays des Himbas, un peuple semi-nomade aux traditions ancestrales qui vit de l’élevage de troupeaux. Visiter cette région est également l’occasion de découvrir les chutes de Ruacana et les chutes Epupa , hautes de 37 mètres et d’une beauté incomparable. Un conseil : si vous êtes amateur de sensations fortes, partez avec un guide local explorer la rivière de Kunene en canoë !

Plus au sud, se trouve le Damaraland , territoire créé et délimité durant l’apartheid pour abriter le peuple des Damaras, l’un des peuples les plus anciens de Namibie. Le Damaraland est l’une des dernières régions sauvages d’Afrique australe, dans laquelle on peut encore apercevoir des animaux sauvages se déplaçant en toute liberté et en dehors des réserves naturelles. Ne manquez pas dans cette région le site archéologique de Twyfelfontein , classé au patrimoine mondial de l’Unesco pour ses peintures rupestres exceptionnelles restées intactes depuis des milliers d’années, ainsi qu’une curiosité géologique unique : le Spitzkoppe . Cette montagne que l’on surnomme le “Cervin de Namibie”, est un amoncellement de roches granitiques vieilles de plus de 700 millions d’années qui culminent à 1 784 mètres d’altitude. C’est le lieu idéal pour pratiquer la randonnée et l’escalade !

En panne d’inspiration ? 

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Conseil pour la préparation d’un road trip en Namibie ?

Quelle durée pour un road trip en namibie .

Pour un premier road trip en Namibie, nous vous conseillons de partir au moins 15 jours car malgré le faible décalage horaire, c’est un pays où les distances peuvent être longues et fatigantes. En effet, la Namibie est un pays très vaste avec un réseau routier peu développé et il faut donc du temps pour découvrir ce pays fascinant.

Par ailleurs, comme toutes les régions ont leurs attraits spécifiques, il faudra faire un choix si vous ne partez que 2 semaines… C’est pourquoi on vous incite à bien réfléchir aux lieux que vous souhaitez visiter en priorité. Par exemple, si vous souhaitez effectuer un trek d’une semaine dans le canyon de la Fish river ou sur le plateau du Waterberg nous vous conseillons de partir 3 semaines pour avoir le temps de découvrir d’autres régions du pays. De même si vous comptez inclure une découverte approfondie du parc national d’Etosha, il est bon de prévoir d’y séjourner au minimum 3 ou 4 nuits. Vous aurez ainsi le temps de traverser ce parc immense dans son intégralité, et d’y observer une multitude d’animaux sauvages !

La Namibie est un pays qui se découvre à son rythme , au gré des rencontres avec les locaux et avec la faune sauvage. Donc rien ne sert de se dépêcher, prenez votre temps et profitez du spectacle !

Quelle agence de location choisir pour un road trip en Namibie ?

La plupart des agences proposent des tarifs relativement similaires et les différences se jouent essentiellement par rapport à l’ état des véhicules , au niveau d’ assurance proposé et à la qualité du service client .

Chez The Outsiders, nous sommes en contact avec plus d’ une trentaine d’agences de location de 4×4 en Namibie mais par souci de neutralité, nous ne souhaitons pas en recommander une en particulier dans cet article. Sachez qu’il existe de très nombreuses entreprises sérieuses avec un bon niveau de service .

Pour autant, avec l’expérience, nous avons l’habitude de travailler avec certains loueurs plus que d’autres. Notre choix se base sur plusieurs critères : le prix , la qualité des véhicules et de l’équipement, les conditions d’ assurance , la réactivité du service client , les avis positifs de nos clients, ainsi que les services proposés (transferts gratuits depuis l’aéroport, kilométrage illimité, assistance 24/24, …).

Vous ne savez pas comment orienter vos recherches ? Vous ne voulez pas perdre de temps à comparer les différentes offres et contacter de nombreux loueurs ?

En remplissant ce formulaire, votre demande sera automatiquement transmise à plusieurs loueurs qui prendront contact avec vous au plus vite. Sachez que cela ne vous engage à rien puisque ce service est 100% gratuit et que vos données personnelles ne seront utilisées à aucune autre fin que pour être transmises aux différentes agences.

Et si vous avez besoin d’aide pour créer votre itinéraire et organiser votre road trip en Namibie dans les moindres détails, vous pouvez également  faire appel à nos services .

Grâce à nous, vous pourrez ainsi  économiser jusqu’à 20% du prix de la location du 4×4  et profiter des tarifs très intéressants que nous avons négociés avec de nombreux prestataires locaux (pour la location de véhicule mais aussi pour les hébergements et de nombreuses activités).

Voici ce que pensent nos clients :

Quelle assurance choisir pour un road trip en Namibie ?

Il est important d’avoir en tête qu’ en Namibie le client est toujours responsable des dommages causés au véhicule de location à hauteur du montant de la franchise choisie , et ce quelle que soit la personne considérée comme étant responsable ou à l’origine de l’accident.

Il est donc fortement recommandé de souscrire à un rachat de franchise . Le prix de la location sera plus élevé mais en cas de problème la somme à verser sera moins importante.

Soyez donc vigilants quant à la couverture retenue et vérifiez bien que vous êtes couverts en cas de dommages sur le pare-brise ou les pneus .

Au-delà du véhicule, si vous avez besoin d’une assurance pour votre voyage, n’hésitez pas à découvrir nos offres !

Quelques règles et conseils pour un road trip en Namibie :

Règles de conduite :

• Pour louer un véhicule, le permis de conduire international est obligatoire, même si un permis de conduire français avec traduction officielle en anglais fera l’affaire
• Pour louer un véhicule, le conducteur doit être âgé d’au moins 23 ans et être en possession d’un permis de conduire depuis au moins 5 ans
• La vitesse est limitée à 50 km/h en ville et à 80 ou 100 km/h sur les routes
• La conduite se fait à gauche en Namibie
• Le taux d’alcoolémie toléré est de 0 gramme par litre de sang
• Les feux de croisement doivent être allumés en permanence
• Il n’y a pas de péages ou de taxes routières

Conseils pour organiser son road trip :

• Les stations essence sont rares donc il est conseillé d’être prévoyant. Le litre d’essence ou de Diesel coûte entre 17 et 18 N$ (soit environ 1,1€)
• Il est recommandé d’acheter une carte Sim locale en arrivant à l’aéroport afin d’avoir du réseau et de pouvoir utiliser votre GPS
• Le site Tracks4africa propose d’excellentes cartes routières ainsi que des tracés GPS
• Ce site fournit de précieuses informations sur l’ état des pistes

Carte des routes goudronnées en Namibie

Les alternatives à la voiture pour découvrir la Namibie :

Pour ceux qui ne souhaitent pas louer de véhicule pour réduire leur empreinte carbone, la compagnie de bus Intercape ainsi que la compagnie ferroviaire Transnamib assurent quelques liaisons mais celle-ci sont très limitées.

En revanche, les trains touristiques namibiens sont un moyen bien plus agréable et efficace que les trains classiques pour découvrir la Namibie. Il existe deux trains touristiques en Namibie : le Desert Express qui fait la liaison Windhoek-Swakopmund deux nuits par semaine, et le Shongololo Express , un train luxueux qui traverse en deux semaines l’Afrique du Sud et la Namibie en passant par les plus beaux sites de la région.

Quel budget pour un road-trip en Namibie ?

Vous avez de la chance, la Namibie est une destination bon marché pour les voyageurs avec un coût de la vie près de deux fois inférieur à celui de la France (40% moins élevé). À titre d’exemple, un billet d’avion aller-retour depuis la France vous coûtera environ 700-800 euros , parfois davantage durant la haute saison touristique.

Réaliser un road trip en Namibie, c’est la promesse de découvertes inoubliables. Pour que votre périple en Namibie se déroule dans les meilleures conditions en termes de confort et de sécurité, il faudra prévoir un budget d’environ 2 500 – 3 000 euros par personne pour un voyage de 15 jours en autonomie , incluant le vol aller-retour, la location du véhicule et les hébergements. Bien entendu, il ne s’agit là que d’une moyenne et le prix du voyage pourra varier en fonction de votre manière de voyager, des choix d’hébergement et de la période de l’année à laquelle vous comptez partir. Il faut savoir également que les activités font partie des extras qui coûtent le plus cher en Namibie (ex : excursion en 4X4 sur la côte des squelettes, survol en montgolfière du désert du Namib, …).

Sachez que chez The Outsiders, nous travaillons et négocions en direct avec les meilleurs prestataires sur place afin de vous faire profiter des meilleurs tarifs pour les hébergements , la location d’un 4×4 et un grand nombre d’activités (vol en montgolfière au-dessus du Namib, tracking avec un guide pour observer la faune sauvage, excursion en canoé, …).

Si vous êtes intéressés, n’hésitez pas à nous solliciter !

Où dormir en Namibie ? Notre sélection d’hébergements insolites

Pour profiter à fond de votre road trip en Namibie et profiter des plus beaux couchers de soleil, nous vous avons fait une petite sélection de lodges et campsites insolites :

Les lodges :

Shipwreck Lodge : Conçu de façon unique autour des naufrages énigmatiques qui bordent la Côte des Squelettes de Namibie, le Shipwreck Lodge est un endroit magique. La Côte des Squelettes est une zone sauvage et désertique, où des dunes imposantes et des plaines balayées par le vent s’étendent à perte de vue et sont battues par les eaux glacées de l’Atlantique. Séjourner dans ce Lodge offre l’occasion unique d’explorer une partie de la nature sauvage africaine à l’état brut.

Wolwedans Dunes Lodge : Perché au sommet d’un plateau de dunes, le lodge se situe dans la réserve naturelle du NamibRand. Vous pourrez ainsi observer grâce aux vues panoramiques la beauté du désert namibien. Il est construit en bois et en toile et reflète l’ambiance d’un camp de tentes, tout en offrant le confort et la protection d’un bâtiment permanent. 

Sonop Lodge : Situé au cœur du désert du Namib, non loin des iconiques dunes rouges de Sossusvlei,  Sonop est un petit bijou qui possède d’ailleurs sa propre piste d’atterrissage. Ce magnifique lodge luxueux est isolé dans un paysage désertique avec volcans et montagnes à perte de vue. Sa piscine à débordement vous permettra ainsi d’admirer les étendues désertiques et les reliefs au loin !

Grootberg Lodge : Niché sur les hauteurs du plateau d’Etendeka au coeur du Damaraland et proche du Mont Grootberge, le Grootberg Lodge est géré par les communautés locales et il est idéalement situé pour réaliser un road trip d’exception à travers la nature sauvage, à la découverte des éléphants du désert. Vous pourrez admirer les paysages grandioses de la Namibie au plus près, en profitant de votre chalet privatif ou de la piscine extérieure donnant sur la magnifique vallée de Klip River. Le lodge est également conçu de façon à avoir le moins d’impact possible sur son environnement, et on valide !

Les campsites : 

Spitzkoppe camp (sud du Damaraland) : Ce camp est l’un des plus sauvages et des plus spectaculaires de la Namibie et il est connu dans le monde entier. Cette oasis de montagne aux grottes secrètes vous permettra de camper en toute tranquillité et l’éloignement des emplacements fait que vous n’aurez pas de voisin. Vous pourrez profiter pleinement d’une aventure insolite et sauvage en plein désert…

Waterberg Plateau park campsite : Le Plateau du Waterberg est un site naturel exceptionnel composé des falaises d’une couleur flamboyante, d’une hauteur de 200 mètres. Il surplombe le désert du Kalahari et on y trouve également une flore impressionnante. Le camp n’a pas d’emplacements délimités et vous pourrez vous installer où vous voudrez et choisir la meilleure vue sur la réserve. 

Découvrez notre sélection des meilleurs campsites en Namibie

Découvrez notre sélection d’hébergements en namibie sur cette carte :, a-t-on besoin à tout prix d’un guide pour partir en namibie .

Bien qu’un guide local ne soit pas indispensable pour organiser un road-trip en Namibie , il pourra toutefois vous faire voyager comme aucun autre voyageur en vous faisant gagner un temps précieux et en vous offrant une expérience aussi enrichissante qu’inoubliable.

Voyager avec un guide vous permettra en effet de découvrir des lieux insolites et reculés , peu connus des touristes et fréquentés par les locaux. De plus, les guides locaux ont leurs petits secrets, leurs anecdotes, leurs liens avec les populations locales et ils connaissent mieux que personne leur pays, ses coutumes, ses secrets et sa faune sauvage. Votre guide pourra ainsi vous renseigner au mieux sur la flore et la faune environnante et saura repérer un animal , de jour comme de nuit, au simple bruit de ses pas ou à son cri.

Par ailleurs, si vous n’avez pas envie de vous prendre la tête, voyager avec un guide en Namibie vous garantira de vivre pleinement l’aventure sans stress et sans embûches (crevaison, panne d’essence ou égarement en plein désert). Vous profiterez ainsi à 100% de votre road trip en Namibie et en plus de cela, vous participerez plus activement au soutien de l’économie locale .

Mais sachez que la plupart des voyageurs qui organisent un roadtrip en Namibie partent sans guide et organisent leur voyage par eux-mêmes. Si vous souhaitez partir en autonomie mais que vous n’avez pas le temps de préparer vous-même votre road-trip en Namibie, nous sommes à votre disposition pour vous aider à créer avec vous un itinéraire sur-mesure en tenant compte de vos envies et de vos attentes .

Nous pouvons aussi bien vous aider à créer et organiser un voyage sur-mesure pour voyager en complète autonomie ou alors vous mettre en relation avec les meilleurs chauffeurs, guides locaux et spécialistes de la Namibie . Dans les deux cas, vous pourrez profiter pleinement de l’expérience et des paysages grandioses de Namibie sans vous soucier de l’organisation et de la logistique.

Les meilleurs circuits pour découvrir la Namibie en 4×4

Vous avez envie d’explorer le cœur des grands espaces namibiens et tenter l’expérience d’un safari ?

Que vous souhaitez passer vos nuits en lodge ou en camp, voici quelques idées d’itinéraires pour découvrir la Namibie en 4×4 .

Road trip de 15 jours et plus :

Les incontournables de la namibie.

• Mariental et le désert du Kalahari
• Sesriem et le désert du Namib
• Walvis Bay et la côte des Squelettes
• Le parc national d’Etosha

Sur les traces des animaux sauvages de Namibie

• Le Parc national d’Etosha , la plus grande réserve animalière du pays
• La réserve naturelle d’Okonjima pour observer les léopards
• Le plateau du Waterberg pour approcher les rhinocéros
• Le lit des rivières Ugab et Hoanib pour pister les éléphants du désert
• La côte des Squelettes pour observer les otaries

Les régions sauvages du Damaraland et du Kaokoland

• Le Damaraland et les montagnes d’Erongo
• Le pays Himbas (Purros, Marienfluss, Opuwo)

Road trip de 3 semaines et plus :

Le grand tour de la namibie.

• Le Fish River Canyon , Luderitz et Kolmanskop
• Le désert du Namib et la côte des Squelettes
• Le Damaraland et le parc national d’Etosha

L’essentiel de la Namibie et du Botswana

• Le Delta de l’Okavango et le parc national de Chobe

Du désert du Namib aux chutes Victoria

• L’essentiel de la Namibie (le désert du Namib , la côte des Squelettes , le parc d’Etosha , …)
• La Bande de Caprivi (les parcs de Bwabwata et de Mahango, les rivières Okavango et Kwando )
• Le parc national de Chobe et les chutes Victoria

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Bali Autrement

Pour un Bali authentique, hors des sentiers battus

Bali Authentique et itinéraire hors des sentiers battus

15 octobre 2019

Bali hors des sentiers battus

Conseils et guide pratique pour voir bali autrement itinéraire et conseils.

Un « Bali autrement », un Bali authentique : on en rêve..! Mais il ne faut pas se le cacher, l’île des dieux est convoitée. Étant adepte des grands espaces et du « hors sentiers battus », Bali nous a fait hésiter. Et sur place, on a effectivement été confronté à une urbanisation galopante, aux foules de touristes, aux rabatteurs, aux enseignes tapageuses, aux boutiques de grandes marques et d’autres choses que l’on préfère fuir ! Alors sortir des sentiers battus quand on va à Bali est très difficile, soyons honnêtes. Malgré cela, on te donne quelques idées, anecdotes et conseils pour vivre Bali autrement , un Bali authentique , un Bali hors des sentiers battus . Au final, cette île nous a offert une belle dose d’aventures et de sincérité. On ne pouvait pas louper ça !

Voir Bali autrement : quelques conseils généraux

D’abord les évidences pour vivre un Bali authentique et hors des sentiers battus :

• voyage hors période « Juillet-Août » . L’île attire du monde toute l’année, mais ces mois sont à éviter. Septembre, octobre et décembre sont également des mois d’affluence. Janvier, février, mars et avril sont à privilégier.
• fait tes visites culturelles tôt le matin . Les temples sont un des nombreux attraits de Bali. Mais ils sont sur-fréquentés, ce qui peut gâcher la visite. Pas de secret, il faut se lever tôt pour visiter les temples dès l’ouverture . On te rassure : quelques bâillements et l’énergie pour se tirer du lit en valent largement la peine. Le temple Gunung Kawi, quasi désertique au petit matin, est exceptionnel. On y reviendra. Les premières cérémonies du temple Danau Bratan sont aussi un moment fort. Le temple Uluwatu peut se visiter en fin de journée : il offre un magnifique coucher de soleil.

• Va à la rencontre des Balinais . C’est un peuple accueillant, souriant. Toutes les occasions sont bonnes : marché locaux, cours de cuisine, discussion avec les guides locaux, cérémonies, petits villages où tu es le seul visiteur, enfants curieux…Les Balinais sont heureux de partager leurs cultures et leurs visions de la vie.

Nos expériences pleines d’aventures pour un Bali autrement

Pour vivre un Bali authentique , il faut oser tenter des aventures, braver ses appréhensions pour s’extirper des circuits trop classiques. A commencer par le moyen de locomotion !

Louer une Katana

Les touristes utilisent en grande majorité des taxis ou des chauffeurs avec guide . C’est une bonne idée : le coût est faible. Mais tu risques de rester sur les « voies principales » et classiques du tourisme à Bali. Oser s’aventurer sur les chemins de traverse en louant son propre moyen de locomotion est déjà une grande porte ouverte vers l’aventure et les routes alternatives loin des touristes.

Soif d’indépendance ? Esprit aventurier ? Téméraire ? La katana est pour toi : elle comblera tes désirs d’aventure ! Bon allez, la marque Katana n’est pas obligatoire mais en tout cas, avoir un 4×4 et oser la conduire seul, sans guide : c’est la liberté !

Cette option nous a permis :

• d’être libre et autonome
• de se risquer aux routes cabossées, mal entretenues, chemins de terre
• de bien rire (comme lorsqu’on s’est retrouvé à contre sens dans Ubud, dans un cortège Balinais rempli de danseurs et de musiciens)

Il faut quand même qu’on te prévienne : conduire à Bali, ce n’est pas rien. Conduire une Katana, c’est quelque chose.

Si tu optes pour la location de voiture, il y a quatre choses à savoir pour voyager à Bali :

• Conduis à gauche. C’est la règle. L’unique presque : il y a peu de règles de circulation, pas de priorités…
• Sois prudent . Il y a beaucoup de monde surtout dans les villes. Attention aux scooters, ils se faufilent partout.
• Prends ton permis de conduire internationale (à demander avant ton départ). Éventuellement, glisses-y un billet de 50000 rp pour les contrôles, pour un éventuel policier corrompu un peu collant ou si tu as commis une petite faute… Pour notre part, nous n’avons eu aucun souci.
• Durant nos voyages, on a pour habitude d’utiliser le site rentalcars pour dénicher les meilleures offres de location de voiture.

Déambuler sur les marchés

On te conseille le marché nocturne de Gianyar . Nous étions quasiment les seuls touristes là-bas. Le marché est joyeux, les stands de nourriture n’en finissent plus. C’est l’occasion de se risquer à la nourriture vraiment locale , vraiment épicée pour un Bali autrement. Le marché est parsemé de petites échoppes dont certaines servent des plats « faits maison » un peu à la manière d’un « Street food ». Tu y trouveras les plats typiques de la région comme le babi guling ou le bakso. Nous avons opté pour le « Nasi campur » : un mélange de plusieurs spécialités. Mais il y a d’autres options. A ce sujet, as-tu lu notre article sur la gastronomie Balinaise ?

Bien sûr, on trouve également de quoi s’approvisionner en fruits, vêtements et « babioles » que l’on trouve habituellement dans un marché ! A chaque fois que nous y sommes allés, on a payé le même prix que les locaux, ce qui est suffisamment rare pour le signaler ! C’est très local, et on peut y goûter des choses un peu différentes. Demande tout de même les prix avant de commander pour éviter de te faire avoir !

Gianyar se situe à environ 30 min de Ubud . Mis à part son marché nocturne, la ville a peu d’intérêt.

Participer à une fête traditionnelle

A Bali, les fêtes et la religion hindouiste prennent une place importante, et ce n’est pas pour nous déplaire ! Ces rituels sacrés, ces fête donnent l’occasion aux Balinais de se rapprocher d’un certain bonheur, d’une plénitude, d’une harmonie, d’une sérénité qui les caractérisent tant. Chaque village, chaque jour, chaque temple, chaque événement est autant de lieux ou de moments pour organiser une cérémonie. Entre crémations, mariages, célébrations d’un temple ou d’un Dieu : tu auras plein d’occasion de vivre une cérémonie festive et pleine de couleur à Bali. Tu peux même te marier (non officiellement) à Bali !  

Voici quelques fêtes religieuses importantes dans le cœur des Balinais :

L’odalan

C’est une fête hindoue qui a lieu dans tous les villages de Bali. Les villageois se réunissent afin de fêter l’anniversaire de fondation de leur temple. Cet anniversaire se perpétue tous les 210 jours (et non tous les 365 jours comme avec notre calendrier occidental). Il n’y a pas « une date » pour toute l’ile de Bali : chaque village a sa propre date pour célébrer l’Odalan. Et comme il existe plus de 20 000 temples à Bali, tu devrais forcément pouvoir y assister à un moment dans ton séjour… A l’heure où tu lis ces lignes, quelque part dans un village de Bali, peut-être célèbre-t-on l’Odalan ? Tu pourras alors admirer des processions , des habits magnifiques et colorés portés par les villageois, des décorations du temple , des danses traditionnelles …

Dans les grands temples, comme le Pura Besakih, l’événement est majeur : il réunit un nombre considérables de Balinais et de touristes…

Nyepi célèbre le silence … Mais c’est bruyant ! En tout cas, la veille, les mauvais esprits sont attirés par des offrandes , puis effrayé par un vacarme tonitruant ! Pétards, gongs, cris : tout est bon pour faire peur aux génies maléfiques représentés par des (faux) monstres qui déambulent dans les rues… Cette fête très sympathique a généralement lieux en mars ou en avril Et donc, le jour même du Nyepi, les gens sont invités à rester chez eux (les touristes aussi !) rendant aux villages une ambiance… silencieuse !

Le Galungan et le Kuningan

Le Galungan célèbre la création de l’univers et la victoire du bien contre le mal. Elle a lieu un mercredi tous les 210 jours (il faudra te renseigner sur sa date exacte qui change d’année en année par rapport à notre calendrier). Lors du Galungan, les balinais rentrent dans leur village familial pour honorer les dieux et les ancêtres.

Le  Kuningan est une fête de purification qui a lieu 10 jours après le Galungan . Lors de cette fête, les esprits des parents défunts reviennent visiter leurs précédentes « maisons terrestres » et les Balinais redoublent d’hospitalité et de bienveillance pour accueillir leurs ancêtres. On trouve alors des  offrandes dans toute les maisons . Mais surtout, on peut admirer des offrandes suspendues à de longs bâtons de bambou finement décorés avec des épis de maïs, des feuilles de palmiers, des pousses de cocotiers. Ces offrandes, appelées penjor, bordent les routes de Bali pour le plus grand plaisir des yeux, ébahis par tant de ferveurs.

A noter que lors du Kuningan, l’île « fonctionne au ralenti » : moins de transports, de magasins et d’établissements publics ouverts.

D’autres cérémonies ?

A cela s’ajoute des fêtes familiales de mariage, de naissance, de « limage des dents » (passage de l’adolescence à l’adulte), de crémation… Ainsi que des fêtes du cerf-volant ou la fête de l’indépendance… La liste est encore longue et les prétextes nombreux pour organiser un célébration.

Où assister à une cérémonie ?

Le problème n’est pas vraiment la quantité : il y a pléthore de fêtes. Le problème est plutôt « la qualité ». Car, malheureusement, certaines fêtes deviennent de véritables attractions touristiques , des « shows » qui ont perdu toute leur âme, leur authenticité. Le mieux, pour échapper à ce piège, est de privilégier les petits villages hors des sentiers battus . Les traditions y sont pures et peu influencées par le désir de plaire aux touristes. Évite donc les lieux indiqués en gros sur ton guide de voyage . Privilégie des régions comme Sidemen, Amed ou tout l’ouest. Ce sont des régions moins fréquentées. Et tu y seras toujours le bienvenu, invité dans une cérémonie par un sourire ou un regard complice.

Sois discret lors des fêtes de crémation… Pour être à l’aise, le mieux est de prévoir une tenue « classique » (pantalon ou robe pas trop courte). Dans les cérémonies revêtant un aspect particulièrement sacré, tu pourras facilement louer (ou te faire prêter) un sarong et une écharpe, que l’on noue autour de la taille.

Nos lieux préférés à Bali hors des sentiers battus

Difficile de s’extirper de la masse de touristes à Bali… mais l’effort en vaut la chandelle : tu y découvriras des endroits authentiques. Voici quelques idées, tu peux cliquer sur les icônes.

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Découvrir la jungle d’Ubud

Ubud n’est pas la ville exotique d’aventurier que l’on avait espérée… C’est LA ville touristique de Bali. Tu en as assez du shopping et des bars branchés de cette ville ? Tu veux du Bali authentique autour de Ubud ? Tu peux prévoir une randonnée dans la jungle . La végétation tropicale, de longs ponts à la Indiana Jones, d’immenses feuilles de palmier pour se faire un parapluie, ça te tente ? Nous on a testé : nous sommes rentrés heureux et « tout crottés ».

Pour l’organisation du Trek

nous n’avions rien prévu , voulant être autonome. «  Tsss…On sait le faire tout seul ! » Mais ça ne s’est pas passé comme on l’avait imaginé !

Je te raconte : alors, au pied de la jungle, on croise un guide local qui propose son aide… Nous déclinons son offre : «  Tsss…On sait le faire tout seul ! (2ème édition) ». Quelques mètres plus loin, un monsieur fait barrage, une fourche à la main et un air de « pas content ». Le monsieur demande un droit d’entrée.

Ce droit d’entrée est évidemment moins élevé si on accepte de prendre le guide avec… Mouais ! Bref, rien de bien méchant : après des négociations, on accepte le guide. Bon…voilà une mécanique bien huilée, qui nous a fait sourire et auquel on se plie facilement en se disant que cela à au moins le mérite de faire vivre les locaux. Et puis tout cela restait à un prix très correcte. De plus, notre guide a su s’adapter à nos envies de marches boueuses et de découverte. Sans lui, avouons-le, c’est difficile de se repérer : peu de touristes s’aventurent par ici, les chemins ne sont pas balisés ! Au programme : arbres aux troncs épais, jungle luxuriante, longs ponts en bois, cocotiers et une grosse feuille de bananier pour se protéger de l’averse tropicale ! Cela a été une bonne introduction à notre futur trek dans la « vraie » jungle que l’on fera quelques mois plus tard à Sumatra, et c’est à lire ici !

D’autres choses ?!

La visite d’une culture de café et de chocolat ! Ce détour, quoique sympathique, fait un peu piège à touristes… Comme quoi, même en étant vigilant, ce n’est pas toujours facile d’éviter les pièges. Mais bon, on a quand même appris des choses : le café est fait avec des excréments d’animaux (la Mangouste), le chocolat de Bali est bon, et les ananas poussent dans la terre. Euh…ne nous regarde pas de travers, on savait pas ! La balade se termine par un passage dans les rizières.

D’ailleurs, pour une balade dans les rizières sans passer par la jungle, tu peux être autonome, pas besoin de guide et pas de monsieur à la fourche. Il faut oser prendre des chemins au hasard qui longent les rizières. On est jamais vraiment perdu, mais suffisamment loin du tumulte énervant d’Ubud. Par exemple depuis la route principale d’Ubud, tu peux trouver le Café Lotus sur la JL Raya Ubud. De là, il y a une petite ruelle qui remonte et t’amène vers les grands champs de riz.

De manière générale, randonner autour d’Ubud est sans difficultés pour quelques heures de marche. Prévois quand même de bonnes chaussures et de l’eau.

Le temple de Gunung Kawi

Alors là, on vous livre un coup de cœur ❤️ ! Tu n’as pas réussi à te lever tôt pour les autres temples…Bon, on comprend ! Mais Gunung Kawi…on vient te chercher s’il faut !

Gunung Kawi, c’est l’un des plus vieux temples de Bali . C’est aussi le plus mystérieux. On en connait peu sur son origine. Mais il semblerait qu’au XIe siècle le roi Anak Wungsu ait décidé d’y finir sa vie, le veinard.

A environ 30 minutes au nord d’Ubud, le trésor s’inscrit dans une charmante vallée verte de champs de riz. Rien que le spectacle de la nature qui entoure le temple vaut le détour.

Gunung Kawi, c’est aussi 230 marches à monter ! Oh….reviens là, on t’a dit que c’était chouette ! Passé ce « tranquille » effort, une dizaine de sanctuaires creusés dans la roche s’offre à toi. Comme tu as bien écouté les conseils d’un tour dans le sac , te voilà seul, ou presque , déambulant au milieu de ses mystérieuses merveilles. Elle est pas belle, la vie ?

Le temple Taman Ajun

Toujours non loin d’Ubud, à 20 km au sud-ouest, la ville de Mengwi était la capitale d’un royaume qui n’existe plus maintenant…

Et en son cœur bat un petit joyau de temple : le Taman Ajun ! Ici peu de touristes , en particulier tôt le matin ou au coucher du soleil. C’est un temple superbe, calme, harmonieux, encerclé d’eau et de tours. On aime beaucoup et c’est encore une excellente idée pour ceux qui veulent échapper un instant à la frénésie de Ubud. Tu peux t’y rendre en taxi ou par tes propres moyens depuis Ubud (scooter, voiture de location). Attention cela dit, la circulation à Ubud peut être dense et tu pourrais mettre plus d’une heure pour t’en extirper…

S’émerveiller dans la vallée de Sidemen

Un coup de foudre. Nous sommes littéralement tombés amoureux de la vallée. Et la route pour s’y rendre n’est pas en reste ! C’est paisible , authentique , la nature est sublime , les temples sont envoûtants, les chemins cachés sont sereins. Le mont Agung veille sur les villages, les rizières et les collines verdoyantes.  Si tu peux, loue un logement avec vue sur les rizières . Tu peux aussi prévoir de randonner à travers les plantations . Attention, tu prends tout de même un risque : tu n’auras plus envie de quitter cette campagne bucolique balinaise et vivra le Bali autrement, loin du tourisme de masse.

En haute-saison, il faut réserver à l’avance ton logement. En basse-saison, tu peux te permettre de ne pas réserver, d’en visiter plusieurs et faire ton choix. On en profite pour te révéler un gros coup de cœur ❤️ pour dormir  : une villa somptueuse et spacieuse dans cette région calme, proche de la nature, avec une vue magnifique sur les rizières et le mont Agung. Un havre de paix pour un prix bas… Tu pourras réserver ici pour environ 35 euros par nuit (les prix peuvent varier) et voici quelques secondes de vidéos de ce logement au gout de paradis au cœur d’un Bali authentique .

Plonger à Amed

Bali est réputé pour ses plages paradisiaques et variées.  Mais Amed n’est pas comme les autres : elle tire sa particularité dans sa longue plage de sable noir volcanique et les visiteurs sont un peu moins nombreux par ici. Les fonds marins y sont riches. La plupart des voyageurs viennent ici pour le snorkeling ou la plongée sous-marine .

D’autres choses ? Le coucher de soleil avec les étranges silhouettes des pirogues à balanciers . Mais il y a mieux ! Le spectacle de ces bateaux de pêcheurs multicolores revenant au port au petit matin.  Il faudra encore te lever tôt. Mais c’est un spectacle à découvrir sans une foule de touristes… ça vaut bien quelques cernes matinales non ?

Le village d’Amed offre des restaurants moins prétentieux que la plupart des stations balnéaires de Bali… et le tout avec de jolies vues sur la plage. L’ambiance est un peu plus « roots », moins tape à l’œil. Les environs sont particulièrement adaptés aux ballades en scooter. Tu y découvriras un décor plus accidenté, plus brut sur fond de roche volcanique . Si tu t’aventures (oseras-tu ) sur les routes accolées au Mont Lempuyang, tu traverseras surement des villages perdus en haut, sans aucun touriste aux environs. Une vie locale, authentique et traditionnelle , sans influence occidentale…

Où dormir à Amed ?

On te dévoile ici notre coup de coeur du coin ! Le Kubu Kangin Resort … Si tu cherches un logement à Amed, en retrait de la route principale, dans un coin de paradis et un environnement calme, cet établissement est fait pour toi ! L’hôtel ne dispose que de 4 bungalows, on est donc loin du tourisme de masse et proche des petits hôtels intimistes… Tu trouveras des offres intéressantes à réserver (environ 50 euros / nuit) et des photos à admirer ici .

  Apprécier la région de Munduk

C’est un Bali rural avec une fréquentation touristique raisonnable. Le village agréable de Munduk nous donne à voir un paysage de cascades, de collines qui ondulent doucement de vert et de vents, de lacs scintillants et de rizières douces.  La région et sa nature luxuriante permettent quelques randonnées agréables accompagnées (ou non) de guides locaux. Il y a aussi des possibilités de canyoning.

Non loin, le lac Bratan et son temple est d’une beauté photogénique exceptionnel… mais les hordes de touristes déversées par un ballet incessant de bus ont de quoi décourager… Il faudra y aller très tôt le matin pour espérer profiter d’un peu du calme et ressentir le charme et la spiritualité de ce lieu unique.

Par ailleurs , Munduk mérite d’être cité ne serait-ce que pour la réelle envie de la population à préserver leur belle nature. Munduk fait l’objet d’un programme de protection de l’environnement . Il n’est pourtant pas facile à mettre en œuvre et on comprend : le tourisme fait vivre. Notre guide, nous confiait sa tristesse de voir pousser du béton à Bali.

C’est l’occasion de rappeler que l’île souffre de l’affût touristique. Nous, voyageurs, avons notre part de responsabilité. Pensons à donner, en toute modestie, une vision éco-responsable à nos voyages : respecter la nature, consommer local, faire attention à nos déchets….

S’aventurer dans l’île de Nusa Penida

C’est une île hantée… Du moins c’est ce que disent certains Balinais. Le légendaire Jero Gede Macaling, roi des démons, y aurait élu domicile. Ambiance.

Mais Nusa Penida est en réalité un enchantement. Plus concrètement, l’île est située à 45 minutes en ferry , au Sud-est de Bali. Il existe plusieurs compagnies de ferry pour t’y rendre mais ton te conseille de réserver à l’avance.  

Malheureusement, elle est de plus en plus victime de son succès. le bon plan serait d’y passer la nuit : le soir et le matin sont plus calmes : beaucoup de touristes viennent ici en excursion à la journée.

Ne tarde pas à découvrir cette île au large de Bali : Nusa Penida a beaucoup d’atouts pour séduire les chercheurs de calme et d’aventures . Le tourisme de masse n’a pas encore défiguré le paysage.

Sur la côte nord tu trouveras de jolies plages paradisiaques parfaites pour se baigner ou « chiller ». La côte sud est plus accidentée, avec des falaises heurtées par les courants forts. C’est également au sud que se trouve le spot de plongée « Manta point », qui ravira les plongeurs à la recherche des majestueuses raies mantas. Au centre, des forêts et des collines verdoyantes et également des villages perdus et authentiques.

Petit conseil : si tu décides de te déplacer par tes propres moyens en scooter, sois prudent ! Les routes sont encore en mauvais état . Du coup, certains endroits de l’île se méritent, tant les moyens d’y accéder sont parfois compliqués… Deuxième conseil : Nusa Penida a tout pour devenir la prochaine ruée touristique des voyageurs qui débarquent à Bali…. Alors découvre-la au plus vite pour vivre une expérice savoureuse d’un Bali autrement !

Où dormir à Nusa penida ?

L’offre hôtelière est mince (et c’est tant mieux… on est bien là pour éviter le tourisme de masse, non ?). On a tout de même 2 plans logement au top. Le 1er pour ceux qui peuvent se le permettre : le Bella Kita mountain . Un lieu paradisiaque proposant des villas autour d’une piscine extérieure et d’un jardin. le tout dans un cadre zen, calme et voluptueux. Tu y trouveras aussi des possibilités pour des massages à petits prix. 110 euros la nuit pour les villas les moins chers. Tu peux réserver ici si tu le souhaites.

Un peu plus «  roots et moins cher « , il y a les magnifiques bungalows en haut d’une colline avec une vue superbe depuis une terrasse et la chambre sur l’intérieur des terres et la mer. Un endroit très calme pour profiter des couchers de soleil ! Tu peux voir les photos et réserver ici pour 35 euros la nuit .

Si le temps t’es compté et que tu veux juste une excursion organisée d’une journée vers Nusa Penida incluant le transport, le repas et le matériel de snorkeling, tu peux réserver ici. 

Et Nusa Lembongan alors ?

Nusa Lembongan est une petite ile juste à coté de Nusa Penida. Plus développée , plus rongée par les complexes hôteliers, elle risque de décevoir ceux qui fuient le tourisme de masse. Nusa Penida est davantage hors des sentiers battus .

Nos déceptions et leurs alternatives pour voir Bali autrement

C’est ainsi : avant un voyage on s’imagine d’abord des endroits que l’on va visiter… et parfois, on a placé trop d’espoir. Voici quelques unes de nos décéptions :

Bon relativisons un peu : Ubud est bien le cœur culturel , spirituel, artistique de Bali. C’est une ville qui séduira une majorité des voyageurs. Mais..! mais c’est énervant cette circulation routière intense aux carrefours, ces enseignes de boutiques tapageuses, cette urbanisation excessive due aux hôtels. Par endroit, Ubud a cédé à la pression touristique et s’est occidentalisée. C’est moins marquant que le sud de Bali mais le problème est suffisamment présent pour susciter une déception.

Quelques points d’intérêts proposés ont souvent manqué d’authenticité pour nous, comme à Monkey Forest , la réserve de singes en semi-liberté. Il s’agit en fait d’un parc « surfait » où les singes, habitués à la présence humaine, peuvent être agressifs. Faut quand même savoir qu’un singe m’a croqué la fesse ! Et la gauche en plus… ma préférée.

Mais Ubud regorge d’endroits plus intimistes où il est possible de participer à des activités pour découvrir la culture , les Balinais, les paysages, les petites ruelles ou encore se recentrer sur soi-même. Comme écrit plus haut, les alentours sont magnifiques et un petit détour dans les rizières (à vélo électrique c’est encore mieux !) , dans la jungle ou aux temples Gunung Kawi et Taman Ajun vous enchanteront !

Où dormir à Ubud ?

On en profite pour un coup de cœur ❤️ logement parfait pour une lune de miel ou les couples rêvant d’un endroit féerique : le Bambu Indah . C’est un logement de luxe original que l’on croirait recouvert par la végétation. Les chambres sont spacieuses, décorées avec gout. les extérieurs sont magnifiques, avec des objets comme des chaises suspendues uniquement en bambou. Et la piscine presque sous la jungle est divine. C’est à réserver ici au meilleur prix !

Voici quelques idées d’activités à faire également à Ubud :

• Apprendre la cuisine Balinaise ( à ce propos tu peux lire notre article sur les plats traditionnels de b ali )
• Louer un vélo pour visiter les alentours et les rizières.
• Organiser un séjour spirituel avec des cours de méditation ou de Yoga.
• Participer à un spectacle dansant traditionnel

La péninsule de Bukit

  Au Sud de Bali, sur la presqu’île de Bukit, les plages bondées et festives autour de Kuta sont à éviter pour les routards. Il y a des plages plus calmes et authentiques ailleurs à Bali. Si malgré tout, tu veux visiter une plage du sud, tente Padang-Padang , un peu plus tranquille que d’autres.

Pour les amoureux du surf mais pas de la foule, il y a aussi d’autres options que les plages tumultueuses de Kuta. La plage de Balian Beach par exemple. Elle se situe dans le même secteur que Kuta mais elle est moins animée, plus « baba cool ». Et en prime le village est charmant. Une plage décrite comme hors des sentiers battus. Et au coucher de soleil, c est plutôt pas mal..!

Une autre alternative intéressante aux plages sur-fréquentées, à l’ambiance tapageuse et braillardes de Kuta, Seminyak et Legian : c’est Canggu.

Canggu, au sud de Bali

Quoi ? t’es pas fou non ? Le sud de Bali est peut-être LA région à éviter si tu veux sortir des sentiers battus … Néanmoins, il est encore possible de trouver (un peu) de sérénité.

Canggu est une étape agréable pour profiter des jolies plages du sud sans trop de touristes. Bon à nouveau, pas d’illusion : tu ne seras surement pas seul dans cette station balnéaire à l’ambiance décontractée genre surfeur à la cool. Mais c’est une des plus authentiques du coin…De plus c’est un endroit facile d’accès : l’aéroport est proche, les taxis font facilement la route. C’est parfait en arrivant ou en repartant de Bali. Mais attention Canggu devient de plus en plus à la mode pour les voyageurs à la recherche d’un Bali authentique , alors ne tarde pas !

Où dormir tranquille dans Canggu ?

Notre préférence va à The Hideaway Canggu , un B&B géré par Nicole qui saura être agréable et aidante pour profiter au mieux de Bali autrement. Ce petit hôtel de charme possède 3 bungalows confortables autour d’une piscine et d’un jardin pour se détendre… L’emplacement est un peu excentré ce qui permet d’être au calme. Pour autant, la plage n’est pas très loin à pied. Tu peux regarder les photos et réserver ici !

Monter le Mont Batur

Nous avons tenté l’ascension de nuit du Mont Batur à 1717m d’altitude. Malgré une bonne marche de 2h pour arriver au sommet et un réveil tôt…très tôt (3h du matin) pour voir le lever de soleil sur l’imposant Mont Agung, nous n’étions pas les seuls à avoir cette idée.

L’expérience est sympa. La randonnée demande un petit effort. La vue est jolie , si elle est dégagée. Mais le volcan est trop convoité , ce qui rend l’expérience décevante. Même si notre guide était au petit soin, on aurait aussi aimé faire la montée en étant autonome. Mais il semble difficile, et mal vu par les locaux de se passer d’un guide de l’association du Mont Batur.

Pour les sportifs, on vous conseille plutôt l’ascension du Mont Agung . Il s’agit du plus haut sommet de Bali, 3142m d’altitude. Un guide est indispensable et le trek est exigeant, environ 2000m de dénivelé.

Si c’était à refaire, notre choix, aurait été le Mont Batukaru au centre Ouest de Bali (2276m d’altitude). Le volcan a l’air plus sauvage, la végétation plus dense, le trek plus technique qu’au Mont Batur (il faut tout de meme 4 à 5h de marche pour monter). Mais la vue est sublime sur les lacs et la nature luxuriante de la région.

Si tu préfères t’essayer à l’ascension du Mont Batur, qui est un de plus accessibles de Bali, voilà quelques infos en vrac :

• La randonnée commence à 4h du matin, mais il faut d’abord rejoindre le point de départ. Environ 2h pour monter, la même chose pour redescendre. Prévois une lampe frontale ou de poche, des bonnes chaussures, de l’eau, des vêtements chauds (Il fait froid là-haut au petit matin).
• Saches qu’il est également possible de monter le volcan à un autre moment, de jour. 
• La randonnée nous semble accessible à tous, même si elle demande un effort physique, ça grimpe un peu. Il faut aussi être prudent pour ne pas glisser, surtout en descente. Cela semble évident, me diras-tu ? Mais les petits cailloux volcaniques peuvent surprendre. Ma cheville et sa belle entorse s’en souviennent encore.

Les lieux et activités touristiques… à ne pas manquer à Bali !

  Il y a aussi des endroits où la foule afflue mais sur lesquels on n’a pas voulu faire l’impasse. Fallait surtout pas les manquer !  Et on a quelques conseils pour des visites plus savoureuses et rester dans l’esprit de voyager à Bali autrement et de façon plus authentique, en évitant au maximum les hordes de touristes.

J’ai franchi plusieurs frontières, toujours vers l’est. L’extrême est. Avec un passeport d’homme blanc dans la poche. Et pas grand-chose d’autre. Quelques routes du ciel, quelques chemins d’Asie. Je me suis retrouvé un jour à Bali. J’y suis resté. Denis Parent, journaliste et écrivain

Se faire masser à la balinaise

 Le fameux massage Balinais , ça c’est l’aventure ! Il est…comment dire…revigorant. Que tu apprécies, ou pas, tu n’oublieras pas l’expérience. On ne t’en dit pas plus, il faut tester.

  Les massages à Ubud sont particulièrement réputés . Centre design, petite maison traditionnelle, maison avec vue : il existe une variété de décors, de possibilités, et donc de prix (environ 10 à 15 euros pour 1h de massage pour le corps). Certains centres proposent aussi des séjours d’une semaine et des stages de Yoga. Il est mieux de réserver à l’avance.

A Ubud, on te conseille :

• le Tejas Spa Jembawan   qui propose d’excellents massages. Un spa un peu plus cher que la moyenne mais donne entiere satisfaction à ceux qui poussent la porte  de ce centre.
• le Ubud Traditionnal spa un peu plus excentré mais au calme et proche des rizières avec d’excellentes techniques de relaxation et de massages traditionnels
• Tamarind Spa at Murni’s Houses , au centre d’Ubud, avec un personnel qualifié et une pédicure particulièrement appréciée.

Tirta Empul

Un temple Hindou et des sources sacrées . L’endroit, malgré la foule de touristes, a gardé quelques choses d’authentique. Il y a là-bas, un curieux mélange de visiteurs aux yeux écarquillés et de locaux pratiquant leurs cultes. Il n’est pas rare d’assister à des cérémonies, que l’on peut respectueusement observer.

Notre moment fort, c’est la découverte des sources sacrées . Les Balinais viennent ici pour se purifier. Cette proximité nous a beaucoup touché et on t’invite toi aussi à rentrer dans la source sacrée. Allez, hop à l’eau !

Le temple de Danau Bratan ou Pura Ulun Danu Bratan

On évoquait déjà déjà ce temple dans le paragraphe « apprécier la région de Munduk ». On en reparle ici au cas où tu serais en pleine « heure de pointe » et pris d’une envie irrépressible d’échapper (un peu) à la foule… On a une petite astuce pour retrouver un peu de quiétude. Dirige-toi vers le lac et loue un bateau à rame.

Tu pourras pagayer tranquille sur le lac, et avoir un autre point de vue sur le temple ou sur les petits villages aux bords du lac. Bon avouons-le : tu ne seras jamais seul sur le lac Bratan. Il y a même par moment des bateaux à moteur puissant sur l’eau… Mais c’est déjà mieux que d’être bousculé par une horde de touristes excités à l’idée de prendre LE selfie parfait… Et si, en plus, tu es en basse saison , alors tu as des chances de ressentir une certaine sérénité dans ce lieu hautement touristique… Mais comme tu as bien lu nos conseils, tu es en basse-saison. Non ?

Les rizières de Jatiluwih

Superbes…Des rizières d’un vert éclatant , en terrasse qui s’étirent joyeusement sur une vingtaine de kilomètres : ça vaut le coup d’œil ! Probablement pas les plus belles d’Asie mais peut être les plus admirables de Bali… Et ça se sait ! Alors les hôtels du coin, même depuis Ubud, organisent régulièrement cette excursion. Déjà, pour éviter la foule, et ressentir un Bali authentique, on te conseille d’y aller par tes propres moyens, assez tôt le matin… Ou mieux d’y dormir…

Où dormir tranquille dans les rizières de Jatiluwih ?

ça tombe bien, on a notre coup de cœur ❤️ logement : le Kubu d’Ume Homestay . C’est une maison d’hôtes intimiste avec 3 bungalows gérés par l’adorable propriétaire Kubu et sa famille qui te réserveront un accueil chaleureux et authentique.. le gros atout ? son emplacement et sa vue :  tu seras en plein milieu des rizières, presque seul au monde avec une grande baie vitrée pour profiter d’un large panorama magnifique sur les champs de riz. 32 euros environ avec petit déj… Tu peux voir des photos ici et réserver maintenant.

Les îles Gili

Les îles Gil i sont touristiques… Il faut dire que la beauté des lieux et la facilité d’accès ont  fait exploser le nombre de visiteurs ces dernières années… Malgré tout, on pense qu’il serait dommage d’en faire l’impasse, tellement elles font figure d’îles paradisiaques . Ourlées de plages de sable blanc et de cocotiers, les trois Gilis, situées au large de la côte nord-ouest de Lombok, sont une invitation à se délecter des paysages, confortablement installé dans un hamac moelleux, un cocktail de goyave à la main.

Les iles Gili sont constituées de 3 îles et chacune a leur personnalité.

• Gili Trawangan (ou Gili T) est l’île de la fête et des centres de plongée. C’est la plus grande par la taille, la plus animée et la plus développée des trois îles Gili. Il y a un nombre considérables d’hôtels, de bars branchés, de fêtes et de restaurants. Si tu cherches l’île la plus calme et la plus authentique, évite Gili T.
• Gili Air : ressemble un peu à Gili T avec de nombreuses installations hôtelières et restaurants. Mais on y trouve un peu plus de paisibilité et une ambiance un peu hippie. Elle reste tout de même très convoitée et très fréquentée en haute-saison.
• Gili Meno est la plus petite île des 3 Gili. C’est aussi la plus sereine et la plus authentique . Tu trouves également des centres de plongées, des bars et des hôtels mais la densité est moins importante que pour ses 2 soeurs Gili, et l’ambiance est plus calme. Alors si tu veux visiter une des iles Gili mais que tu veux éviter la foule pour un moment de détente ou de romantisme, l’ile Gili Meno est davantage faite pour toi. Cependant, restons objectif, même si Gili Meno est la moins fréquentée par les touristes, tu ne seras jamais seul genre Robinson Crusoé ! Si tu veux en savoir plus sur Gili Meno, tu peux lire notre article dédié spécifiquement à cette île , que nous avons beaucoup aimé .

Où faire une retraite à Bali ? Où dormir hors des sentiers battus à Bali ? 

Tu veux méditer, faire du yoga , échapper aux sollicitations du monde moderne  ? Bali est une destination particulièrement adaptée pour faire une retraite, au calme et dans des paysages sublimes. Voici quelques lieux pour revenir définitivement zen de Bali…

Sarinbuana Eco Lodge

Le Sarinbuana Eco Lodge propose une évasion parfaite d’une vie trépidante pour se ressourcer et retrouver la plénitude. Situé sur les pentes éloignées du mont Batukaru, non loin de la ville de Blimbing au centre de Bali, le logement ressemble à un havre de paix perdu au milieu de la foret, loin des touristes. Cet eco lodge est parfait pour les amoureux de la nature et son restaurant propose des produits bio issus de son propre jardin… Des cours de yoga sont également proposés… Tu peux voir des photos et réserver Sarinbuana Eco Lodge ici pour 76 euros

Om Ham Retreat and Resort

Cet établissement calme se situe au cœur des rizières de Ubud . Mais quelques minutes de marche suffiront pour te retrouver dans le centre animé de la ville. Les soins spa et le centre de bien-être se trouvent dans l’établissement. Au programme : détente, massage, piscine, relaxation et visite de Ubud quand on le souhaite (navette gratuite à disposition) ! Un établissement très apprécié pour un prix accessible. Ici tu trouveras des offres intéressantes (à partir de 38 euros) et des photos !

Le Yoga Searcher Bali

Non loin de la plage et du temple Uluwatu au sud de bali, le Yoga Searcher Bali est un hôtel de petite taille possédant son propre centre de spa (sauna et hammam), ainsi qu’une piscine extérieure et une salle de méditation avec cours de yoga et des massages. Possibilité de repas végétariens. L’atmosphère est relaxante et les chambres sont toutes pourvues d’une jolie terrasse privée et d’une salle de bain en partie ouverte sur l’extérieur… Tu peux voir des photos et réserver ici pour 117 euros la nuit.

Suberkima Hill retreat

Une excellente adresse située à Permetuan (nord-ouest de Bali) qui propose des chambres pour un prix raisonnable (65 euros). Elles permettent donc au moins fortunés d’entre nous de profiter d’installations somptueuses et des services pour se détendre comme une piscine, des massages, des cours de yoga et de cuisine ! On peut également profiter d’une excursion sur l’île magnifique de Menjangan et effectuer de la plongée ou du snorkeling. Enfin, l’hotel possède des villas luxueuses à louer avec petite piscine privée pour 140 euros. Des photos à admirer et offres interessantes à réserver ici !

Munduk Moding Plantation Nature Resort & Spa

Près de Munduk , en plein cœur de la forêt tropicale, de rizières, des plantations de café et de jolies collines, ce complexe offre des suites et des villas à partir de 150 euros par nuit. Le service est irréprochable et on pourra bénéficier des activités proposées par l’établissement comme des randonnées, des massages, un spa… la piscine jouit d’une vue sublime sur la nature environnante. De quoi se détendre et échapper un instant à la vie tumultueuse ! Des photos à admirer et des offres promotions régulières à réserver ici

Petit bonus pour les plus fortunés de nos lecteurs : l’Hotel Tugu Bali

Au sud de Bali, proche de Canggu et de ses plages , Tuga Bali est un hôtel luxueux parfait pour une lune de miel au milieu de nénuphars et d’un jardin bucolique. Les chambres sont somptueuses, décorées avec soin et certaines disposent de piscine privée. Egalement accessible : un spa, un jacuzzi et une carte bien fournie de différents massages (essaye les massages holistiques !). Personnel au petit soin et très chaleureux. Un lieu qui garantie la plénitude, le calme et la volupté. Tu peux voir des photos et trouver des offres intéressantes ici (en ce moment promotion à 260 euros).

D’autres idées pour découvrir Bali autrement ?

Si tu peux rester plus longtemps à Bali, déjà, on est jaloux….mais tu as bien raison ! Alors, voici quelques idées pleines d’aventures ou de découvertes que tu peux tester :

• Soutenir une action et voir les bébés tortues à Serangan (Turtle Conservation and Education Centre).
• Faire une balade à cheval, par exemple près de la tranquille plage de Pemuteran ou dans les rizières de Tegalalang .
• Dénicher les plages intimistes de Bali, comme celle de Pasir Putih, près de Candidasa .

Tu connais une personne intéressée par Bali ? Partage avec lui ta découverte !

C’est lors de notre périple à Bali que nous avons élaboré un plan de bataille spécial « Bali autrement ». L’itinéraire est à lire ici :

A propos Emilie et Michael

Passionnés de voyages, nous parcourons le monde avec l’envie de partager. On a créé “un tour dans le sac”. Te voilà sur le meilleur blog poético-treko-authentico-aventuro-sympathique de la galaxie entière. Rien que ça.

5 Commentaires

Commentaire par elise.

Elise 6 février 2019 at 11:39

Merci pour toutes ces informations ! Je peux maintenant partir à Bali en étant mieux renseignée

Commentaire par Michael

Michael 6 février 2019 at 18:42

On t’en prie ! Bon voyage… tiens nous au courant à ton retour de ton expérience balinaise

Commentaire par LONGUET Benoît

LONGUET Benoît 27 juin 2019 at 19:13

Merci pour toutes ces infos. On envisage de visiter Bali au mois de Mai l’année prochaine pour un séjour de 3 à 4 semaines. Penses tu qu’il est judicieux de louer une « katana » afin d’être vraiment autonome, en sachant que l’on veut se balader un peu partout et surtout s’arrêter plusieurs jours si l’endroit nous plait ! As tu des conseils pour louer le véhicule ? Merci d’avance Salutations ensoleillées de Guadeloupe

Michael 27 juin 2019 at 21:20

Bonjour Benoit ! Alors… mon commentaire sera assez complexe et ne te donnera pas une réponse claire. Mais je tente de te donner quelques éléments d’informations. Déjà faut il louer une voiture ou non ? Je dirai que 1. cela dépend de ta façon de voyager. Nous concernant, on aime être autonome et aller où on veut quand on veut. Mais cela a un coût et il faut gérer le trafic, un code de la route qui ne nous ait pas familier, le manque de panneau etc… cela peut être rebutant et dans ce cas : utiliser des taxis, les transports en commun ou louer les services d’un chauffeur peuvent se révéler des options intéressantes et pas si chères. 2. cela dépend de la durée. Nous concernant : on avait peu de temps à peine 2 semaines. On voulait donc perdre un minimum de temps dans les transports en commun. De plus, on restait peu de temps au même endroit ce qui fait qu’on ne payait pas la voiture « pour rien » puisque l’on était souvent en déplacement. Te concernant, tu restes presque 1 mois à Bali. Tu es donc moins pressé que nous pour aller d un point à un autre. De plus, tu resteras souvent plus longtemps à chaque étape pour en profiter et tu paieras donc plus souvent la location de voiture alors que tu ne l’utilises pas…

A toi de voir si financièrement, dans ton cas, la location d’une voiture avec chauffeur ou l’utilisation de taxi ne serait pas plus adaptée.

Si tu choisis de louer une voiture : une katana c’est drôle, c est robuste, ça passe partout et c’est pas cher ! Mais si tu penses utiliser les axes principaux, pas la peine de prendre une jeep. Une voiture classique + confortable fera l »affaire. Si tu penses utiliser des routes secondaires et donc en mauvais état, une katana est adaptée mais si tu en as les moyens, d’autres 4×4 peuvent être plus confortables !

A bientôt Bon voyage et n’hésite pas à revenir raconter tes aventures ici.

Commentaire par Lou iz

Lou iz 7 novembre 2019 at 18:36

avant de lire certains commentaires j’allais vous écrire que, pour être allée à Bali et Nusa Lembongan plusieurs fois 1 mois, de 2010 à 2016, ( 65 ans) seule et quelques fois avec des amies , vos suggestions hors des sentiers achalandés par les touristes ont aussi été des lieux où j’ai vécu, des événements auxquels j’ai participé en m’y rendant chaque fois en moto ou en auto avec un chauffeur balinais connu de l’endroit où je logeais . Les points de vues des photos que vous avez mises sont aussi ceux que j,ai admirés , tenant compte des saisons qui existent aussi là bas… et vos descriptions poético-factuelles je les partage toutes. merci de votre partage.

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Temple et pagode japonaise perdus dans la forêt de l'île artistique de Naoshima

©Gilad Fiskus/123RF

Chambre twin de l'hôtel équivalent 4* Metropolitan Ikebukuro à Tokyo

©Metropolitan Ikebukuro

Les chutes Kego et le lac Chuzenji à Nikko durant l'automne

©Sara Winter/123RF

Dîner traditionnel japonais dans votre temple hôtelier

©cokemomo/123RF

L'île de Sado, facilement accessible depuis Niigata et Tokyo en Shinkansen

©Thanathorn Ngammongkolwong/123RF

Campagne japonaise dans la région des Alpes Japonaises

©blanscape/123RF

Un incontournable à visiter à Kanazawa : le jardin Kenroku-en, l'un des trois plus beaux du Japon

©amstk/123RF

Temple Ruriko-in à Kyoto : un lieu à visiter pour découvrir les magnifiques couleurs d'automne

©SHUICHI SEGAWA/123RF

La citrouille jaune de Yayoi Kusama, symbole de Naoshima, l'île artistique dans la mer intérieure du Japon

©Jordy Meow

Certains hotels du circuit proposent des chambres au style fusion occidental et traditionnel japonais

• Assurances voyage
• JAPAN EXPERIENCE

Hors des Sentiers battus

• Durée : 23 jours
• Villes : Tokyo, Nikko, Shima, Sado, Matsumoto, Magome, Takayama, Kanazawa, Kyoto, Amanohashidate, Tottori, Matsue, Naoshima, Takamatsu, Kurashiki, Himeji, Osaka
• Add to favorites

Un des meilleurs circuits accompagnés de Japan Experience pour visiter le Japon méconnu des campagnes.

3 semaines tout compris à la découverte des Alpes japonaises , de l' île de Sado , de Nikko , du Chogoku ou encore de l'île artistique de Naoshima .

Petit groupe de 8 personnes en compagnie d'un guide francophone spécialiste.

Une expérience unique dans un Japon...hors des sentiers battus.

Itinéraire de 3 semaines au Japon (23 jours) 

• Tokyo (1 jour)
• Nikko (2 jours)
• Île de Sado (3 jours)
• Alpes japonaises  (4 jours)
• Kanazawa (1 jour)
• Kyoto (3 jours)
• Chugoku (Nord-Ouest de Kyoto) (4 jours)
• Naoshima et mer intérieure (4 jours)
• Osaka (1 jour)

Veuillez trouver plus bas les détails de l'itinéraire.

ATTENTION : Les dates de départ et de fin du circuit présentées sur cette page concernent votre séjour au Japon. Au départ, il faudra partir la veille d'Europe. Le retour s'effectue le jour même compte tenu du décalage horaire favorable. Plus de détails dans "En savoir plus sur votre voyage".

Pourquoi choisir ce voyage au Japon ?

• Encadrement par un guide francophone bilingue, spécialiste de la culture japonaise
• Formule quasi-complète : guide , hébergements , transports et repas
• Petit groupe de 6 à 8 personnes maximum
• Visite des  trésors cachés : Nikko, île de Sado, Alpes japonaises, Mer intérieure...
• Hôtels 3 et 4* , nombreuses nuits en hébergements traditionnels (ryokans, temple)
• Diversité des visites, activités, hébergements et transports (Mini-bus, bateau...)
• Trois journées libres à Takayama , Kyoto et Matsue  qui peuvent être organisées par Japan Experience
• 40 ans d'expertise de Japan Experience, n°1 français du voyage au Japon

Votre voyage en détail

Jour 1 : tokyo.

Le soleil se couche sur la tour de Tokyo et sur la mégalopole japonaise

©Sean Pavone/123RF

ようこそ (Yōkoso) ! Bienvenue !

Arrivée à l'aéroport de Tokyo (Narita ou Haneda). Accueil par notre équipe.

Transfert direct en bus navette vers votre hôtel. Ce transfert est toutefois non accompagné. (Accompagnement disponible en option.)

Le transfert se fait en navette ou bus partagé, avec d'autres clients partant pour le même hôtel ou un hôtel proche du vôtre. Ces transferts partent entre 1h30 et 3h après l'arrivée prévue de votre vol et des arrêts peuvent être effectués avant votre hôtel.

Si vous souhaitez un transfert privé, sans arrêt et directement après l'arrivée effective de votre vol, n'hésitez pas à prendre l'option "Taxi privé depuis l'aéroport".

Installation à l’hôtel Metropolitan Hotel Ikebukuro (hôtel 4*) ou équivalent et présentation du circuit par l’accompagnateur/trice a partir de 19h.

Premiers pas à Tokyo.

Dîner assuré par Japan Experience .

Jour 2 : Nikko

Le sanctuaire Toshogu au milieu de la nature à Nikko

Petit-déjeuner à l'hôtel.

Direction la ville de Nikko :

- le pont sacré Shinkyo ,

- le jardin de thé Shoyoen et les collections du temple Rinnoji,

- le sanctuaire Toshogu, protégeant la tombe du premier shôgun Tokugawa.

Repas (déjeuner et dîner) assurés par Japan Experience.

Nuit dans un hôtel de style japonais à Nikko.

Jour 3 : Nikko

Route vers le lac Chuzenji (perché à 1269 mètres d'altitude) en passant par la Irohazaka road, route dont le nombre de lacets correspond à l’alphabet japonais.

La cascade Kegon , alimentée par le lac. Route le long de la Romantic Scenic Highway jusqu’à la  station thermale de Yumoto.

Repas (déjeuner) assuré par Japan Experience.

À noter : Les routes décrites dans cette étape sont parfois enneigées en début de printemps, un autre itinéraire en mini-bus sera alors emprunté par votre accompagnateur. Dîner traditionnel et nuit dans votre ryokan avec onsen (sources thermales japonaises).

Jour 4 : Niigata

Beautés naturelles au milieu des Alpes Japonaises

Petit-déjeuner traditionnel au ryokan .

Route jusqu'à Niigata en passant par le temple Saifukuji à Uonuma, aux célèbres sculptures d' Ishikawa Uncho , le "Michel-Ange Japonais".

Ferry jusqu’à Ryotsu (2h30 environ), principal port de l’île de Sado.

Repas assurés par Japan Experience .

Dîner traditionnel et nuit dans votre ryokan.

Jour 5 : Sado Shima

Petit-déjeuner traditionnel au ryokan.

Visite des principaux sites de l’île :

- les paysages naturels de la baie de Senkaku et de la route d’Osado,

- la mine de Sodayu-Ko d’Aikawa, qui était la principale source d’or du Japon de l’époque d’Edo et l’un des sites les plus rentables au monde,

- les très-romantiques temples Myosenji, Konponji et Suiseiji.

Repas assurés par Japan Experience.

Jour 6 : Sado Shima

©Navapon Plodprong/123RF

Petit-déjeuner à l’hôtel.

À Sado : 

- Le pittoresque village de pêcheurs de Shukunegi.

- Embarquement sur le ferry de Ogi jusqu'à Naoetsu, sur le Honshu.

- Visite du temple Zenkoji de Nagano sur la route vers Matsumoto .

Nuit dans votre hôtel occidental 3/4*.

Jour 7 : Matsumoto

Le château de Matsumoto, connu en tant que "château du corbeau", à cause de son aspect extérieur sombre

©Claire Chang/123RF

Visite de Matsumoto :

- le château de Matsumoto , dont le donjon est l’un des plus grands du Japon,

- le musée des Ukiyoe.

Route jusqu’à Magome , village-étape préservé longeant l’antique route Nakasendo.

Promenade et visite du village restauré.

Repas (déjeuner et dîner) assurés par Japan Experience .

Dîner et nuit en hébergement traditionnel (ryokan ou temple).

Jour 8 : Tsumago

Partez en randonnée le long de la Nakasendo, entre Magome et Tsumago, dans les Alpes Japonaises

Petit-déjeuner traditionnel au ryokan (ou au temple).

Visite du village voisin de Tsumago puis route jusqu’à Takayama , en passant par le village Hida pour le déjeuner.

À Takayama, visite du quartier des temples Teramachi , et de celui des commerçants, le Sannomachi.

Dîner et nuit dans votre nouvel hôtel moderne 3/4* au style fusion japonais et occidental.

Jour 9 : Takayama

Découvrez le saké, boisson traditionnelle japonaise

©SUSANA MARTIN/123RF

Journée libre* , à consacrer aux nombreux monuments et sites intéressants de Takayama : votre accompagnateur/trice saura vous conseiller utilement.

Attention : seul le petit-déjeuner est assuré par Japan Experience , à l’hôtel. Les autres repas, transports et visites sont libres.

Jour 10 : Shirakawago

Shirakawago, village typique des Alpes Japonaises classé au patrimoine mondial

Départ pour Shirakawago (Ogimachi), site préservé d’anciennes fermes d’élevage de vers à soie (inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco ).

Promenade dans le village : visite d’une minka et du Myôzenji, temple zen du village, etc.

Poursuite pour Kanazawa , jadis l’un des fiefs les plus puissants du Japon :

- le jardin de Kenrokuen (considéré comme l'un des plus beaux au Japon),

- le  Musée de la préfecture d’Ishikawa , somptueux musée sur les métiers traditionnels et leur artisanat,

- le quartier samourai Nagamachi et l’ancienne résidence des Nomura, autrefois régisseurs du fief.

Repas (dîner) assuré par Japan Experience . Déjeuner libre.

Dîner en ville et nuit dans votre hôtel occidental 4*.

Jour 11 : Kanazawa

Quartier traditionnel des geishas à Kanazawa

©passionphotography/123RF

À Kanazawa :

- Le quartier samourai Nagamachi et l’ancienne résidence des Nomura, autrefois régisseurs du fief,

- Le marché matinal Omicho ,

- Higashiyama , l'un des trois quartiers de geisha de la ville : visite d'une ancienne maison de thé .

Route pour Kyoto et halte au monastère zen Soto Eiheiji , à Fukui.

Nuit dans votre hôtel occidental 4* Royal Park Kyoto Shijo ou équivalent .

Jour 12 : Kyoto

La bambouseraie d'Arashiyama : l'un des incontournables pour toute visite de Kyoto

©Tawatchai Prakobkit/123RF

Excursion jusqu’à Kameoka par le Sagano Romantic Train.

Retour en bateau sur la rivière Hozu jusqu'au quartier excentré Arashiyama .

Visite à pied du quartier d’Arashiyama :

- le pont Togetsukyo ,

- le temple zen Tenryûji, sa bambouseraie et son célèbre jardin zen , le Sogenchi,

- Rakushisha , ancienne demeure du poète Mukai Kyorai, l'un des plus célèbres disciples du maitre du haiku Matsuo Basho,

- le temple bouddhique Gioji , l’autre kokedera de Kyoto (temple aux mousses), dédié à la courtisane Gio, réputée pour sa grande beauté…

Nuit dans votre hotel occidental 4*.

Jour 13 : Kyoto

Statue de jizo à contempler en automne au temple Enko-ji à Kyoto

©Narongsak Nagadhana/123RF

Journée libre*  : profitez à votre rythme des charmes de l’ancienne capitale, ses palais, villas et temples.

Votre accompagnateur/trice saura vous conseiller utilement.

Nuit à Kyoto dans votre hôtel occidental 4*.

Jour 14 : Amanohashidate

Le "Pont dans le ciel" : Amanohashidate est l'une des 3 plus belles vues du Japon

- Le complexe zen Daitokuji et le jardin zen périphérique du Daisen’in,

- Le site de Takao : le temple bouddhique Jingoji, perdu dans la montagne.

Départ pour la lagune d’Amanohashidate et son " pont dans le ciel ", l’un des trois plus beaux panoramas du Japon. Visite du village traditionnel de Kayabuki, à Miyama.

Nuit dans votre ryokan.

Jour 15 : Tottori

Lever du soleil dans les dunes de sable de Tottori, un petit désert unique au Japon

©Kenta Iwasa/123RF

Départ pour Kasumi : le petit temple de Daijoji, décoré par Maruyama Ohkyo (1733-1795) et ses disciples.

Poursuite jusqu’à Tottori en longeant la côte du San’In Uradome, l’une des plus belles du Japon.

Jour 16 : Matsue

Coucher de soleil sur le lac Shinji et sa petite île sanctuaire, à contempler au Japon

- les dunes de sable de Tottori et le Musée Watanabe, très riche collection privée d'objets de l'époque d'Edo et d'armures de samouraï,

- le Sanbutsuji, site sacré shinto et joyau du shugendo à Misasa,

- le lac Togo puis route jusqu’à Matsue. En chemin, les paysages du Mont Daisen , troisième plus beau volcan du Japon.

Nuit dans votre hôtel occidental 3*.

Jour 17 : Matsue

Le château féodal de Matsue, au moment des cerisiers en fleur (sakura)

©NUJAK JAIMOOK/123RF

Journée libre* , à consacrer aux nombreux monuments et sites intéressants de Matsue.

Attention : seul le petit-déjeuner est assuré par Japan Experience, à l’hôtel. Les autres repas, transports et visites sont libres.

Jour 18 : Matsue

Le musée d'art Adachi et son jardin, considéré par la presse spécialisée comme "le plus beau du Japon"

©Shimane Prefectural Goverment/©JNTO

- À Yonago , la collection d’art japonais contemporain du Musée d’art Adachi, qui abrite l’un des plus beaux jardins privés du Japon,

- Visite de la bourgade de Bitchu-Takahashi : le château (Matsuyama-jo),

- La vieille ville et le temple Raikyuji, dont le jardin zen fut dessiné par l'ancien seigneur Kobori Enshu.

Nuit dans votre hôtel 3/4* proche de l'île de Naoshima.

Jour 19 : Naoshima

Naoshima, l'île artistique à visiter dans la mer intérieure du Japon

©Mathias Rhode/123RF

Ferry (20min) jusqu’à Naoshima , ancienne île-usine désormais consacrée à l’ art contemporain.

Visite de Naoshima : Benesse Art Museum, Chichu Art Museum, Lee Urfan Museum, Art House Project dans le petit port de Honmura.

Départ en ferry (40 min) pour Takamatsu , sur l'île de Shikoku.

Déjeuner libre. Dîner assuré par Japan Experience .

Jour 20 : Kurashiki

Le Ritsurin koen, jardin japonais de Takamatsu est un magnifique écrin de nature en pleine ville

©FranckinJapan/Pixabay

- Le matin, visite du Ritsurin’en , l’un des trois plus beaux jardins seigneuriaux du Japon,

- Visite du site du temple shinto Konpira-san et ses nombreuses marches, l’un des principaux sites de pèlerinage de l’île, à Kotohira,

- Le temple Zentsu-ji et son passage souterrain "Kaidan-Meguri",

- L’ancien théâtre de Kabuki Kanamaruza.

Retour sur Honshu (l'île principale du Japon) par le pont Seto Ohashi, jusqu’à Kurashiki.

- Visite du quartier de Bikan , typique de l'ère d'Edo.

Nuit dans votre hôtel occidental 3/4* à Kurashiki.

Jour 21 : Kurashiki

La ville de Kurashiki est bordée de canaux et de rues pittoresques : une cité romantique à visiter !

©Vicky Ng/Unsplash

- Le Bikan , quartier des canaux préservé,

- Le Musée d'Art Ohara , très riche collection privée de peintures modernes.

Départ pour Okayama, ville voisine : le magnifique jardin de Korakuen .

Poursuite jusqu’à Himeji  et son  château ,   un des plus célèbre sites du Japon.

Dîner et nuit dans votre hôtel occidental à Himeji.

Jour 22 : Osaka

Le château d'Himeji, patrimoine mondial de l'UNESCO est facile d'accès depuis Kyoto

Visite du temple Engyoji, établi sur le Mont Shosha , où furent tournées certaines scènes du film "Last Samurai".

Descente en téléphérique puis départ pour Osaka , terme de ce voyage. Installation dans le quartier de Dôtombori-Namba .

Fin d'après-midi libre à Dôtombori, idéal pour faire les dernières emplettes.

Nuit dans votre hôtel occidental 4*.

Jour 23 : Osaka

Sayonara - Au revoir !

©Maksims Grigorjevs/123RF

Transfert vers l’aéroport de Kansai International depuis votre hôtel.

Ce transfert se fait en train express ou navette partagée, avec d'autres clients partant du même hôtel ou un hôtel proche du vôtre. Ces transferts arrivent entre 3h et 1h30 avant le départ effectif de votre vol et des arrêts peuvent être effectués avant votre arrivée à l'aéroport.

Repas non pris en charge par Japan Experience. Vol retour vers l'Europe.

Inclus dans votre circuit accompagné

Hébergements

- 22 nuits en hôtels équivalent 3 et 4* , ryokan , temple et pension traditionnelle.

Le tarif de base inclut une chambre twin pour deux personnes.

- Transferts aéroport <> hôtel

- Carte de pré-paiement transports en commun

- Transports durant séjour (mini-bus) hors journées libres

Visites & Repas

-  Accueil aéroport

- Accompagnement par un(e) spécialiste francophone du Japon

- Visites et activités mentionnées dans le programme

- Pension quasi-complète : tous les repas (sauf 3 journées libres)

Au Japon, le petit-déjeuner se prend traditionnellement salé. Dans les hôtels à l'occidentale, une variété de choix est généralement proposée. Cependant, ce n'est pas le cas dans les hébergements traditionnels type ryokan ou temples hôteliers. 

Prestations complémentaires

- Accès wifi illimité sauf journées libres

- Adaptateur électrique pour prises japonaises

- Carnet de voyage  complet envoyé 20 jours avant votre départ

- Une réunion d'information 1 à 2 mois avant votre départ, dans notre agence ou à distance

- Assistance téléphonique 24/24, 7/7, en anglais; en plus de l'assistance du guide en journée

Non inclus dans le prix de votre voyage

- Les vols Europe <> Japon

- Les assurances facultatives

- Les dépenses personnelles (dont dépenses des journées libres)

- Les boissons lors des repas (sauf eau et parfois thé)

- Tout ce qui n'est pas dans la rubrique "inclus dans votre circuit"

À propos du risque d’annulation de votre circuit accompagné

Même s’il y a très peu de risque que votre circuit accompagné soit annulé, ce risque existe. Il est habituellement de 4%.

Si vous êtes malheureusement dans ces 4%, vous êtes informé 3 à 2 mois avant et nous vous proposons TOUJOURS un autre circuit, à la même saison et la plupart du temps aux mêmes dates. Nous proposons également, en alternative, 100 % de remboursement du circuit (hors vols).

En 2023, sur 300 clients circuits accompagnés, 12 ont été ré-orientés sur un autre circuit et 0 sont restés chez eux.

En savoir plus sur votre voyage

Votre circuit :

• La possibilité est laissée au guide-accompagnateur de modifier le programme à la marge en fonction des contraintes du jour.
• Les prix affichés sur cette page peuvent varier en fonction du taux de change du ¥ japonais.
• Ce circuit n'est malheureusement pas accessible aux personnes à mobilité réduite
• Les animaux de compagnie ne sont pas acceptés
• Pour les personnes végétariennes, vegan ou avec régime alimentaire strict: il y a peu de restaurants végétarien ou encore moins vegan au Japon. Par conséquent, et comme il s’agit d’un voyage en groupe, Japan Experience ne pourra pas s’adapter au régime alimentaire de chaque personne. Le guide pourra toutefois aider à l’intérieur de chaque restaurant au choix des plats correspondant au mieux à chaque personne.
• Vos documents de voyage vous seront remis comme suit : 
• Carnet de voyage remis lors de la réunion d'information 1 mois avant votre départ. Si vous ne pouvez pas vous rendre à cette réunion, il sera envoyé à votre domicile 2 semaines avant le départ 
• La version numérique du carnet de voyage, ainsi que vos documents numériques de voyage vous seront envoyés par email 3 semaines avant le départ. 
• Les tickets de transferts aéroport vous seront remis par notre assistant aéroport à votre arrivée.
• Les autres documents physiques nécessaires au voyage vous seront remis par votre guide-accompagnateur lors de votre rencontre à 18h dans votre hôtel le premier jour. 
• Ce programme est susceptible de subir des modifications en raison d'impératifs tels que conditions climatiques ou tout autre cas de force majeure. L’ordre des visites peut également être modifié. Veuillez noter qu'en raison de la situation actuelle, toute information mentionnée est susceptible d'être modifiée ou adaptée.

Vos hébergements :

• Chambre 2 personnes : Les chambres pour deux personnes dans les hôtels occidentaux possèdent par défaut 2 lits simples (chambres twin) que l'on peut le plus souvent rapprocher.
• Chambre 1 personne : Les personnes voyageant seules et souhaitant réserver une chambre individuelle doivent s'acquitter d'un supplément à la réservation. Ce supplément peut être supprimé, sur demande, en cas de partage d'une chambre twin avec un(e) autre participant(e). Le supplément chambre individuelle est obligatoire pour toute commande avec des participants en nombre impair. Veuillez noter la superficie de la chambre individuelle, entre 15 et 20m2.
• Hébergement traditionnel : dans les ryokans, les chambres possèdent une salle de bains (occidentale ou japonaise) et toilettes privées. En parallèle, l'accès aux bains japonais collectifs non mixtes ("onsen") du ryokan est libre, soumis aux horaires en vigueur sur site. Ces bains ne sont pas bien souvent pas accessibles aux personnes avec tatouage(s) bien visible(s).
• Dans le temple bouddhiste à KoyaSan et l'auberge de Magome, les chambres ne possèdent souvent pas de salles de bains ni de toilettes, nous nous efforçons toutefois de sélectionner des chambres avec au moins un lavabo dans la chambre. Les bains japonais collectifs non mixtes ("onsen") font alors office de salle de bains communes, avec douche et bains thermaux. Ils sont en accès libres, aux horaires en vigueur sur site. Ces bains ne sont pas bien souvent pas accessibles aux personnes avec tatouage(s) bien visible(s).
• Noms des hôtels : Les noms indiqués sur le site sont donnés à titre indicatif. En cas d'indisponibilité, un établissement de standing équivalent sera programmé. Les hôtels, correspondant aux normes locales, sont donnés à titre indicatif et sont susceptibles de changer sur place pour des hôtels de catégorie similaire.

Vos transports :

• Les vols ne sont pas inclus dans ce circuit. N'hésitez pas à nous contacter si vous souhaitez intégrer les vols à votre commande : Vols en classe économique avec escale ou directs, surclassement aérien en éco-premium ou business, départs depuis la province ou l'étranger : nous saurons vous conseiller.
• Les dates de départ et de fin du circuit présentées sur cette page concernent votre séjour au Japon. Vous arriverez au Japon par Tokyo (aéroports Narita ou Haneda) et repartirez de Tokyo. Au départ, il faudra partir la veille d'Europe et atterrir au maximum à 14h30 pour être présent à 18h dans votre hôtel pour rencontrer votre guide-accompagnateur. En revanche le retour s'effectue le jour même compte tenu du décalage horaire favorable. N'hésitez pas à nous consulter pour toute incertitude ou besoin de précision sur le choix des vols internationaux.
• Transferts aéroport : La navette partagée limousine bus part de l’aéroport et s’arrête devant votre hôtel. Notre assistant aéroport à Tokyo vous conduira jusqu'à la plateforme pour prendre le transfert aéroport. Puis ce transfert jusqu'à l'hôtel se fait sans assistance. Si vous souhaitez être accompagné-e-s de l’aéroport à la réception de votre hôtel choisissez l'option "Transfert aéroport accompagné". Ce transfert se fait en en navette ou bus partagé, avec d'autres clients partant pour le même hôtel ou un hôtel proche du vôtre. Ces transferts partent entre 1h30 et 3h après l'arrivée prévue de votre vol et des arrêts peuvent être effectués avant votre hôtel. Si vous souhaitez un transfert privé, sans arrêt et directement après l'arrivée effective de votre vol, n'hésitez à prendre l'option "Taxi privé depuis l'aéroport". Attention : suite à de trop nombreux changements d'horaires de vol de la part des compagnies aériennes, si cette dernière vous notifie d'un changement d'horaire d'arrivée moins de 72h avant votre départ, et que celui-ci excède 45 minutes, nous ne pouvons garantir votre navette aéroport. Il vous faudra alors prendre un taxi à vos frais, en demandant un remboursement auprès de votre compagnie aérienne pour changement d'horaires abusif. Il en est de même pour votre retour : 72h avant votre vol retour, nous ne pouvons pas modifier l'horaire de la navette. De même, il faudra prendre un taxi réservé auprès de l'hôtel, à vos frais avec démarches de remboursement auprès de la compagnie aérienne sera la seule solution. Japan Experience décline toute responsabilité dans ces cas de changements d'horaires de dernière minute.
• La carte de pré-paiement transports en commun sera à restituer au guide à la fin de votre séjour sauf en cas de post-extension individuelle organisée par Japan Experience. 

Lors de votre achat, Japan Experience vous propose 2 types de protection :

• Japan Experience Flex : 

Assurance annulation avant départ sous conditions.

• Japan Experience Protect :

Assurance annulation avant départ sous conditions et assistance sur place sous conditions. 

Questions sur votre circuit accompagné au Japon

Circuit accompagné ou en liberté : quel type de circuit choisir?

Voyage de découverte ou d’approfondissement, séjour tout organisé ou en liberté : vous trouverez chez Japan Experience un circuit qui répondra à vos envies ! Découvrez dès maintenant nos 3 formules circuits : circuit accompagné, circuit en liberté ou circuit sur-mesure : Circuits accompagnés : Voyager avec un spécialiste Vous souhaitez un voyage organisé en petit groupe de 8 à 12 personnes, accompagné par un guide privé francophone ? Destinations classiques ou hors des sentiers battus, nous proposons de nombreux circuits accompagnés, pour tous les budgets. Offrant plusieurs dates de départ tout au long de l’année, ces circuits sont proposés à partir de 2 890 € par personne. Circuit en liberté : Voyager en toute autonomie Ces circuits aux itinéraires pré-conçus comprennent hébergements, vols, transports, assistance 24h/24 et activités guidées optionnelles. À partir de 540€ par personne, organisez vos journées à votre guise, en suivant les recommandations de votre carnet de voyage. Circuit sur mesure : Voyager selon vos envies Construisez le voyage dont vous avez toujours rêvé ! Nos conseillers spécialisés sont à votre écoute par email, par téléphone ou directement dans nos boutiques, pour répondre à toutes vos questions et vous aider dans l’élaboration de votre voyage personnalisable.

Comment réserver un circuit ?

C'est très simple et très facile, il suffit de réserver directement en ligne sur notre site :

• Vous choisissez le circuit de votre choix, votre date de départ et indiquez le nombre de participants. Plusieurs options vous sont proposées.
• Vous réglez en ligne un acompte correspondant à 35% du montant total et validez ainsi votre réservation.
• Vous recevez alors une confirmation par mail reprenant les conditions de votre inscription.
• 35 jours maximum avant le départ, vous nous adressez le solde de votre facture, et, à réception, nous vous remettons par courrier recommandé ou directement lors de la réunion pré-voyage les documents nécessaires à votre voyage (carnet de voyage).

Pour plus de renseignement sur les circuits ou votre réservation, n’hésitez pas à contacter nos conseillers au 01 42 61 60 83, ou à venir nous rencontrer dans  notre agence à Paris . Vous pouvez également demander un formulaire d’inscription papier et poser toutes vos questions en écrivant à [email protected]

Quand voir les cerisiers en fleurs? Et les feuilles d'automne?

Dates conseillées pour l'observation des fleurs de printemps : - pruniers en fleurs : mi-février à mi-mars - cerisiers en fleurs (sakura) : entre le 20 mars et le 15 avril (les dates changent d'une année sur l'autre) - glycines, iris, azalées : mi-avril à fin mai - hortensias : juin - lotus : août Dates conseillées en dehors du printemps : - Observation des feuilles d'automne : mi-novembre - Observation des jardins zen sous la neige : mi-décembre à mi-février

Est-ce que les Japonais parlent anglais?

Peu de japonais parlent anglais, même dans le secteur du tourisme. A l'exception du personnel des hôtels dans les villes touristiques majeures, rares sont les Japonais qui maîtrisent la langue de Shakespeare. Toutefois, cela ne les empêche pas de tout faire pour aider les touristes dans le besoin. Une ou plusieurs activités guidées sont proposées dans l'ensemble des circuits en liberté Japan Experience. Cela vous permettra d'approcher d'un peu plus près la culture millénaire de l'archipel. N'hésitez pas à rajouter une ou plusieurs journées guidées en option. Les circuits accompagnés sont quant à eux menés par des guides accompagnateurs bilingue japonais , pour une immersion totale sans effort !

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7 itinéraires hors des sentiers battus en Thaïlande

Je vous proposais voilà déjà 2 ans des 6 suggestions d’itinéraires pour un séjour en Thaïlande , un article qui plait plutôt bien, pratique pour donner des idées à ceux qui ne savent pas vraiment par où commencer. Cet article permet aussi de vous conseiller sur l’ordre et la faisabilité d’un tel ou tel itinéraire selon la durée et la saison.

Pour ce nouvel article, l’idée cette fois est de définir des itinéraires pour ceux qui ne viendraient pas en Thaïlande pour la première fois (j’avais d’abord intitulé l’article « itinéraires pour les accros à la Thaïlande ») et sont donc désireux de s’éloigner vraiment des lieux classiques pour voir plus loin. Cet article peut quand même tout aussi bien s’adresser à ceux venant pour la première fois et disposant soit de la volonté de zapper les lieux classiques (mais quand même immanquables pour certains), soit ayant du temps, pour voir à la fois les incontournables et des lieux plus « hors des sentiers battus » .

Chutes de Thi Lo Su, district d’Umphang. (Credit photo : Yxejamir sur Wikipedia)

Ces itinéraires sont avant tout optimisé pour un séjour en transport indépendant, location de moto ou voiture, ça reste faisable en transport en commun pour rallier les principales villes mais il vous faudra de toute façon un transport pour graviter autour et il faudra compter une marge dans le timing proposé ici.

Passons donc en revue, selon le même système de durée du séjour, les possibilités pour un voyage en Thaïlande différent.

Itinéraire pour un séjour d’1 semaine en Thaïlande

Même topo que la dernière fois, une semaine c’est court, mais ça arrive… Du coup je vous propose entre autre quoi faire sur une semaine à Bangkok si vous aimez vraiment la ville, et qu’y faire autour.

Itinéraire 1, Bangkok lovers

• Jour 1 : Arrivé à Bangkok, selon l’heure vous ne ferez probablement pas grand chose pour cette première journée.
• Jour 2 : Commencez par une promenade matinale dans le parc de Lumphini, rendez vous vers Baan Krua, la communauté musulmane à l’origine du succès de Jim Thompson (non loin de la maison donc), puis prenez un bateau, direction le vieux Bangkok. Vous pouvez vous arrêter au passage au marché de Bo Bae, sinon descendez au terminus, à côté du Wat Saket et marchez dans la zone jusqu’au Wat Suthat.
• Jour 3 : Balade à vélo vers Bang Kachao, le poumon vert de Bangkok ( voir ce que ça donne ici ), si vous connaissez déjà, vous pouvez tenter une balade à Ko Kret, au nord (ou inversement si vous connaissez ce lieu).
• Jour 4 : Balade dans Thonburi ,l’autre côté de Bangkok, visite de la communauté de Ban Bu (artisans travaillant le bronze), Kudee Jin, l’ancien Chinatown.
• Jour 5 : Musée d’Erawan, Ancient City, le bord de mer et les mangroves de Bang Poo, le temple Wat Asokaram sont autant de lieux à visiter dans la province voisine de Samut Prakan.
• Jour 6 : Si c’est un weekend, marché flottant d’Amphawa, balade en bateau vers Don Hoi Lot, marché au train (Mae Klong market) et Wat Bang Kung sont les possibilités à faire dans la région de Samut Songkhram, à moins de 2h de Bangkok.
• Jour 7 : Un peu de repos et de shopping, essayez d’autres magasins que le MBK, pas forcément pour acheter mais le « fun » de voir ce que la ville peut offrir, rendez vous par exemple au Terminal 21, quartier Asok.

Itinéraire 2, côté est, un brin de nature

• Jour 1 : Bangkok
• Jour 2 : Direction Nakhon Nayok, proche du parc national de Khao Yai, que vous pouvez aussi visiter depuis là. Vous pouvez aussi voir le Bouddhism Memorial Park
• Jour 3 : Direction Sa Kaeo et le parc national de Pang Sida (je sais, pas très glamour comme nom…).
• Jour 4 : Visite du parc national de Ta Phraya, vous pouvez au passage voir les formations rocheuses de Lalu au village de Thap Rat.
• Jour 5 : Direction Chanthaburi, petite ville balnéaire, passage vers la grotte de de Pet Pho Thong ( voir l’emplacement )
• Jour 6 : Chanthaburi
• Jour 7 : Double R. Retour et repos à Bangkok.

Si vous aimez la nature et voulez être étonné, alors cet itinéraire est fait pour vous ! Une semaine au vert et non loin de Bangkok (tout est dans un rayon de 3h de la capitale). Pour avoir été tombé dessus par hasard, la grotte de Pet Pho Thong est un petit bijou qui ne m’a certainement pas laissé indifférent et qui a littéralement subjuguée ma mère. La route menant vers Chanthaburi ayant aussi son charme par endroit.

Une plage près de Chanthaburi.

Aperçu de la grotte de Pho Thong, vers Sa Kaeo.

Itinéraire 3, côté ouest, nature et plage

• Jour 2 : Direction Nakhon Pathom, pour son imposant chedi et le palais de Sanam Chan.
• Jour 3 : Direction Phetchaburi, visite de la grotte de Khao Luang, la vieille ville et ses temples, éventuellement un tour à la plage.
• Jour 4 : Visite du parc national de Kaeng Krachan (4×4 indispensable !).
• Jour 5 : Plage de Phetchaburi, éventuellement Cha Am (plus touristique)
• Jour 6 : Plage de Phetchaburi, éventuellement Cha Am (plus touristique)
• Jour 7 : Retour Bangkok.

Même sur une petite semaine, on peut bien caler un peu de plage, certes, pas les plus jolies de Thaïlande, mais ça reste des plages ! Sur la zone proposée ci-dessus, ce ne sont certainement pas les plus belles plages, mais la nature autour est tout de même très attrayante !

Bâtiment en bois du Wat Yai Suwannaram à Phetchaburi.

Itinéraire pour un voyage de 2 semaines en Thaïlande

Voilà une durée plus « raisonnable » pour votre nouveau séjour en Thaïlande. Si vous êtes dans l’idée de découvrir la Thaïlande « autrement », vous pouvez faire un choix quant à la zone à visiter, combinant par exemple les itinéraires 2 et 3. Reste sinon la possibilité de voir un peu de tout, avec un choix d’île qui dépendra de la saison avant tout (Idéalement, pour la côte est entre Novembre et Avril, golfe de Thaïlande entre Janvier et Septembre en gros, mer Andaman entre Novembre et Avril)

Itinéraire 4, la campagne Thailandaise, l’Issan

• Jour 1 : Arrivé à Bangkok
• Jour 2 : Départ vers Phetchabun avec visite possible de Lopburi en passant (mais pas commode en transport en commun)
• Jour 3 : Visite du parc national de Thung Salaeng Luang avec ses airs de savane, temple insolite et perché sur la colline de Wat Pha Sorn Kaew.
• Jour 4 : Direction Khon Kaen, visite au passage du parc national de Phu Kradaeng et du Suan Hin Pha Ngam.
• Jour 5 : Prochaine étape, Roi Et, visite de la campagne alentour, temple de Wat Pa Kung, sorte de petite réplique de Borobudur
• Jour 6 : Rejoindre Ubon Ratchathani
• Jour 7 : Sam Phan Bok (essentiellement de décembre à avril, idéalement en mars/avril), parc national de Pha Taem
• Jour 8 : Reprendre son souffle à Khong Jiam, au bord du Mékong
• Jour 9 : Parcs nationaux de Phu Chong Na Yoi et Khao Phra Wihan, nuit à Si Saket
• Jour 10 : Prasat Sa Kamphaeng Yai, Prasat Sikhoraphum et Phanom Rung, au choix nuit sur Nang Rong ou Buriram
• Jour 11 : Temple khmer de Phimai et l’impressionnant figuier banian (banyan tree), aussi connu sous l’arbre de la Bodhi (Cherchez Sai Ngam sur Google Mpas), Prasat Phanom Wan Ban à Nakhon Ratchasima.
• Jour 12 : Parc national de Khao Yai
• Jour 13 : Parc national de Khao Yai et/ou retour à Bangkok
• Jour 14 : Visite/repos à Bangkok.

Cet itinéraire permet de faire le tour des points intéressants dans cette grande région qu’est l’Issan, une région très largement ignorée par la plupart des touristes, tant mieux pour vous et moi puisque c’est ce qui nous intéresse ici ! Une première partie plus nature, et la seconde est plus culturelle/historique avec pas mal de temples khmer disséminés dans la partie sud de l’Issan.

Itinéraire 5, nord de la Thaïlande

• Jour 2 : Visite du Wat Muang à Ang Thong, stop au Wat Kaeo et Wat Tha Sung à Uthai Thani, éventuellement celui de Singburi, le Wat Phra Non Chakkrasi Worawihan et son bouddha allongé de 50 mètres ! Nuit sur Tak ou Kamphaeng Phet
• Jour 3 : Tak ou Kamphaeng Phet – Phayao, en passant par le Wat Phra That de Lampang et le Wat Phra Phutthabat Phupha Daeng, perché sur sa colline !
• Jour 4 : Phayao – Phu Langka (possibilité de dormir sur place, sinon poursuivez vers les montagnes du Phu Chi Fah en prenant la route 1155, le levé de soleil est plus impressionnant depuis ce dernier, surtout en hiver entre Novembre et Février)
• Jour 5 : Phu Chi Fah, Doi Pha Tang, Chiang Khong.
• Jour 6 : Chiang Khong – Chieng Sen – Mae Sai
• Jour 7 : Mae Sai – Doi Tung (en passant par Ban Pha Hi dont j’en parle ici ) – Chiang Rai
• Jour 8 : Un peu de repos à Chiang Rai
• Jour 9 : Visite des environs de Chiang Rai dans la vallée de la rivière Kok.
• Jour 10 : Chiang Rai – Thaton – Fang
• Jour 11 : Fang – Doi Ang Khang.
• Jour 12 : Visite du Doi Ang Khang
• Jour 13 : Retour à Bangkok via Chiang Mai
• Jour 14 : Visite/Repos à Bangkok

Il y a une alternative possible (parmi d’autres) dans la zone autour de Chiang Rai, passer par la vallée de Phrao, et visiter le parc national de Si Lanna entre autre, à faire par exemple à la place de Phayao et monter ensuite vers Ang Khang et finir le périple à Chiang Rai, ou zapper la partie incluant Doi Tung et se rendre à Phrao entre Ang Khang et Chiang Mai (Phrao étant aussi non loin de Chiang Dao qui a son charme, j’en parlais justement récemment ici ).

Montagnes du Doi Pha Tang.

Itinéraire 6, descente vers le sud, côté mer andaman

• Jour 2 : Bangkok – Hua Hin
• Jour 3 : Parc national de Sam Roi Yot, nuit sur Prachuap Khiri Khan
• Jour 4 : Direction Ban Krut ou Bang Saphan, plage tranquille et souvent déserte, si vous le pouvez, je vous invite à séjourner sur l’île privée de Ko Talu , un petit bijoux !.
• Jour 5 : Direction Chumphon.
• Jour 6 : Iles autour de Chumphon (pas Ko Tao ! Genre…).
• Jour 7 : Chumphon – Ranong
• Jour 8 : Ko Chang et/ou Ko Phayam
• Jour 9 : Ko Chang et/ou Ko Phayam
• Jour 10 : Parc national de Laem Son
• Jour 11 : Khao Lak
• Jour 12 : Baie de Phang Nga (y’a pas que l’île de James Bond…)
• Jour 13 : Retour Bangkok via Phuket (le plus proche) ou Krabi, voire Surat Thani selon prix des billets d’avion (si retour par avion bien entendu)

Itinéraire 6 bis, descente vers le sud, côté golfe de Thaïlande

Au lieu de vous concentrer sur la côte de la mer Andaman à l’ouest, l’alternative reste de s’intéresser au golfe de Thaïlande (selon la saison cela sera plus intéressant). Le début reste évidemment inchangé donc cela donnerait ceci :

• Jour 6 : Iles autour de Chumphon (Mu Kho Chumpon).

La bifurcation dans la direction opère au 7e jour :

• Jour 7 : Chumphon – Khanom
• Jour 8 : Khanom
• Jour 9 : Parc national de Tai Rom Yen – Khiriwong (Khao Luang) – Nakhon Si Thammarat
• Jour 10 : Nakhon Si Thammarat – Thung Song
• Jour 11 : Thung Song – Thale Noi (Phatthalung) – Ko Yo – Songkhla, nuit sur Hat Yai
• Jour 12 : Trang puis îles Ko Muk / Ko Kradan ou Ko Ngai
• Jour 13 : Ko Muk, Ko Kradan, Ko Ngai
• Jour 14 : Retour Bangkok via Trang ou éventuellement Krabi

Si au lieu de descendre au fur et à mesure vers le sud vous préférez prendre un vol direct pour Surat Thani par exemple, vous pouvez plus ou moins combiner les 2e parties des itinéraires 5 et 6. Vous pouvez selon vos goûts/préférences zapper bien évidemment un ou 2 lieux pour profiter plus longuement d’une plage/île adequate pour votre envie de détente.

Paysage des côtes à Chumphon.

Itinéraire pour un voyage de plus d’1 mois en Thaïlande

La première possibilité ici est de simplement combiner l’itinéraire 5 avec l’itinéraire 6, mais je vous propose une variante ici sans le sud de la Thaïlande.

C’est un itinéraire qui est inspiré par celui testé récemment (la 2e partie depuis Chiang Rai surtout) avec mes parents sur une durée d’un mois, mais celui-ci comportait une excursion vers le Laos puis le Cambodge, sachant qu’ici le but est de privilégier uniquement la Thaïlande, d’où une variante que je n’ai pas testé moi même mais me semble intéressante. L’ensemble permet de voir le nord de la Thaïlande, une partie à l’est et des îles (côte est, si c’est la bonne saison…), et permet de voir des lieux uniques très peu visités.

Itinéraire 7, boucle dans la Thaïlande du nord et de l’est

• Jour 1 : Arrivé à Bangkok. Repos
• Jour 2 : Trajet vers Uthai Thani, en passant par Ang Thong, en s’arrêtant au passage au Wat Muang. Dans la région, possibilité de visiter le temple de verre (Keao Temple), le Wat Tha Sung de son vrai nom, qui est aussi un centre de méditation. En ville même, vous trouverez les anciennes maisons, le bord de rivière avec les maisons flottantes et le temple Phra Phutthamongkhon Saksit, dominant la ville puisque sur une colline.
• Jour 3 : Partez explorer les environs d’Uthai Thani, visiter le centre de méditation du Wat Tham Khao Wong, explorez le parc national et réserve naturelle de Thung Yai-Huai Kha-Khaeng.
• Jour 4 : Trajet jusque Tak, passage vers Kamphaeng Phet (ancienne cité importante avec des ruines).
• Jour 5 : Si bonne saison(Décembre/Janvier), poussez la visite jusqu’aux chutes de Thi Lo Su, dans le district de Umphang, mais comptez bien 3/4 jours pour faire l’aller retour (idéalement depuis Mae Sot). Autrement, contentez vous des parcs nationaux aux alentours de Tak, celui de Ramkhamhaeng par exemple, proche de Sukhothai.
• Jour 6 : En route vers Mae Sot, parc national de Lan Sang, et/ou celui de Taksin Maharat.
• Jour 7 : Mae Sot – Mae Sariang, villages de tribus, grotte de Mae U Su seront au passage.
• Jour 8 : Mae Sariang – Mae Hong Son.
• Jour 9 : Mae Hong Son.
• Jour 10 : Mae Hong Son – Mae Lana, grotte de Tham Lot, l’attraction principale de la région.
• Jour 11 : Mae Lana – Pai.
• Jour 12 : Direction Chiang Dao.
• Jour 13 : Chiang Dao – Thaton – Mae Salong.
• Jour 14 : Mae Salong.
• Jour 15 : Mae Salong – Chiang Rai.
• Jour 16 : Chiang Rai – Chiang Khong.
• Jour 17 : Chiang Khong – Doi Pha Tang – Phu Chi Fah (l’un ou l’autre est idéal pour un levé de soleil) – Phayao.
• Jour 18 : Phayao – Phrae, visite de Phae Mueang Phi.
• Jour 19 : Phrae – Uttaradit, en passant par le lac plutôt que la route principale (vous pouvez voir ce que cela donne ici ), autrement vous pouvez visiter le Wat Phra That Suthon Mongkhon Khiri et pousser la visite vers le parc historique de Si Satchanalai si vous ne connaissez pas déjà (c’est un peu la petite soeur de Sukhothai).
• Jour 20 : Uttaradit – Phetchabun.
• Jour 21 : Phetchabun – Chiang Khan.
• Jour 22 : Chiang Khan – Udon Thani, en passant par le parc historique de Phu Phra Bat
• Jour 23 : Udon Thani – Phimai.
• Jour 24 : Phimai – Sa Kaeo, en passant par les temples khmer du coin (voir itinéraire 4).
• Jour 25 : Sa Kaeo – Trat.
• Jour 26 : Ko Chang / Ko Mak / Ko Kood.
• Jour 27 : Ko Chang / Ko Mak / Ko Kood.
• Jour 28 : Ko Chang / Ko Mak / Ko Kood.
• Jour 29 : Retour Bangkok.
• Jour 30 : Visite/Repos à Bangkok

Une variante possible si les îles ne sont pas une nécessité, vous pouvez bifurquer à partir de Chiang Khan pour longer le Mékong, ce qui donnerait quelque chose comme suit :

• Jour 22 : Chiang Khan – Nong Khai.
• Jour 23 : Nong Khai – Bueng Kan.
• Jour 24 : Bueng Khan – réserve naturelle de Phu Wua, Wat Jetiyakhiri – Nakhon Phanom .
• Jour 25 : Nakhon Phanom – Mukdahan et son parc national
• Jour 26 : Mukdahan – Ubon Ratchathani
• Jour 27 : Ubon Ratchaathani – Khong Chiam – parc national de Pha Taem

Si par contre, vous voulez tout de même voir des îles en gardant la base de cet itinéraire, mais alors que la météo n’est vraiment pas favorable (la saison des pluies est particulièrement marquée dans cette zone), vous pouvez éventuellement rejoindre Nakhon Ratchasima après Phimai et prendre un vol vers le sud.

Je suis conscient qu’un tel itinéraire n’est pas forcément de tout repos, libre à vous de l’adapter en privilégiant une zone en fonction de vos goûts/envies, l’idée est de vous donner une ligne directrice, mais ce n’est pas forcément à suivre à la lettre, cela va de soit 😉

Parc national de Mukdahan.

Si vous voulez faire une petite excursion au Laos, on avait passer la frontière depuis Chiang Khong vers Huay Xai, de là on partait sur le Mékong pour une croisière de 2 jours afin de rejoindre Luang Prabang. Une option possible étant de revenir en Thaïlande après Luang Prabang via Vang Vieng puis Vientiane, en zappant donc la partie en Thaïlande correspondante.

Pour un tour au Cambodge, cela donnerait ce que l’on a fait, à savoir :

• Jour 17 : Chiang Khong – Doi Pha Tang – Phu Chi Fah (l’un ou l’autre est idéal pour un levé de soleil) – Phrae.
• Jour 18 : Phrae, visite de Phae Mueang Phi – Chiang Khan.
• Jour 25 à 29 ou 30 : Siem Reap – temples d’Angkor

Vieux banyan tree de Phimai.

Maintenant que vous avez plus ou moins en tête votre prochain itinéraire, il ne vous reste plus qu’à réserver vos hôtels 😉 Pour se faire je vous invite à chercher via mon lien affilié chez Agoda , ou Booking si vous préférez , en plus de trouver votre bonheur, ça me donnera un coup de pouce !

Si vous tentez l’aventure en transport en commun, voici un outil qui pourrait vous aider :

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Lorsque je découvrais la Thailande en 2006, je ne m'attendais certainement pas à y poser mes valises 2 ans plus tard ! Depuis, je suis basé à Bangkok et je voyage régulièrement à travers toute l'Asie. Je partage mes récits, photos, conseils sur la vie d'expatrié en Thailande et sur les pays d'Asie, pour ceux qui veulent découvrir le pays du sourire, qui cherchent un peu d'aventure et ceux qui rêvent d'Asie (ou ceux qui veulent rêver tout court ;-)

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Commentaires:.

j’ai découvert ton blog, comment t’expliquer que j’en suis totalement fan 😀 !

je suis une grande amoureuse des pays asiatique mais surtout de la Thailande ! c’est un si beau Pays !

Et bien que dire si ce n’est un grand merci !

Salut Romain, Tres intéressant ton blog! Petite question concernant les routes. A cette époque ci, mi-fin juin, est ce dangereux d aller a Pai ou chiang rai depuis chiang mai, en bus? Il pleut surement moins qu en été mais si les routes sont mouillées j hesite a y aller quelques jours. Sinon quel coin me conseilles tu, il me reste 10 jours environ? Merci d avance pour tes conseils!

Les routes sont en bon états, et les pluies plutôt en fin d’après midi donc pas vraiment un soucis de se rendre à Pai. La région de Chiang Rai aussi est superbe, tu peux te rendre vers Mae Salong, Doi Tong, ou vers les lieux dont je viens de parler sur le blog, Phu Chi Fah et Doi Pha Tang. Vers Chiang Mai, il y a Chiang Dao, Doi Ang Khang, le village de Mae Kampong qui valent un coup d’oeil. Bonne continuation !

Salut, Merci pour ton site très intéressant. Je viens pour faire un road trip en Thaîlande pour 3 semaines, j’ai ciblé plusieurs destinations dont certaines compliqué à atteindre. Le mieux , d’après ce que j’ai compris serait de louer une voiture mais je n’ai pas le permis international avec moi. Tu me conseillerais quoi comme autre transport ? J’ai vu que les bus font beaucoup de ville mais les horaires sont aléatoires si on ne part pas dès la gare de départ et je n’ai pas les moyens de louer un conducteur privé…

Merci, Arnaud

Salut Arnaud,

Quelles sont tes destinations compliqués en question ? Si tu n’a pas de permis international c’est en effet un peu loupé, le scoot reste une option car les loueurs ne demandent pas de permis, mais la police si…. donc effectivement resterait le bus et autre transport locaux (les fameux pick-up qu’on appelle songthew)

SOBRIE Aurore

Bonjour Romain, Je démarre la préparation de notre 3ème voyage en Thaïlande et à la recherche d’un nouvel itinéraire, je découvre ton blog : un super blog pleins d’infos ! D’ailleurs je compte bien m’inspirer de ton itinéraire 6 pour organiser notre voyage en famille prévu pour avril 2017. Pour la petite anecdote, en navigant sur ton bloc, je réalise que nous avons déjà fait connaissance à Bangkok au cours d’une balade à vélo en avril de cette année, avec Sugar et une autre famille française….. :-)) Une balade que les enfants ont adorés et qu’ils considèrent comme étant un moment fort de leur premier voyage en Asie. Merci à toi pour toutes ses nombreuses informations. Bonne continuation. Aurore

Bonjour Aurore !

Et oui comme quoi le monde est petit 😉 Content que vous gardez un très bon souvenir de cette journée avec moi ! Bonne préparation de votre séjour !

Bonjour Romain ! Votre blog est une mine d’or pour mon voyage de 15j en thailande que je suis en train de construire… Je me suis inspirée de votre itinéraire 6 (sud ouest) que j’ai un peu adapté mais j’ai du mal à trouver les transports possible entre mes différents stop. Pouvez-vous me donnez votre avis sur mon itinéraire et sur les trajets svp ? Bangkok 2j -> bus Prachuap Khiri 2j -> bus / train ? Khao Lak -> bus île du côté de Phang Nga (Ko Yao ou Ko Jum ?) -> bus Ile Trang (Ko Bulon, Ko Linbong ou Ko Saturn ?) -> avion Bangkok merci d’avance pour votre aide Eva

Bonjour et merci pour le compliment !

Pour aller à Prachuap, vous pouvez soit prendre le bus soit le train, cela ne changera pas grand chose au timing, juste, le train est généralement plus lent que le bus. Je ne connais pas (encore) personnellement les îles que vous citez. Mais je sais que les vues sur la baie de Phang Nga seront bien meilleur depuis les iles de Koh Yao.

Concernant Trang, Bulon parait chouette mais l’île est très petite. Satun n’est pas une île à ma connaissance…

Bonjour Romain, Très beau blog riche en informations! Merci pour le temps et la passion décrite dans ces quelques pages. J’aurai besoin d’un avis pour un 1er voyage en Thaïlande d’une 15aine de jours où nous partirions en famille donc avec 3 enfants (qui seront âgés de 13 à 8ans). Bangkok (4-5nuits): Wat Arun, Wat Pho, Wat Phra Kaeo, Palais royal, Lumpini Park, Klongs, marché d’Amphawa, et shopping 😉 Khao Yaï (1nuit): parc national (singes?) Sukhotaï (2nuits): old Sukhotaï et Si Satchanalaï Chiang Maï (2 nuits): marché aux fleurs, temple Doi Suthep, night market Mae Hong Son (2 nuits): femmes-girafes et big ears, Sop Pong: cavernes chauves-souris Retour Chiang Maï (1nuit) pour 1 vol vers Bangkok puis destination Kanchanaburi et les cascades d’Erawan (2 nuits) Puis Bangkok (1nuit) pour repartir 🙁 Que penses-tu de ce périple et de sa faisabilité? J’ai vu les distances en Km mais impossible d’avoir des estimations de temps de trajets, en sachant que nous n’avons pas de permis international et que nous prendrions des transports tels pick-up, bus, trains pour les gros trajets. Je n’ai aucune idée du temps que l’on passera dans les transports, donc si tu as des infos assez précises de ce côté et des bons plans, je suis largement preneuse 😉 Merci d’avance et bonne continuation

J’y étais hier encore et donc je confirme, oui, il y a bien des singes à Khao Yaï 😉 Le périple me parait réalisable, vu que tu parles de temps « en nuité » et non en journée, j’espère que tu ne prévois pas le même temps à chaque fois sur place, car attention à prendre en compte les temps de transports justement (qui font parfois perdre une journée). En regardant les trajets sur Google Maps, ça permet de se donner une idée et des kilomètres ET du temps (je ne sais pas si c’est comme ça que tu as procédé). Je n’ai pas vraiment d’infos précises car appréciant mon « indépendance », je voyage à travers la Thailande soit avec mon propre véhicule soit en louant des scooters sur place… mais très rarement avec les transports public (c’est, je l’admet, mon point faible sur le blog, car je sais que vous êtes majoritaire à le faire et devrait donc être à même de renseigner sur ce type de transport…)

Bonjour Romain et c est un bravo supplémentaire que je vous adresse aujourd hui!

Je pars avec mari et mon fils de bientôt 2 ans pour les 15 derniers jours de décembre en Thaïlande. Nous arivons à Bbk le dimanche 18/12 et partirons directement vers sukotai par un vol intérieur pour y passer 3 nuits (centre historique). Ensuite nous comptons prendre un taxi/chauffeur pour nous rendre à Chiang Mai pour 3 nuits également. Nous souhaitons ensuite revenir à Bbk ( vol intérieur ) le 24 décembre pour Noël. Puis aller à Kanchanabury pour 3 jours egalement. Nous repartons de BBK le 1er janvier!

Nous avons compris que les voyages avec bebe nous demandent plus d organisation c est pourquoi on aimerai reserver les hebergements et transports avant de partir. Nous allons privilegier des trasports assez  » rapides », pas trop frequents dans une meme journee et pas trop fatigants pour bébé. De plus les journées seront rythmées par son rythme ( imprevisible 😉 ) et nous ne pourrons pas vadrouiller tout au long de celles ci et jusqu au bout de la nuit comme nous le faisions lorsque nous n’étions qu’à deux! Mais quelle joie de lui faire découvrir ces paysages, ces personnes, ces ambiances et cuisines que nous apprecions tant lorsque nous voyageons! J aurai quelques petites questions à poser à l expert que vous êtes! 1000 Merci par avance.

– comment trouver un chauffeur pour la route sukotai- Chang Mai? Avez vous quelqu un à nous conseiller? – pour nos 3 jours à Chang Mai (CM) conseillez vous de louer une voiture? (On a un permis international et l habitude de rouler à gauche, on aime bien cette independance et rouler à la découverte de beaux paysages un peu loin des touristes 😉 ) ou peut être cela ne serai il pas adapté? et si oui nous conseillez vous de louer directement à partir de Sukotai? Mais il faudra la rendre à Chang Mai.. – nous n aurons que 2,5/3 jours à CM, sachant qu on privilégie le calme et les beaux paysages ( nous irons au Doe Sutep j’imagine) dans quel coin nous conseillez vous de loger si on a / si on a pas de voiture de location? – les jours fériés 21 24 25 31 decembre: allons nous être gènés pour les transports etc? Nouvel an à Bbk? – pour le trajet Bbq – kanchanabury: connaissez vous un taxi/ chauffeur? Comment recherche t on? – à Kanchanabury nous prendrons le fameux train qui va vers Nam Tok ( trop long pour le prendre depuis Bbk), nous ferons l aller retour sur la journee, avez vous un conseil particulier à nous donne pour sa réservation? Le fera t on sur place ou doit on le réserver avant?

Un immense merci pour l aide que vous nous apportez à tous ! ! Dans l attente de vous lire, Aude

Par rapport à votre première question, je ne sais pas trop à vrai dire, j’ai l’habitude soit des transports en commun soit de mon propre véhicule… je me serais bien proposé mais je ne serais pas disponible à ces dates.

Si vous avez l’habitude de la conduite à gauche (auparavant en Thailande aussi ?) pourquoi pas, louer une voiture est en effet le meilleur moyen pour apprécier son indépendace, pas d’horaires à respecter et libre d’aller là où le vent nous porte 😉 Peut être serait il en effet plus simple de louer directement depuis Sukhothai. Plus précisément depuis l’aéroport de Phitsanulok. Parce que vous ne rendrez pas le véhicule au même endroit que votre départ, il vous faut trouver un loueur permettant cela, en gros seul les « gros » loueurs le permettent. J’utilise régulièrement Hertz qui permet de rendre le véhicule à un autre endroit, sans frais supplémentaire selon la durée de la location.

Si vous n’avez pas de véhicule, le plus simple est de loger dans la partie centrale de la vieille ville (le fameux carré), sinon, vu que c’est un peu galère d’y circuler à l’intérieur, peut être loger à l’extérieur si vous aurez votre véhicule, bien que ce n’est pas indispensable. Par exemple, quartier de Nimmanhaemin. A visiter je vous conseille le Doi Inthanon, à 60km au sud de Chiang Mai, chouette cadre.

Concernant le nouvel an, c’est vraiment le pic de la saison (comme beaucoup de lieux touristique) donc oui, ça pourrait être le bordel niveau transport mais c’est la Thailande, il y a tout de même un large choix de transports.

Je ne connais pas de chauffeur personnellement pouvant faire le trajet, théoriquement, n’importe quel taxi serait à même de le faire mais beaucoup refuseraient parce que ça fait trop loin (même si le tarif serait proportionnel bien entendu…) De manière générale, ça pourrait vous dépanner, vous devriez vous procurer l’Appli Grab Taxi, sorte d’Uber Local qui marche plutôt pas mal.

Pour le train, il n’est pas évident de réserver à l’avance, autre que sur place… il faudrait donc que vous puissiez passer par la gare de Bangkok avant de prendre votre vol pour Sukhothai… sinon le prendre sur place le jour J, en espérant qu’il reste des places.

M E R C I !, pour ces infos super precises ! On se plonge alors encore un peu plus dans la préparation de notre voyage!

Je vais de ce pas lire votre article sur les hébergements à bankok pour nos 3 derniers jours.

Bonne continuation à vous.

Merci à vous 😉

La région de la photo d’introduction de cette article a l’air magnifique mais elle n’est pas renseignée. De quelle coin s’agit-il? merci 🙂

Il s’agit d’un point de vue qu’on peut trouver au parc national de Sam Roi Yot, au sud de Hua Hin, ça tombe bien, je suis en train de rédiger un article complet sur celui-ci 😉

Bonjour Romain, Je ne peux que vous remercier pour votre site internet qui est une vrai trésor. Je le parcours en long et en large depuis quelques semaines. Quel bonheur et quelle inspiration! Je planifie un voyage un peu dernière minute direction la Thailande. Mon but central est de faire un retraite dans un monastère au alentour de Surat Thani. J’en profite cependant pour partir un peu découvrir le reste du pays. Votre itinéraire 6, du moins en partie, a donc retenu mon attention, et tout particulièrement le parc naturel de Sam Roi Yot. Je voyagerai seule et je voulais me passer d’une voiture, mais plutôt opter pour des transports en commun. J’ai bien vu les compagnie de bus que vous conseilliez, mais les sites sont soit en thai, soit le lien ne fonctionne plus, soit ne dessert pas le sud, et je n’ai pas réussi à trouver mes réponses. Je voulais savoir s’il y a la possibilité de s’arrêter bus à Prachuap Khiri Khan, à Ban krut ou Bang Saphan ? Savez vous s’il y a plusieurs bus par jour? Ma deuxième question est par où pouvons nous rejoindre Koh Talu?

Je vous remercie d’avance infiniment pour votre aide, et vous remercie encore sans fin de partager avec autant de générosité toutes ces belles aventures et vos précieux conseils.

Bonjour et merci pour ce message plein d’encouragements !

Merci également de m’avoir notifié les liens ne marchant plus, c’est maintenant réparé. A vrai dire, vous avez plusieurs possibilités pour vous rendre dans ce coin, le plus direct étant le train depuis la gare de Hua Lamphong ou Thonburi, il y a une gare à Bang Saphan. C’est pas le plus rapide mais ça fait une expérience sympa.

Ensuite vous avez des bus depuis la station de bus sud (Southern Bus Terminal ou Sai Tai Mai), notamment la compagnie Bang Saphan Co. qui s’y arrête (les autres compagnies vous déposeront au bord de l’autoroute à 15km de la localité même…). Toujours à ce même terminal de bus, vous trouverez des vans faisant aussi ce genre de trajet.

Il y a plusieurs départ par jour donc aucuns soucis pour ça.

Vous pouvez regarder les horaires et réserver le train via ce lien : https://12go.asia/fr/travel/bangkok/bang-saphan-yai/?z=16406

Notez si vous ne le savez pas que Koh Talu est une île privée, si vous avez réservé votre hébergement et souhaitez vous rendre là bas par vous même, il faut se rendre au quai du Banmapraw Resort Harbor (si vous cherchez ce nom sur Google Maps ils indiquent même que c’est le Talu Resort, qui appartient à l’île gérant le transfert)

Bonjour ! Merci pour tout ces conseils. J’ai une grande question : j’ai deux semaines de vacances début mai et je pensais faire un tour en Thailande. Bonne ou mauvaise idée ? J’ai lu que le climat était vraiment le pire à ce moment là. Je vis en Corée pour le moment donc j’ai une résistance minimum à la chaleur humide mais quand même ^^ L’idée est d’aller au nord, ou idéalement, au nord-est. Merci !

Disons sincèrement que le climat n’est pas idéal en effet, c’est le début de la saison des pluies, qui est pas mal pluvieux (comparé à Juin / Juillet par exemple) et en plus c’est encore l’été, donc il fait très chaud et humide, ce qui fait que la végétation est terne, cramé, et y’a pas de rizières… Donc je repousserai le trip si possible ou choisirais une autre destination.

Mégann Trinquet

Bonjour Romain, Ton blog est super ! Nous partons en Thailande mi-juin. Nous aurions beaucoup aimé faire un trek dans le nord mais nous ne souhaitons pas faire quelque chose de très touristique sans authenticité. Nous avons vu des avis partagés sur Chiang Mai et Chiang Rai.. Par contre, un bloggeur parle du nord est de la thailande, dans la région d’Isan (a Phu wua). Qu’en penses tu? Nous te remercions d’avance !!!

Je n’ai pas encore eu l’occasion d’aller vers le Phu Wua mais je l’ai déjà noté dans ma liste des endroits à checker. Sinon, en peu touristique, il y a aussi les régions de Nan et Phetchabun par exemple.

Super merci pour ton conseils, on va regarder ça de plus près !

On a regardé pour Nan, en effet ça a l’air super ! Mais on ne trouve aucune info pour les transports, mis à part Nan-Bangkok.. Aurais-tu plus d’infos à ce sujet..? Dans l’idéal nous aimerions partir de Bangkok pour aller vers Ayuattaya, puis Lampang puis Nan, pour ensuite aller du côté de Nong Khai puis Phimai.. Penses-tu que cela serait réalisable..? Nous te remercions encore, ton blog nous aide bcp !

Chouette programme en perspective ! Après j’ai bien peur de ne pouvoir vous aider plus… Ayez visité cette région avec mon propre véhicule, je ne peux que vous dire que se rendre à la station de bus de Lampang reste la solution pour aller vers Nan ensuite, après sur place le plus simple reste de louer de scooter pour visiter les environs… mais attention à avoir son permis international (tampon moto inclus pour se faire, autrement cela devra passer par des excursions locales.

Merci quand même pour tous tes conseils, ton blog nous donne vraiment hâte !!!

Maurice Cael

Bonjour romain

Je decouvre votre site aujourdhui car je me documente envue d un futur treck en thailande. A aucun moment vous parlez de decouvertes à pied Je tiens àvous dire que votre site est formidable ça mca deja fait commençer mon voyage

Bravo bonne continuation Jeannine

La raison en est simple, j’ai effectué à ce jour qu’un seul trek d’une journée (dont je n’ai pas encore écrit d’article d’ailleurs…)

Il y a bien sur des découvertes à pied possible, notamment dans les parcs nationaux mais rarement par soi même.

Bonsoir Romain,

je pars en Thaïlande avec mon mari et mon fils de 3 ans fin février début Mars on aimerait faire les endroits les plus paradisiaque , une semaine sur place(car nous serons avant ça à Singapour). je pense que le Sud est plus conseillé pour nous. Que me conseillez vous pour la semaine.(nous habitons dans le sud de la France et sommes donc déjà très gatés et du coup un peu exigeants… lol)

Il y a le sud et le sud… Si je vous dis Koh Chang ou Koh Kood, que pensez vous des photos ? 😉

vieuxchameau

Bonjour, Ben!Ben!Ben! ….Vu la qualité invraisemblable de votre blog, je l’ai tout simplement mis dans mes favoris….les guides traditionnels à côté……bof! Félicitations pour un tel travail

Il faut dire que c’est avec des commentaires comme les vôtres que ça me pousse à persévérer et à continuer d’informer au mieux ! Merci !

Bonjour Romain, Je pars dans une semaine en Thaïlande et je n’arrive vraiment pas à me fixer sur un itinéraire, serait il possible d’échanger en privé svp ?

Je viens de vous répondre par mail.

Bonjour, Déjà, super blog, ça donne vraiment envie et grâce à vous j’ai une petite idée de ce que je veux faire/voir en Thaïlande 😉 Je pars pour environ 3-4 mois (le retour n’est pas défini) pour l’Asie, principalement de mi mai à fin aout. J’ai pu lire que le mois de mai n’était vraiment pas le meilleur pour visiter le pays, et donc…que faire au mois de mai ? Vietnam ? Laos ? Avez-vous eu l’occasion de loger chez des habitants? Helpx ou wwoofing ? On aimerait rencontrer des gens et participer à des projets avec eux. bonne continuation !

La météo est sensiblement la même dans toute l’Asie du sud-est à cette période, donc Vietnam ou autre ne changera rien, c’est le début de la mousson… Je n’ai pas eu l’occasion de dormir chez l’habitant en tant que tel mais connais un programme, organisé par l’office de tourisme lui même qui mêle activités originales selon les régions et nuit chez l’habitant, ça se passe ici : One Night Stay With Locals

Bonjour Romain ! Help ! A force de lire des blogs, je suis perdue. Nous partons dans 2 semaines avec un ado de 17 ans. ON passe une semaine à Bangkok et ses environs. On restera les 2 premiers jours à Bangkok (klong et visite des temples) mais après je ne sais pas. La deuxième semaine, nous ferons de la plongée. On aime les coins plutôt nature, s’il y a une activité un peu fun ça peu être sympa. On aime prendre notre temps donc pas la peine de prévoir une semaine surchargée. On voyage en transport en commun. Et enfin on aime bien se poser au minimum 2 nuits. Une idée ?? merci !

Là comme ça, je dirais allez dans la région de Kanchanaburi. Vous devriez trouver de quoi vous occuper, possible de faire des activités accrobranches, du kayak, pas mal de visites (pont river kwai, Muang Sing, train de la mort etc), cascades (Erawan, Huay Mae Khamin), le lac, éventuellement pousser la visite jusque Sangkhlaburi.

Pour avoir une idée : http://www.thailande-et-asie.com/6-visites-incontournables-kanchanaburi/

Bonjour Romain, Tout d’abord merci pour ce magnifique blog qui regorge de pepites, conseils, et magnifiques photos. Te lire permet de voyager avant le voyage ! Merci pour ça !!! 🙂 Après un premier voyage annulé en 2020 du fait du COVID, j’espère pouvoir partir 3 mois, à compter de fin novembre 2022. Ayant déjà visité le Cambodge, j’aimerai centrer mon voyage sur le Vietnam, le Laos et la Thailande. J’aime la nature et l’autentisme ; et je pense que ces pays vont me combler. Seulement voilà…. Je ne sais pas du tout comment organiser le voyage… Par quel pays commencer… ? Où passer les frontières pour organiser mon parcours de manière de la meilleure des manières … ? Avec le COVID, il me semble plus simple d’arriver via Bangkok mais comment passer de pays en pays après en les parcourant autant au sud qu’au nord ? Aurais-tu une petite idée de comment m’organiser ? Merci encore ! 🙂

Merci pour le compliment et oui, je pense avoir ma petite idée sur comment gérer ce genre de trip. Comme tu l’évoques, le plus évident est d’atterir à Bangkok, notamment parce même si la différence est pas énorme, il y a généralement de meilleur prix à faire un Paris-Bangkok que Paris-Hanoi par exemple.

Ensuite, le climat y sera idéal dans le nord du pays à cette période. C’est donc par là que je commencera, deux trois jours à Bangkok pour s’acclimater, éventuellement un jour à Ayutthaya, sinon à Sukhothai (voir les deux) et hop, direction le nord. Chiang Mai, Chiang Rai, sont les deux principales régions propices à de bonnes balades, éventuellement, Mae Hong Son. Sachant que s’il y a 3 mois en tout, cela laisse donc environ 1 mois par pays. Donc dans l’idée, cela ferait de l’ordre de 15 jours dans la partie nord de la Thaïlande, ce qui laisserai 15 jours pour le sud.

Tu peux traverser (en espérant que d’ici les frontières terrestres soient bien rouvertes) la frontière à Chiang Khong côté Thai pour rejoindre Houei Sai au Laos. De là tu peux visiter le nord du pays et descendre jusqu’au 4000 îles à la frontière avec le Cambodge. Si tu restes dans les passages de frontière terrestre, il y a le passage à Bo Y International Border Gate pour rejoindre le Vietnam depuis le Laos. De là, tu peux soit descendre vers le Delta du Mékong et faire des visites à Dalat, Mui né au passage par exemple, soit remonter vers Hoi An puis Hué avant de poursuivre vers Hanoi. En fonction de tes envies, faire d’abord le delta du mekong puis remonter par les terres vers Hoi An, Hué rendrait un peu juste le timing pour bien visiter les montagnes du nord donc je pense qu’il y aura un choix à faire.

Depuis Hanoi, l’idéal serait un vol vers Phuket (là où y’aura du choix en terme de compagnies) et de là, graviter 15 jours dans le sud de la Thaïlande, sachant que d’ici là ce serait février, la météo est bonne partout, donc tuy pourras autant choisir côté mer andaman avec la région de Krabi par exemple, que le golfe de Thailande, en allant à Ko Samui, Ko Phangan et Ko Tao.

Ça reste qu’une suggestion, mais perso, c’est en gros comme ça que je ferais. Une alternative serait de visiter le nord du Laos après la Thailande, rejoindre le nord du Vietnam via Dien Bien Phu, visiter le Vietnam du nord au sud et rejoindre le sud du Laos via la frontière évoqué plus haut. En remontant par exemple jusqu’à Vientiane si pas déjà visité avant, tu reviens en Thailande via Nong Khai et de là, possible de prendre un avion vers le sud à Uthai Thani (y’a des vols direct et pas cher, pratique !).

L’avantage de ma première suggestion par rapport à cette alternative est d’éviter les passages de frontières terrestres, qui font souvent perdre du temps et même sujettes aux arnaques. Puisqu’en gros si je résume, y’aurait que le passage Thailande-Laos, qui n’est pas trop problématique à cet endroit, puis la frontière sud Laos-Vietnam, soit deux passages uniquement.

L’alternative elle, demande un premier passage Thailande-Laos, puis Laos-Vietnam au nord, Vietnam-Laos au sud, puis Laos-Thailande, soit quatre passages de frontières.

Voilà, j’espère que ça aide à y voir plus clair !

Bonjour, Pour notre 1er voyage en Asie avec nos 2 enfants de 9 et 11 ans nous souhaitons partir en Thaïlande. Nous partirions fin octobre début novembre pour 15 jours. Sachant qu’au milieu de ce séjour nous souhaiterions garder 2 jours pour assister au grand prix moto sur le circuit international de Buriram. Du coup je suis un peu perdue car les lieux à découvrir sont loin les uns des autres. Qu’est ce que vous nous conseilleriez? Est ce qu’on peut envisager d’aller découvrir les sud aussi (climat défavorable il me semble)? En même temps l’idée n’est pas de passer tout notre temps dans les transports. Est ce que vous savez si ce serait possible d’organiser un séjour avec un guide local, si oui est ce que vous avez des pistes? Merci pour toutes ces informations et toutes celles déjà présentes sur votre site !

C’est pas évident d’organiser avec un tel impératif, ça va limiter les possibilités. Personnellement, je graviterai autour de Buriram pour éviter trop de déplacement. Vous avez le parc national de Khao Yai, Phimai, les temples Phanom Rung, Prasat Muang Tam, avec un passage avant par Ayutthaya, ça pourrait déjà vous occuper une bonne semaine. Ensuite je serais tenté vu la saison de vous dire de descendre vers Chanthaburi puis terminer le séjour soit à Ko Chang, soit Ko Kood. Pour un organisateur, vous avez les merveilles du Siam .

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7 manières de découvrir l’Ecosse hors des sentiers battus

C’est un article un peu différent que nous vous écrivons aujourd’hui. Nous voyageons souvent un peu partout aux quatre coins du monde mais depuis quelque temps, l’Écosse nous appelle et nous fait les yeux doux. Si demain, nous devions visiter l’Écosse, quel périple souhaiterions-nous faire ? Quels lieux aimerions-nous voir ? Quelles sont les expériences qui nous feraient vibrer ? Pourquoi voudrions-nous visiter cette belle contrée sauvage ?

On nous a récemment posé toutes ces questions et nous avons voulu y répondre car nous rêvons chaque jour de nos prochaines destinations. Le voyage est en nous et nous n’avons pas fini de vous faire rêver et voyager.

C’est également en lisant ce dossier spécial « Un regard sur l’Ecosse » écrit par une journaliste du Monde.fr que j’ai été tentée par cette destination. Elle la présente sous un nouvel angle, hors des sentiers battus et je suis sûre que cela vous donnera l’envie d’explorer ce pays mythique et envoûtant.

On est tous d’accord pour dire que l’Écosse est un pays parmi les plus attractifs d’Europe. Nous rêvons de découvrir ce pays pour de multiples raisons. Au-delà des légendes écossaises, du whisky, des châteaux, des histoires de fantômes, du monstre du Loch Ness, ce sont les côtés sauvages contrastés et culturels de ce pays qui nous attirent.

Un voyage en Écosse serait pour nous un voyage entre Highlands et Islands. Ce serait un voyage inspirant aux multiples instants.

On commencerait par un Instant nature dans la région de Glencoe avec ses immenses forêts. On s’arrêterait observer les cerfs du coté de Fort Williams, on en profiterait pour photographier les fameuses Highland cattle , vous savez ces vaches à franges si belles. On se rendrait dans ces étendues sauvages parmi les plus vastes d’Europe de l’Ouest, dans le parc national de Cairngorms , apparemment un paradis pour les animaux sauvages. On irait également aux îles Shetland pour son célèbre poney tellement mignon et ses belles maisons colorées.

Il y aurait un Instant détente du côté de l’île de Skye . D’abord à Coral Beach , une des plus belles plages de l’île mais aussi dans les Fairy pools , ces piscines d’eau cristalline formées par les cascades où nous pourrions barboter des heures…

Il y aurait aussi un Instant bonheur en dormant dans de nombreux cottages authentiques, en dégustant un bon thé au lait, des pâtisseries maison et en discutant de nombreuses heures avec nos hôtes dans un anglais parfois incompréhensible.

Puis il y aurait un Instant insolite en dormant dans un phare perdu on dans un vieux wagon de train abandonné dans l’auberge de Glenfinnan .

Il y aurait surement un Instant peureux en visitant les quelques châteaux hantés, les manoirs si atypiques et en s’approchant du célèbre Loch Ness , le mystère le mieux gardé d’Écosse.

Il y aurait bien évidemment un Instant culurel en nous imprégnant de la culture celte à Glasgow ou Edimbourg . L’Écosse est bel et bien une patrie phare du monde celtique alors pourquoi ne pas l’aborder au travers de sa musique influencée par le son de ses cornemuses et en buvant un bon whisky parfumé avec des écossais ?

Enfin il y aurait un Instant magique en photographiant les plages d’Harris telles que Luskentyre considérée comme l’une des plus belles plages de sable blanc du monde.

Voilà comment se ferait notre voyage en Écosse. Il mêlerait l’authenticité avec un coté sauvage et insolite. Et vous comment serait votre voyage en Écosse ?

Cet article est sponsorisé mais il reste avant tout notre ressenti sur cette destination. Il fut possible grâce à une collaboration avec VisitScotland.

6 Commentaires

J aimerais offrir un séjour de 3 ou 4 jours pour les 50 ans de mon compagnon, soit en Ecosse, soit en Irlande, soit en Lapponie.

Seulement nous ne voulons pas rouler en voiture et nous ne sommes pas du tout ville, ni musée.

De ce fait, je cherche un point départ pas trop loin de l’aéroport qui nous permettrait de faire des excursions organisées. Genre moto neige, vélo, promenade, visite chateau, chien traîneau etc…

Pourriez-vous m aider pour organiser ce voyage surprise qui serait idéalement vers le 18 novembre 2017 au départ de la Belgique.

D avance, merci Bien à vous,

j’ai eu le plaisir de faire ce voyage en Ecosse dans le grand nord. Site magnifique et magique !!!

Nous avons hâte de découvrir ce pays, ça nous donne tellement envie!!!

grand voyage. Merci pour le partage, grand article

Très jolies photos! J’avais eu l’occasion de faire le tour de l’Ecosse il y a quelques années dans une vieille Coccinelle Volkswagen et j’ai vraiment été marqué par la beauté des paysages. Les plages notamment sont vraiment magnifiques et sauvages. Un chouette voyage! Merci de me remémorer ces moments.

Oh mais quelle chance! tu as du aimé ce voyage… j’ai hâte d’y aller justement! 🙂

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Rome hors des sentiers battus : 17 endroits moins connus à visiter

Visiter rome autrement: le guide des lieux secrets de rome.

Vous prévoyez de visiter Rome lors de votre prochain voyage et vous voulez découvrir la ville hors des sentiers battus?

Vous êtes au bon endroit!

Si la Ville éternelle est célèbre pour ses monuments emblématiques comme le Colisée, le Vatican et la fontaine de Trevi (j’en parle dans mon article « Les 25 meilleures choses à faire à Rome » ), il y a bien d’autres choses à explorer en dehors des sentiers touristiques habituels.

Dans ce guide, je vous emmène à la découverte des endroits secrets de Rome , des attractions moins connues qui rendront votre voyage encore plus mémorable.

Préparez-vous à explorer les coins secrets et les trésors cachés de Rome que la plupart des visiteurs ne voient jamais.

Voici comment visiter Rome hors des sentiers battus!

1. Palais Doria Pamphilj

2. galleria sciarra, 3. la crypte des capucins, 4. vicus caprarius (la ville d’eau), 5. centrale montemartini, 6. le trou de serrure de l’aventin, 7. quartiere coppedè, 8. le cimetière protestant, 9. san pietro in vincoli, 10. l’église de san luigi dei francesi, 11. la voie appienne (via appia antica), 12. villa doria pamphilj, 13. la bouche de la vérité (bocca della verità), 14. le quartier garbatella, 15. le refuge pour chats de torre argentina, 16. le quartier eur, 17. basilique de santo stefano rotondo al celio, où dormir à rome , 1. osteria bonelli, 2. trattoria da cesare al casaletto, 3. osteria der belli, 4. antico forno roscioli, 5. la tavernaccia da bruno.

Le Palazzo Doria Pamphilj est un opulent palais et une galerie d’art niché au cœur de Rome.

Cette somptueuse résidence, qui appartient toujours à la famille Doria Pamphilj, abrite une impressionnante collection d’art privée , avec des œuvres d’artistes renommés tels que le Caravage, Raphaël et le Titien .

En explorant les salles ornées de fresques, de stucs dorés et de meubles anciens , vous serez transporté dans le passé, au temps de la splendeur de l’aristocratie romaine.

En ajoutant le Palazzo Doria Pamphilj à votre itinéraire à Rome, vous aurez un aperçu fascinant de l’ histoire aristocratique de la ville , ainsi que l’occasion d’admirer de magnifiques oeuvres d’art.

Ne manquez pas l’occasion de découvrir l’élégance et la grandeur de ce trésor romain méconnu .

Le Palazzo Doria Pamphilj est situé sur la Via del Corso , à quelques pas de la Piazza Venezia .

La galerie est ouverte tous les jours et le billet d’entrée (payant) comprend un audioguide.

Ne manquez pas l’époustouflante galerie des miroirs , inspirée de la galerie des glaces du château de Versailles . Vous pouvez faire des photos, mais les flashs et les trépieds sont interdits afin de préserver les œuvres d’art.

Pour visiter le Palais Doria Pamphilj et la gallerie, vous devez réserver vos billets en cliquant sur le bouton ci-dessous:

La Galleria Sciarra est un joyau architectural caché au cœur de Rome, à deux pas de la célèbre fontaine de Trevi .

Cette magnifique galerie Art nouveau présente de superbes fresques, des ferronneries complexes et des vitraux colorés.

Bien qu’il s’agisse aujourd’hui d’un immeuble de bureaux privé, la cour est ouverte au public , offrant une retraite tranquille et enchanteresse loin de l’agitation des rues de la ville.

La Galleria Sciarra est située sur la Via Marco Minghetti , juste à côté de la Via del Corso.

Pour ne pas déranger les occupants du bâtiment, soyez respectueux et ne faites pas trop de bruit lors de votre visite. Prenez le temps d’ admirer les détails étonnants et de prendre quelques photos de ce trésor caché.

Pour une expérience unique et légèrement macabre, visitez la crypte des Capucins , située sous l’ église Santa Maria della Concezione dei Cappuccini .

Cette crypte souterraine contient les restes de plus de 4 000 frères capucins, artistiquement disposés selon des motifs et des dessins complexes.

La crypte est une attraction fascinante qui offre une perspective différente sur l’histoire de Rome.

La crypte des Capucins est ouverte tous les jours, sauf le dimanche , et son entrée est payante. Les photos ne sont pas autorisées à l’intérieur de la crypte.

En raison de la nature de l’attraction, elle peut ne pas convenir aux jeunes enfants ou aux personnes sensibles à ce type d’exposition.

Pour découvrir la crypte des Capucins et les autres catacombes de Rome , je vous conseille de réserver une visite guidée.

J’ai pris la visite ci-dessous et c’était tout simplement génial!

Le Vicus Caprarius , également connu sous le nom de « Cité des eaux », est un site archéologique impressionnant situé sous les rues animées de Rome.

C’est une visite hors des sentiers battus à ne pas manquer!

Découvert lors de la construction d’un complexe cinématographique, cet ancien quartier romain présente des ruines bien conservées , notamment un système de distribution d’eau, des bâtiments résidentiels et un tronçon de l’aqueduc Aqua Virgo.

Le site offre un aperçu fascinant de la vie quotidienne de la Rome antique et de ses infrastructures sophistiquées.

Le Vicus Caprarius est situé à quelques pas de la fontaine de Trévi , à l’angle de la Via del Lavatore et de la Via della Stamperia.

Le site est ouvert tous les jours.

Il est conseillé de réserver une visite guidée pour profiter au maximum de votre visite . C’est le meilleur moyen d’en savoir plus sur l’histoire et l’importance du site.

Il vous suffit de cliquer sur le bouton ci-dessous pour la réserver:

Vous cherchez des activités hors des sentiers battus à Rome? Vous devriez alors visiter la Centrale Montemartini .

Située dans une ancienne centrale électrique, la Centrale Montemartini est un musée unique qui allie l’architecture industrielle à l’art romain antique.

Avec plus de 400 sculptures, mosaïques et objets d’art , le contraste entre les chefs-d’œuvre classiques et le cadre industriel crée une expérience inoubliable.

Pour éviter les foules et profiter au maximum de votre visite, essayez d’y aller un matin de semaine. Le musée est fermé le lundi, prévoyez donc votre visite en conséquence.

Pour visiter la Centrale Montemartini, vous devez acheter un billet combiné « Musées du Capitole + Centrale Montemartini »:

Afin de vous aider à préparer votre voyage à Rome, j’ai préparé des itinéraires détaillés en fonction de la durée de votre voyage .

Ils sont 100% gratuits et vous pouvez les trouver ici: il suffit de cliquer sur les liens orange pour lire les guides!

• Visiter Rome en 2 jours
• Visiter Rome en 3 jours
• Visiter Rome en 4 jours
• Visiter Rome en 5 jours
• Visiter Rome en une semaine

Ils vous permettront de planifier votre voyage très facilement!

Et si vous avez des questions, n’hésitez pas à me les poser dans les commentaires, à la fin de l’article correspondant. Je me ferai un plaisir de vous aider à planifier votre séjour à Rome.

L’un des secrets les mieux gardés de Rome, le trou de serrure de l’Aventin offre une vue unique sur la basilique Saint-Pierre.

Situé dans la porte du siège des Chevaliers de Malte , ce petit trou de serrure encadre parfaitement le dôme de la basilique , créant une perspective étonnante.

C’est un endroit à visiter absolument pour tous ceux qui aiment découvrir les coins secrets d’une ville!

Le trou de serrure de l’Aventin se trouve sur la Piazza dei Cavalieri di Malta .

Préparez-vous à attendre un peu, car il y a souvent une file d’attente pour jeter un coup d’œil par le trou de serrure. Mais l’attente en vaut vraiment la peine!

Le Quartiere Coppedè est une merveille architecturale cachée au cœur de Rome.

Conçu par l’architecte Gino Coppedè, ce quartier fantaisiste présente un mélange de styles Art nouveau, baroque et médiéval .

L’atmosphère de conte de fées, avec ses détails complexes et ses sculptures étonnantes , en fait une visite incontournable pour les amateurs d’architecture.

Le Quartiere Coppedè est situé entre la Via Tagliamento et la Piazza Buenos Aires .

Pour vous y rendre, prenez la ligne B du métro jusqu’à la station Policlinico , et vous n’aurez plus qu’à marcher jusqu’à ce quartier très spécial. Vous allez adorer les beaux bâtiments et les détails architecturaux!

Bien qu’il puisse sembler inhabituel de visiter un cimetière en vacances, le cimetière protestant de Rome est une oasis de sérénité et un véritable joyau caché.

Ce lieu paisible est la dernière demeure de nombreux artistes , écrivains et poètes non catholiques célèbres , dont John Keats et Percy Bysshe Shelley.

Promenez-vous dans le parc paisible et admirez les magnifiques sculptures et monuments .

Le cimetière protestant est situé près de la pyramide de Cestius et est facilement accessible par la ligne B du métro (station Piramide) .

Le cimetière est ouvert tous les jours, mais les heures d’ouverture varient . Veillez donc à consulter le site Web officiel avant de planifier votre visite.

Si la basilique Saint-Pierre et la chapelle Sixtine sont des incontournables, ne manquez pas de visiter l’église San Pietro in Vincoli , moins connue mais tout aussi étonnante.

Cette église historique abrite la célèbre sculpture de Moïse réalisée par Michel-Ange , ainsi que les chaînes qui liaient autrefois saint Pierre.

L’architecture impressionnante de l’église et sa riche histoire en font une visite incontournable pour tout amateur d’art et d’histoire.

San Pietro in Vincoli est situé sur la colline de l’Esquilin , à quelques pas du Colisée.

L’église est ouverte tous les jours, avec une pause dans l’après-midi , donc planifiez votre visite en conséquence.

L’entrée est gratuite , mais les dons sont appréciés.

L’église San Luigi dei Francesi est un autre trésor caché de Rome à ne pas manquer.

Cette belle église est dédiée à la communauté française de Rome et présente une architecture baroque impressionnante .

Le véritable point fort de l’église est cependant constitué par les superbes peintures du Caravage qui se trouvent dans la chapelle Contarelli, notamment « L’appel de saint Matthieu », « L’inspiration de saint Matthieu » et « Le martyre de saint Matthieu »

Pour vous y rendre, vous pouvez marcher un peu depuis le Panthéon ou la Piazza Navona . L’église est située sur la Via Santa Giovanna d’Arco .

L’église est ouverte tous les jours, avec des horaires réduits le dimanche . Les photos sont autorisées, mais veillez à éteindre votre flash pour préserver les œuvres d’art.

Il se peut qu’il y ait un peu de monde et donc une petite file d’attente pour entrer dans la chapelle Contarelli , qui est une attraction populaire pour les amateurs d’art.

Pour profiter au maximum de votre visite à Rome et de ses nombreuses attractions, je vous conseille d’acheter la Rome Tourist Card .

La Rome Tourist Card inclus:

• Billet pour le Colisée avec audioguide + Forum romain + Colline du Palatin
• Billet pour la basilique Saint-Pierre avec audioguide
• Visite du Musée du Vatican et de la Chapelle Sixtine
• 10% de réduction sur les musées (Château Saint-Ange, Galerie Borghèse), les visites guidées (Visite guidée des catacombes, Rome en vélo) et les excursions dans les environs de Rome, dans le cas où vous prévoyez de poursuivre votre voyage à Rome et de visiter une autre grande ville italienne (Florence, Pise, Venise…).

Pour acheter votre Rome Tourist Card, il vous suffit de cliquer sur le bouton ci-dessous:

Remontez le temps et explorez l’ ancienne voie Appienne , l’une des plus anciennes et des plus importantes routes romaines.

Ce chemin pavé bien préservé , bordé de tombes, de ruines de villas et de monuments antiques , offre un aperçu du passé fascinant de Rome.

Louez un vélo ou promenez-vous tranquillement pour apprécier pleinement ce site historique et la magnifique campagne environnante.

Pour profiter un maximum de votre visite, je vous recommande d’opter pour une visite guidée en vélo électrique!

La meilleure inclus également un picnic Italien pour le déjeuner, avec des products locaux et du vin.

Pour réserver votre visite guidée de 4h en vélo électrique, cliquez sur le bouton ci-dessous:

Et si vous voulez profiter d’une experience plus longue (6h), qui inclue également une visite guidée des catacombes de Saint Calixte, vous devriez réserver la visite guidée suivante:

Le meilleur jour pour explorer la Voie Appienne est le dimanche , lorsque la route est fermée à la circulation. C’est là que c’est le plus agréable!

Pensez également à visiter les catacombes de Saint-Calixte ou de Saint-Sébastien, situées à proximité, pour plonger encore plus profondément dans l’histoire ancienne de Rome.

Échappez à l’agitation de la ville en visitant la Villa Doria Pamphilj , le plus grand parc public de Rome.

Ce vaste domaine comprend de magnifiques jardins, fontaines et sculptures , ainsi que l’étonnante Villa Doria Pamphilj , un palais du XVIIe siècle.

C’est l’endroit idéal pour une promenade relaxante, un pique-nique ou même un jogging matinal.

La Villa Doria Pamphilj est accessible par le tramway 8 depuis la Piazza Venezia ou en bus depuis plusieurs endroits de la ville.

Le parc est ouvert tous les jours du lever au coucher du soleil et l’entrée est gratuite.

Ne manquez pas la vue pittoresque de Rome depuis le Belvédère du Gianicolo , situé dans le parc.

La magnifique Fontana dell’Acqua Paola , une fontaine majestueuse située à quelques pas du parc, vaut également le détour.

Située dans le portique de l’église Santa Maria in Cosmedin, la Bouche de la Vérité est un ancien masque de marbre qui est devenu une attraction populaire et insolite.

Selon la légende, si vous mettez votre main dans la bouche et que vous dites un mensonge, le masque vous arrachera la main .

Même si vous pouvez être sûr que votre main restera intacte, c’est une expérience amusante et unique à essayer pendant votre séjour à Rome .

La Bouche de la Vérité peut attirer beaucoup de monde, essayez donc d’ y aller tôt le matin ou en fin d’après-midi pour éviter les autres touristes.

Il faut payer une petite somme pour prendre une photo avec le masque , mais c’est un souvenir amusant et mémorable de votre voyage à Rome.

Pour sortir des sentiers battus, explorez le charmant quartier de Garbatella .

Avec ses rues sinueuses, ses maisons colorées et ses jardins pittoresques , Garbatella offre un aperçu de l’authentique vie romaine.

Construit à l’origine comme un quartier ouvrier, Garbatella est aujourd’hui un quartier branché qui regorge de cafés, de bars et d’œuvres de street art , ce qui en fait une destination idéale pour une promenade dans l’après-midi ou une soirée.

Pour aller à Garbatella, c’est très simple: prenez la ligne B du métro et descendez à la station Garbatella.

Ne manquez pas de visiter l’historique Teatro Palladium , un théâtre magnifiquement restauré qui accueille divers événements et spectacles.

Et surtout, goutez à la délicieuse cuisine romaine dans les trattorias et pizzerias du coin!

Situé dans les ruines de Largo di Torre Argentina , ce sanctuaire pour chats unique en son genre abrite plus de 100 chats errants qui sont pris en charge par des bénévoles dévoués.

Le sanctuaire félin de Torre Argentina offre non seulement un refuge sûr aux amis félins de Rome, mais aussi la possibilité d’ explorer les ruines antiques où Jules César aurait été assassiné .

Pour y accéder, il suffit de marcher un peu depuis la Piazza Venezia ou le Panthéon .

Le sanctuaire des chats est ouvert tous les jours et son entrée est gratuite , mais les dons sont appréciés pour aider à soigner les chats.

Si vous aimez les chats, envisagez d’adopter ou de parrainer un chat du sanctuaire. Cela fera un souvenir unique de votre voyage à Rome!

Le quartier EUR est un exemple fascinant de l’ architecture et de l’urbanisme de l’époque fasciste.

Construit sous le règne de Mussolini , le quartier se caractérise par de larges rues, des bâtiments imposants et des espaces publics grandioses, tous conçus pour mettre en valeur le pouvoir et l’ambition du régime fasciste.

La zone est aujourd’hui un quartier d’affaires prospère et abrite plusieurs musées , dont le musée de la civilisation romaine et le musée national de la préhistoire et de l’ethnographie.

Pour vous rendre dans le quartier de l’EUR, vous devez emprunter la ligne B du métro (stations EUR Palasport ou EUR Fermi).

Ne manquez pas de visiter l’emblématique Palazzo della Civiltà Italiana , également connu sous le nom de « Colisée carré », qui est devenu un symbole du quartier.

Vous devriez explorer le quartier à pied ou à vélo pour apprécier pleinement les détails architecturaux et le contexte historique.

La basilique de Santo Stefano Rotondo al Celio est une église moins connue mais remarquable, située sur la colline de Caelius .

Cette ancienne église, datant du Ve siècle , est connue pour sa conception circulaire unique et ses fresques représentant le martyre de divers saints.

C’est une église vraiment spéciale que je vous recommande d’aller voir, sutout si vous vous interessez à l’héritage religieux de Rome.

La basilique se trouve à quelques pas du Colisée et est ouverte tous les jours, sauf le dimanche, avec une pause dans l’après-midi.

Ne manquez pas de visiter également la basilique Santi Giovanni e Paolo et le pittoresque parc de la Villa Celimontana , tous deux accessibles à pied.

Avec ces attractions moins connues , votre visite à Rome sera à coup sûr remplie d’expériences uniques et de souvenirs inoubliables.

Alors, faites vos valises et préparez-vous à découvrir les joyaux cachés de la Ville éternelle!

On ne va pas se mentir, à Rome, se loger à bon prix n’est pas vraiment chose aisée, nous avons donc sélectionné pour vous nos hôtels coup de cœur , chacun dans une catégorie de prix différente!

Un dernier conseil: si vous le pouvez, réservez dès maintenant! Il y a une très forte demande à Rome et les meilleurs hôtels partent très vite.

Alors, où dormir à Rome?

• Biancaluna: B&B situé vers la Gare Termini, à 1.5 km du Colisée. Chambre moderne, confortable et très propre à partir de 70€. Les plus: l’accueil et les conseils de visite, l’emplacement. Un excellent choix où loger pas cher à Rome!
• Hôtel Balilla: Situé à 1.6 km du Colisée et à proximité d’une station de métro. Chambre double bien équipée et au calme, à la propreté irréprochable, à partir de 99€, petit-déjeuner à 5€. Les plus: le personnel aimable, le confort des lits, la situation à 10 min à pied du Colisée. C’est notre coup de cœur pour son rapport prestations/prix à Rome!
• Chez Alice Vatican : Situé à 450 mètres de la place Saint-Pierre. Chambre contemporaine à la décoration soignée à partir de 100€ la nuit, petit-déjeuner compris. Les plus: emplacement idéal, terrasse avec vue sur le Vatican, accueil chaleureux.
• MZ Hotel: Situé vers le Campo di Fiori et non loin du Panthéon. Chambre double moderne et chaleureuse à partir de 150€, petit-déjeuner à 12€. Les plus: la situation proche du centre historique, l’accueil chaleureux, bonne literie, hôtel neuf.
• Roma Luxus Hôtel: Hôtel de luxe situé à seulement 400 mètres de la Piazza Venezia. Chambre double élégante, contemporaine et chic à partir de 300€ la nuit, petit-déjeuner à 20€. Les plus: le design des chambres, le service 5*, la qualité du petit-déjeuner, le spa, le personnel au top. C’est notre recommandation pour un séjour haut de gamme à Rome!
• NH Collection Roma Fori Imperiali: Cet hôtel 5* situé juste à côté du Forum Romain vous propose de sublimes chambres à la décoration soignée à partir de 580€, petit-déjeuner compris. Les plus:  la localisation exceptionnelle, le personnel aux petits soins, la vue, le confort. C’est notre recommandation pour un séjour de luxe à Rome!

Si vous souhaitez économiser un peu, vous pouvez vous loger aux alentours de Rome. Je vous recommande alors d’opter pour l’option camping tout confort avec une nuit en bungalow.

Le Camping Village Rome est situé à seulement 15 minutes en voiture du Vatican et propose des chalets et des bungalows à partir de 30€ la nuit ! Confortables, propres, climatisés et modernes, c’est la solution idéale pour les petits budgets!

5 restaurants hors des sentiers battus à Rome: Savourez l’authentique cuisine romaine

En explorant Rome hors des sentiers battus , pourquoi ne pas prendre le temps de découvrir quelques-uns des joyaux culinaires cachés de la ville?

Si vous êtes un amateur de cuisine à la recherche d’une authentique cuisine romaine et d’expériences gastronomiques locales, vous avez de la chance!

Voici 5 restaurants de Rome où vous pourrez déguster de délicieux plats italiens à l’écart des touristes.

Située dans le quartier de Torpignattara, l ‘Osteria Bonelli est une trattoria familiale connue pour ses plats romains traditionnels et son atmosphère chaleureuse.

Le menu change tous les jours et propose des plats romains classiques comme les pâtes à la carbonara, le cacio e pepe et la saltimbocca à la romaine.

Comment s’y rendre: L’Osteria Bonelli se trouve à quelques pas de la gare de Torpignattara, ce qui le rend facilement accessible par les transports publics.

Adresse : Viale dell’Acquedara Viale dell’Acquedotto Alessandrino, 172/174, 00177 Roma

Arrivez tôt ou, mieux encore, réservez!

L’Osteria Bonelli est très populaire parmi les habitants et affiche souvent complet.

Cachée dans le quartier résidentiel de Gianicolense, la Trattoria Da Cesare al Casale est un joyau hors des sentiers battus qui sert une cuisine romaine authentique.

La trattoria est célèbre pour ses pâtes faites maison, ses plats de viande mijotés et sa vaste carte des vins . Ne manquez pas son plat emblématique, les tonnarelli cacio e pepe, qui sont préparés sur place.

Comment s’y rendre: La Trattoria Da Cesare al Casale est accessible en prenant le tramway ou le bus depuis le centre-ville de Rome jusqu’au quartier de Gianicolense.

L’adresse de la Trattoria Da Cesare al Casale est la suivante Via del Casaletto, 45, 00151 Roma

Lors de votre visite à Da Cesare al Casale, gardez de la place pour le dessert! Le tiramisu et la panna cotta sont tous deux délicieux et vivement recommandés.

Située dans le charmant quartier de Trastevere, l’ Osteria der Belli offre une expérience culinaire décontractée, loin des foules de touristes.

Connue pour ses fruits de mer et ses plats romains traditionnels , cette osteria accueillante est très appréciée des habitants. Essayez les fettuccine aux fruits de mer frais ou les spaghetti aux palourdes pour goûter à l’authentique cuisine italienne.

Comment s’y rendre: L’Osteria der Belli est facilement accessible à pied ou par les transports en commun depuis le centre-ville de Rome. Vous pouvez par exemple prendre le tramway et vous arrêter à la station Belli.

L’adresse: Piazza di Sant’Apollonia, 11, 00153 Roma

Ne manquez pas les plats du jour, qui proposent souvent des ingrédients frais et de saison, ainsi que des plats de fruits de mer uniques.

Située près du Campo de’ Fiori, l’ Antico Forno Roscioli est une boulangerie historique qui sert certaines des meilleures pizzas al taglio (pizza à la part) de Rome.

Cette boulangerie familiale ravit les habitants de la région avec ses pizzas croustillantes et savoureuses et d’autres produits fraîchement sortis du four depuis 1972.

La boulangerie propose également une variété d’autres spécialités romaines, notamment des pains, des pâtisseries et des sandwichs.

Comment s’y rendre: L’Antico Forno Roscioli se trouve à quelques pas de la plupart des principales attractions de Rome et est facilement accessible à pied ou par les transports publics. Si vous prenez le tramway, arrêtez-vous à Arenula/Cairoli et marchez quelques minutes.

L’adresse de l’hôtel est la suivante Via dei Chiavari, 34, 00186 Roma

La pizza bianca (pizza blanche) et la pizza rossa (pizza rouge) sont des incontournables de l’Antico Forno Roscioli. Arrivez tôt dans la journée pour profiter de la fraîcheur des produits.

Niché dans le quartier de Trastevere, La Tavernaccia da Bruno est un restaurant familial qui sert une délicieuse cuisine romaine depuis 1968.

L’atmosphère chaleureuse et le menu traditionnel de ce restaurant en font un lieu de prédilection pour les habitants et les visiteurs. Ne manquez pas de goûter aux pizzas cuites au feu de bois, aux plats de pâtes maison et aux viandes rôties à feu doux .

Comment s’y rendre? La Tavernaccia da Bruno est située à proximité de la gare de Roma Trastevere, vous pouvez donc vous y arrêter avec le tramway. Le restaurant n’est ensuite qu’à quelques minutes de marche.

Adresse: Via Giovanni da Castel Bologna: Via Giovanni da Castel Bolognese, 63, 00153 Roma

Il est vivement recommandé de réserver , surtout le week-end, car La Tavernaccia da Bruno est un endroit très prisé des habitants et des touristes à la recherche d’une cuisine romaine authentique.

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Plages, cocotiers et quoi d’autre ? Ce que vous pouvez aussi faire en République dominicaine

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Les voyageurs associent souvent la République dominicaine à Punta Cana. Mais l'île a beaucoup plus à offrir que cette station balnéaire aux hôtels usines.

Aux confins de la mer des Caraïbes et de l'océan atlantique, il existe une île merveilleuse semblable à celles que l'on voit dans les films de corsaires, les pirates en moins. Cette île, beaucoup plus petite qu'Hispaniola, ainsi que les voyageurs nommaient autrefois la République dominicaine et Haïti, s'appelle Catalina . Pour s'y rendre par la route, il faut partir de la capitale Saint-Domingue vers l'est, fuir les embouteillages, dépasser la ville de San Pedro de Marcoris , belle impératrice de bord de mer aujourd'hui déchue, puis s'arrêter tout de même pour visiter la Romana , une ancienne capitale sucrière. Elle jouxte Casa de campo, une Gated Community (espace fermé) de 3000 hectares, lieu de villégiature pour la jet-set. « Tiens voilà la maison de Maduro », dit un guide du lieu.

Après avoir traversé le lieu de villégiature, un embarcadère se profile. Les familles dominicaines embarquent dans un catamaran. Les hommes dégustent une Presidente, la bière locale. D'autres lui préfèrent un rhum Brugal ou Barcelo, comme ce narcotrafiquant mexicain rieur qui laisse un pourboire de 50 dollars au barman du catamaran. Le bateau jette l'ancre, à quelques dizaines de mètres d'une île paradisiaque. L'immense plage de sable fin baignée d'eaux cristallines invite le voyageur tout autant que le lagon. «La République», comme disent les Québécois, dispose de plus de 600 kilomètres de plages et des dizaines d'îles comme Catalina. Mais pas seulement.

Saint-Domingue, autre incontournable

Dans ce pays vaste comme la moitié de la Nouvelle-Aquitaine, où la température fluctue entre 25 et 32 degrés toute l'année, la plage n'est qu'un élément géographique parmi d'autres. La Republica Dominicana compte plusieurs parcs nationaux, des cordillères qui n'ont rien à envier aux Pyrénées. Le Pico Duarte culmine à 3 175 mètres. Voici Saint-Domingue , où le Nouveau monde est né en des temps immémoriaux. Christophe Colomb l'a découverte le 6 février 1492. Cette époque se vit dans la Zona colonial, la zone historique de Santo Domingo , à travers l'Alcazar de Colon, un monument à l'architecture gothique et arabe, où le fils de Cristobal Colon aurait vécu. À quelques centaines de mètres de là, les colonisateurs espagnols avaient construit la forteresse d'Ozama pour bloquer les invasions des pirates. Les forbans ont aujourd'hui déserté les flots de la Caraïbe, mais, chaque jour, sur les remparts de la forteresse, des ferrys pressés mettent le cap en direction de Puerto Rico, si proche.

À propos de pirates, une visite à la Catedral Santa Maria la Menor Primada de America , première cathédrale des Amériques, construite en 1514, s'impose. Le pirate Francis Drake en fit son quartier général peu après. Santo Domingo vibre au son de la bachata sur son front de mer long de 15 km, le Malecon, mais aussi sur la rue piétonne d'El Conde. Outre les plages de la côte nord et le lieu historique de La Isabella, aux confins de la frontière avec Haïti, les voyageurs découvrent Puerto Plata , la troisième ville du pays, moins courue que les autres stations balnéaires. Les sportifs viennent y faire du kite surf ou du golf dans le complexe hôtelier et balnéaire de Playa dorada .

La République dominicaine a beaucoup à offrir : Las Terrenas cet ancien port de pêche où les Français ont élu domicile ; les amateurs de cigares font un crochet par Santiago, deuxième ville du pays, pour fumer des puros que les Dominicains vantent toujours par rapport au concurrent cubain ! Attention toutefois, au-delà de l'apparente douceur des Dominicains, la violence est réelle dans le pays. La pauvreté, les inégalités, la corruption endémique et 10% d'analphabétisme y contribuent. Si les touristes sont en sécurité dans la journée, mieux vaut éviter les sorties en soirée. Les gardiens armés d'escopettes à l'entrée des Colmados (épiceries) et les discothèques, où le portier demande de laisser son arme au vestiaire convaincront les plus téméraires.

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le 06/04/2024 à 00:07

On comprend qu'un tel paradis soit inquiet de l'immigration haïtienne.

le 05/04/2024 à 19:31

Tu peux visiter Haïti qui n’est pas si loin. Cela doit être une expérience très enrichissante…

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Que faire à Gran Canaria, sur et hors des sentiers battus : notre guide complet 9

Après avoir visité Tenerife , La Gomera , Fuerteventura et Lanzarote , nous voici à la découverte de Gran Canaria ! On commence à connaitre les îles Canaries comme chez nous ! 😜 Alors aujourd’hui sur le blog, après avoir passé 1 mois sur cette île, on vous explique que faire et que voir lors d’un voyage à Gran Canaria, notamment avec quelques endroits hors des sentiers battus.

Présentation de Gran Canaria

Gran Canaria, ou la Grande Canarie en français, est l’une des îles principales de l’ archipel des Canaries . Elle appartient à l’ Espagne et est située dans l’océan Atlantique , face au sud du Maroc.

Le sud de l’île possède le climat le plus chaud et le plus sec . C’est donc tout naturellement ici que l’on retrouve les grands hôtels, les resorts et un nombre important de touristes qui viennent se dorer la pilule toute l’année.

Toute la côte orientale est très peuplée, c’est là que se situe Las Palmas de Gran Canaria, la plus importante ville de toutes les Canaries et la 10e plus grande ville d’Espagne.

En lisant ça, vous vous dites peut-être que Gran Canaria est bien trop remplie de monde pour une petite île ! Et c’est précisément ce que je pensais avant de venir. Et oui c’est vrai, il y a du monde. MAIS (oui c’est un grand mais !) cela est loin de refléter l’île dans sa globalité.

Nous logions dans le nord-ouest et on peut vous assurer qu’il n’y a pas foule. Toute la côte ouest est montagneuse , ce qui fait qu’il y a peu d’habitations, que des petits villages. Et c’est pareil dans tout le centre, très montagneux également, qui offre des paysages merveilleux et des randonnées à ne pas savoir où donner de la tête.

Bref, à Gran Canaria, il y en a pour tous les goûts ! 😉

Découvrez que faire à Gran Canaria, avec nos incontournables selon les coins de l’île.

Que faire dans le nord-ouest de Grand Canaria

• Sur les traces des Guanches
• Agaete et Puerto de los nieves

Dégustation dans la Vallée d’Agaete

Visiter le sud de gran canaria, les dunes de maspalomas, puerto de mogan.

• Randonnée dans le Barranco Hondo

Que faire dans le nord-est de Gran Canaria

• Las Palmas de Gran Canaria

Visiter le centre de Gran Canaria

La caldera de galdar, randonnée depuis le pico de los nieves, que faire à gran canaria : hors des sentiers battus dans le nord-ouest de l’île, sur les traces des guanches, les premiers habitants des canaries.

L’un des avantages de Gran Canaria par rapport aux autres îles Canariennes, c’est que l’ histoire préhispanique est bien plus présente . On peut enfin en découvrir un peu plus sur les premiers habitants des Canaries : les Guanches . Il existe 3 sites, dans la même région, ce qui fait que vous pouvez les parcourir en une journée si vous le souhaitez. Nous vous conseillons d’en visiter au moins un, car l’histoire guanche est tellement méconnue, c’est intéressant d’en apprendre plus.

Voici les sites guanches en question, que nous avons visités :

Le musée parc archéologique Cueva Pintada

Situé en plein dans la ville de Galdar, ce musée expose des objets guanches et surtout, il entoure une zone archéologique d’un ancien village. On y découvre les ruines d’anciennes maisons, lieux de rituels et surtout la Cueva Pintada , des peintures dans une grotte. Ces peintures représentent des formes géométriques colorées et sont une énigme pour les chercheurs. Elles sont protégées de la lumière, derrière une vitre, et on ne peut y accéder que 2 fois par heure pendant quelques minutes (interdiction de prendre des photos). Il y a aussi des reconstitutions de maisons et des vidéos explicatives.

C’est un lieu passionnant, une visite guidée en français est proposée tous les jours à 15h . Nous l’avons raté de peu, mais cela se visite bien seul aussi, car les vidéos sont proposées en plusieurs langues, dont le français. Le personnel est également très sympa et fera au mieux pour vous.

Prix : 6 €. Comptez environ 1h de visite.

Visiter la Necropolis de Maipés

À la sortie de la ville d’Agaete, la Necropolis de Maipes est une visite très intéressante dans un magnifique environnement, au milieu des montagnes. Cette ancienne nécropole abrite 700 tombes guanches faites de pierres volcaniques. Cela donne une petite balade entrecoupée de panneaux explicatifs (en anglais et espagnol seulement).

Nous avons beaucoup aimé, pour le côté historique, mais aussi la quiétude du lieu. Nous vous conseillons d’aller ensuite dans la Vallée d’Agaete, qui est de toute beauté. (Voir plus bas)

Prix : 3 € seul ou 5 € combiné avec le Cenobio de Valeron (ci-dessous). Comptez environ 45 minutes ~1 heure de visite en prenant votre temps.

Visite du Cenobio de Valeron

Une visite très rapide (30 minutes). On se retrouve au milieu des montagnes , il faut monter quelques escaliers pour accéder à cet ancien garde-manger . C’est vraiment impressionnant de voir les efforts qu’ils devaient fournir pour mettre de la nourriture à l’abri. Parce que ça grimpe bien ! La vue est très sympa et il y a de nombreux panneaux explicatifs.

Nous vous conseillons de continuer la route pour vous retrouver « en face ». Nous l’avons prise juste pour explorer un peu les alentours et nous avons été surpris par la vue sur le cenobio au loin. Très étonnant !

Prix : 3 € ou 5 € combiné avec la Necropolis de Maipés . 30 minutes de visite (sans se presser !)

Petite pause à Agaete et Puerto de los nieves

Agaete est une petite ville avec un centre agréable et un joli jardin botanique (1,5 €, environ 30 minutes, ferme à 17 h). De très beaux arbres, des plantes originales, parfait pour une pause bucolique. Nous nous garons sur le parking juste à côté, qui est gratuit.

Nous allons ensuite à pied jusqu’à Puerto de las Nieves, le port de la ville, situé à environ 1 km.

Ce port est un lieu très charmant avec ses bâtiments bleu et blanc. La vue sur les falaises est splendide. En nous promenant sur la jetée, nous sommes impressionnés par la puissance des vagues qui viennent s’y briser ! De nombreux restos occupent le front de mer, sympa pour se relaxer.

C’est également depuis ce port que nous avons pris le ferry pour Tenerife avec la compagnie Fred Olsen (l’agence de location Cicar s’y trouve aussi, nous avons donc pu y laisser la voiture avant d’embarquer, pratique) .

Après la visite de la Nécropole de Maipés, nous continuons la route qui s’enfonce dans les montagnes, direction la Vallée d’Agaete. Les paysages sont fabuleux, on adore !

Nous nous arrêtons à la Bodega Los Berrazales. La visite coûte 10 € par personne, avec une dégustation à la fin (vin et café de l’exploitation et produits canariens). L’emplacement est hyper beau, avec une végétation luxuriante, ils font pousser de nombreux fruits (banane, mangue, raisin…), mais aussi des caféiers. En effet, c’est le seul endroit d’Europe où l’on fabrique du café ! (oui, je sais, on est plus du côté du continent africain, mais c’est espagnol donc ça reste européen ^^)

Nous y étions en fin d’après-midi donc ce n’était pas le moment, mais il y a un restaurant où il doit être très agréable de déjeuner, à l’ombre des arbres.

Si vous avez le temps, c’est une visite très sympa (en espagnol ou en anglais) et c’est parfait pour acheter quelques souvenirs. On a craqué sur du vin blanc, des savons à l’odeur envoutante, du café pour faire goûter (on n’est pas vraiment des consommateurs de café ^^) et de la confiture de café (une découverte étonnante !).

Parc Tamadaba

La partie ouest de Gran Canaria est restée très sauvage grâce à ses montagnes, réparties sur le parc naturel Tamadaba. En voiture sur les petites routes, à la découverte de petits villages et surtout de magnifiques points de vue.

Ne pas louper le mirador El Balcon, hyper impressionnant.

Juste après, nous faisons un arrêt à la Playa de la Aldea, une petite plage avec quelques restos. Nous prendrons notre déjeuner ici, à « El Charco » : tapas et plats des Canaries, dont le gofio escaldado. L’ambiance est tranquille et agréable, ça fait vraiment vacances.

Nous continuons ensuite la route jusqu’à Puerto Mogan. Sur le trajet nous en prenons encore plein les mirettes, et faisons un petit arrêt pour admirer les couleurs à Los Azulejos.

C’est une route qui prend du temps mais qui offre des vues spectaculaires, dans un coin qui semble à part du reste de l’île. Nous avons adoré prendre notre temps par ici !

Visiter le sud de la Grande Canarie : entre resorts et paysages désertiques

Le sud est clairement la partie touristique de l’île, difficile donc de sortir des sentiers battus. Bien que leur popularité puissent en rebuter certains, ces endroits méritent d’y jeter un œil. Malgré tout, nous avons quand même découvert une randonnée peu connue, hors des sentiers battus , qui vaut clairement le détour : la randonnée vers el Arco del Coronadero , une arche gigantesque.

Maspalomas est une station balnéaire, avec quantité de bars, restos et autres loisirs. Nous nous y sommes rendus simplement pour découvrir la curiosité du coin : les grandes dunes à côté de la plage (tout aussi grande). C’est très sympa de s’y promener, ça nous a rappelé les dunes de Fuerteventura . Par contre Maspalomas est vraiment une ville à touriste alors ici pas de parking gratuit, contrairement à la plupart des lieux de l’île que nous avons visités.

Nous avons mangé dans un quartier hors de la ville (moins touristique), au Grill Abraza, c’était délicieux !

Une autre ville très touristique, mais bien plus charmante : Puerto de Mogan. C’est le « saint-Trop » de Gran Canaria. En arrivant, on a eu un peu l’impression d’être à Disneyland, mais le port est quand même ultra-mignon. Malgré l’afflux de monde, nous avons bien aimé nous y promener et boire un cocktail face au port dans l’un des nombreux bars. Ici aussi, les parkings sont payants !

Randonnée dans le Barranco Hondo, vers Arco del Coronadero

Pas très loin de Maspalomas, un coin très sec qui ne fait pas rêver au premier abord : près d’une usine, des champs de sacs plastiques (oui oui, c’est le terme approprié). Mais pourtant c’est une rando hors des sentiers battus qui vaut bien le détour et l’effort ! Les paysages nous en ont mis plein les yeux.

Retrouvez plus de détails dans un futur article sur les randos aux Canaries.

Visiter le Nord Est de Gran Canaria, avec ses belles villes

Que faire à las palmas de gran canaria , quartier vegueta.

Las Palmas est une immense ville, mais nous avons adoré nous promener dans son quartier Vegueta. C’est vraiment un incontournable. Hyper mignon, avec des ruelles colorées, des rues pavées, et une ambiance très tranquille. On a un peu l’impression de retourner dans le temps.

Ne manquez pas la Catedral Santa Ana avec sa grande place. Ça nous a rappelé les plazas en Amérique du Sud.

Casa de Colon

Une visite pour les amoureux d’histoire et d’exploration dans le quartier Vegueta, c’est la casa de Colon. C’est une superbe bâtisse qui a accueilli Christophe Colomb en 1492 lors de l’un de ses voyages vers les Amériques (d’où son nom). Datant de la fin du 15e siècle, c’est l’une des plus belles maisons de la ville. Elle est très bien entretenue et possède un splendide patio typique.

À l’intérieur, c’est un musée sur les voyages de Colomb en Amérique, ses arrêts aux Canaries, cartographies de l’époque… Mais aussi une reproduction de l’intérieur de la Niña, l’une des frégates de Colomb : c’était vraiment tout petit ! On est impressionné par ces hommes qui traversaient l’océan sur ces petites embarcations. Quelle aventure !

Un lieu très intéressant, au prix de 4€. Juste à côté se trouve une jolie chapelle : la Ermita de San Antonio Abad, où Colomb allait prier.

Quartier Triana

À côté du quartier Vegueta, un autre joli quartier de Las Palmas : Triana. Plus moderne, avec sa grande rue piétonne (Calle Triana) remplie de magasins et au bout le parc San Telmo, où l’on peut se reposer sur un banc.

Si vous passez par la Calle Triana, ne manquez pas le glacier Dassie. On n’a malheureusement pas eu le temps d’y retourner donc je n’ai goûté que la glace au chocolat (pour laquelle ils ont eu un prix), mais croyez-moi, mes papilles s’en souviennent encore ! (2,5€ la boule)

Le centre-ville d’Arucas

Une jolie petite ville avec un centre ancien agréable. L’église San Juan Bautista est très impressionnante ! De style néo-gothique, elle contraste avec les couleurs des bâtiments autour. Un parking gratuit se trouve juste à côté. Un parc se trouve dans le centre, parfait pour flâner.

Le Jardin de la Marquisa

Nous rejoignons à pied le Jardin de la Marquisa (15 minutes de marche depuis le centre). L’entrée est de 6 €, mais quand nous y sommes allés (15 h) c’était 5 €. C’est un grand jardin, très reposant et magnifique. Il y a de nombreux arbres, palmiers, cactus… Des paons s’y promènent aussi. Un très bel endroit.

La Montaña de Arucas

Pour une vue sur la ville et les alentours, rendez-vous en haut de la Montaña de Arucas. Malheureusement le resto qui se trouvait en haut est totalement à l’abandon, c’est aujourd’hui une vraie ruine qui gâche le lieu.

Le Barranco de Las Vacas : un petit air de canyon américain

Il faut s’enfoncer un peu dans les terres, sur des petites routes pour arriver jusqu’au Barranco de Las Vacas. Cet endroit s’est fait connaitre à l’aide d’internet (on l’a trouvé sur un blog). C’est un lieu tout petit, un peu victime de son succès (grâce à Instagram). Il vaut donc mieux éviter d’y aller le week-end, et préférer de s’y rendre tôt le matin ou en fin de journée. Le parking est vraiment minuscule, c’est un peu galère.

Comptez 20 minutes de marche aller-retour (d’où son succès : c’est accessible très facilement). Utilisez l’application maps.me ou suivez les gens pour trouver le bon chemin, car rien n’est indiqué.

On se croirait un peu dans un Antelope Canyon miniature. Pour avoir visité celui de l’Ouest américain, clairement ce n’est pas la même taille ! Ici c’est tout petit. Mais ça n’empêche pas que c’est très joli et photogénique 🙂

Incontournable : le centre de Gran Canaria

Nous avons consacré une journée entière à la découverte du centre montagneux de Gran Canaria. C’est vraiment une région à ne pas manquer tant elle est belle ! Ici on roule sur de petites routes, on admire les vues et on se dégourdit les jambes sur les sentiers de randonnée.

Visiter le centre de Gran Canaria en une journée : suivez-nous !

En venant depuis le nord, nous passons dans des paysages verts et brumeux… On se croirait presque en pleine campagne écossaise  !

Nous nous arrêtons à la Caldera de Galdar, un cratère d’un ancien volcan. Il y a cependant trop de brouillard, on ne voit pas grand-chose, et certainement pas la vue sur l’île qu’on était censé avoir ! Il y a 2 points de vue sur la Caldera, accessibles en voiture. Des randonnées ont l’air également possibles autour.

On continue la route et on se retrouve assez haut pour passer de l’autre côté de la montagne : ici pas de brouillard, pas un seul nuage dans ce magnifique ciel bleu ! Le contraste est saisissant. Nous faisons quelques stops sur la route pour profiter des magnifiques vues.

Ensuite nous nous arrêtons rapidement au village de Tejeda, qui a l’air ultra charmant, au milieu des montagnes avec vue sur le Roque Nublo, l’un des symboles de Gran Canaria. Ça donne envie de profiter du soleil à l’une des nombreuses terrasses mais nous avons un autre programme pour la journée…

Nous nous rendons au Pico de los Nieves, le point le plus haut de Gran Canaria (1950 m). D’ici, la vue est magique, sur le Roque Nublo et au loin Tenerife ! Nous partons ensuite pour une randonnée de 10 km, qui nous a donné quelques sueurs froides à la fin avec une pente glissante et très très raide. Mais c’était une rando hyper agréable et belle, à travers les arbres, qui nous a menés jusqu’à la Ventana del Nublo, une arche naturelle avec une vue de malade ! Nous avons été époustouflés ! Et en plus il n’y avait personne.

Pour les plus intéressés, je reparlerai de cette randonnée dans un autre article.

De retour au Pico de los Nieves, nous admirons encore une fois le panorama. Le soleil commence à décliner. Nous décidons d’aller voir le coucher de soleil à un point que nous avons noté, conseillé par le blog Novo-Monde . C’est sur une aire de camping-car, « Zona de Acampada Corral de los Juncos » , très tranquille. Nous profitons d’un coucher de soleil splendide !

On conseille vraiment de voir au moins un coucher de soleil par ici, que ce soit au Pico de los Nieves ou à un autre mirador en hauteur. On en a pris plein les yeux ! Par contre, il faut prévoir des vêtements chauds, car autant le soleil réchauffe bien (on a pris des petits coups de soleil), mais le soir, à cette altitude, ça caille !

Le centre de l’île est vraiment un endroit magnifique avec de nombreuses randonnées possibles.

Visiter Gran Canaria : une belle surprise !

En conclusion, vous l’aurez compris, Gran Canaria est bien plus qu’une simple destination farniente . Elle offre une multitude de paysages, de superbes villes et de nombreux lieux culturels sur les Guanches, les premiers habitants des Canaries. Et bien sûr, toujours ce climat parfait qui fait qu’on peut profiter de l’île à tout moment de l’année !

9 commentaires

Bonjour, Votre article est très intéressant. J’aimerais savoir si l’île est bien desservie en bus. Nous aimons voyager avec notre sac à dos et prendre le bus afin de s’intégrer au mieux à la population. Quelle île nous conseillez vous pour ce type de voyage ? Merci d’avance.

On comprend tout à fait que vous aimiez ce mode de voyage, car c’est ainsi que nous avons traversé l’Amérique du sud pendant 1 an et on avait beaucoup aimé cette façon de voyager qui permet d’être au contact des locaux 🙂 En ce qui concerne Gran Canaria, nous n’avons que très rarement pris le bus, car nous y restons souvent plusieurs mois et y allons avec notre voiture.

Mais d’après ce qu’on peut trouver sur le site des Guaguas (c’est ainsi que l’on nomme les bus aux Canaries), l’île a l’air d’être plutôt bien desservie, et les lignes ont l’air de permettre d’accéder à la plupart des coins touristiques de l’île. Carte des lignes de bus : – En espagnol : https://guaguasglobal.com/lineas-horarios/informacion-turistica/gran-canaria/ – En anglais : https://guaguasglobal.com/en/routes-timetables/touristic-information/gran-canaria/

Si jamais certains coins ou randos ne sont pas accessibles, les locations de voiture sont vraiment très abordables, on vous recommande Cicar ou Autoreisen qui sont vraiment très bien. Pour les autres îles et les lignes de bus, nous ne pouvons vous en dire +, mais si vous cherchez « guaguas + nom de l’île » sur internet, vous trouvez sûrement des infos.

Bonjour merci pour votre blog qui va nous inspirer pour nos vacances. Nous Partons 15 jours Au 26 aout Nous aimons découvrir les villages et randonner. Nous préférons les petites criques aux plages bondées de touristes Quels points de chute nous conseillez-vous (séjourner environ 4 jours) et bouger en découpant l île en 4 soit le nord ouest, sud, nord est et centre ou faire moitié de séjour ds le nord ouest où est 3 jours dans le centre et le reste dans le sud pour éviter de perdre trop de temps sur la route Merci pour vos réponses Josefa

Bonjour, tout d’abord merci pour votre commentaire qui fait plaisir 🙂 Si vous préférez la tranquillité aux touristes, nous vous conseillons vraiment l’ouest/nord-ouest de l’île. C’est beaucoup plus tranquille, car la majorité des touristes et des hôtels se trouvent au sud. Au nord-ouest, vous avez des petites villes très mignonnes comme Agaete ou des petits villages comme Sardina. L’avantage c’est qu’on peut accéder rapidement aux voies rapides pour rallier une autre partie de l’île (les voies rapides font le tour de l’île par l’est, elle partent du nord-ouest jusqu’au sud en passant par la côte est). Pour une tranquillité maximale, l’ouest de l’île est le mieux, comme la playa de La Aldea de San Nicolás, mais par contre c’est plus difficile d’accès, car l’ouest de l’île est montagneux et donc les routes sont sinueuses. Le centre peut être rejoint depuis n’importe quel coin de l’île, et quoiqu’il arrive la route sera plutôt longue car c’est très montagneux.

Vous pouvez rester quelques jours au sud pour voir les incontournables que sont les dunes de Maspalomas et le village de Puerto Mogan, puis ensuite passer le reste de vos vacances au nord-ouest de l’île qui vous permettra d’accéder assez facilement à pleins d’endroits sympas (Agaete, Tamadaba, Maipes, Arucas, Las Palmas… ainsi que le centre de l’île). Cela me semble un bon compromis 🙂

Après les Açores, on cherchait un autre endroit similaire et nous sommes tombés sur Gran Canaria ! Quand je vois ton article je ressent le dépaysement total et la variété des paysages ce qui nous donne encore plus envie de découvrir.

Merci pour votre commentaire, on est ravi que ça vous donne envie d’y aller ! C’est varié, il y a plein de randonnées à faire 🙂 Les Açores, on aimerait bien découvrir aussi !

Bonjour je pars bientôt pour une semaine à gran Canarie Je voulais savoir dans quelle ville vous logez au nord ouest quoi privilégier et surtout s’il vaut mieux prendre plusieurs hôtels ou peut on aller du nord au sud et d’est en ouest dans la journée sans faire trop de km. Un grand merci pour le reportage qui va bien m’aider à organiser mes vacances

Bonjour Laurence ! Merci pour votre commentaire ! Dans le nord ouest, nous vous conseillons de loger à Agaete, une petite ville très mignonne, avec le Puerto de las Nieves juste à côté. Il y a aussi le village de Sardina ou la ville de Galdar. Il est possible de bouger dans la journée jusqu’au sud (environ 1h de route) mais si vous êtes en vacances 1 semaine, vous pouvez privilégier plusieurs logements (un au nord ouest et un au sud par exemple) pour faire moins de route. En voiture, vous passerez principalement par la route qui longe la côte est, car l’ouest est très montagneux, ce sont de petites routes avec de nombreux virages (à faire quand même une fois pour les paysages, mais pas le meilleur moyen de se déplacer !). Gran Canaria est une île magnifique avec plein de superbes lieux à voir, nous vous souhaitons un bon séjour !

Je rajoute également qu’il est très compliqué de traverser « directement » l’île d’Est en Ouest (ou vice versa), car le centre de l’île est très montagneux et les routes très tortueuses. On est donc « obligé » de contourner le centre en logeant la côte pour rallier le côté opposé. C’est plus long en distance mais bien plus rapide en temps de trajet.

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– Une mystérieuse grotte à ne pas rater à Cao Bang: Nguom Ngao

#Mu Cang Chai : Découverte de la route des photographes

Au cœur du massif de Hoang Lien Son-une chaine de montagne d’environ de 350 km au nord du pays, où se trouve pricipalements des ethnies Thaïs et Hmongs, Mu Cang Chai possède les plus beaux paysages de rizières en terrasse qui sont classées patrimone national. On peut vous assurer que c’est la beauté des rizières en terrasse qui font arriver les tourists, même des vienamiens, et que c’est un beau cadeau du Dieu pour les hommes. Il n’a y pas suffisamment des paroles et des mots à descriver cette beauté. On y trouve également des villages suspendus aux flancs vertigineux des montagnes, des maissons sur piloti en bois couvertes par des feuilles de palmier les hommes et les animaux d’élevages vivant sous le même toit, les marchés authentiques et colorés. Cette région est encore moins touristiques c’est pourquoi les habitants sont toujours étonnés par la présence d’occidentaux… tous les ingrédients sont réunis ici pour en faire une expérience véritablement hors de sentiers battus On vous conseille de ne pas vous loger dans des hôtels sans charme ni âme, mais directement chez des familles… Le soir tombant, assis sur le plancher d’une maison sur pilotis, les voyageurs dînent avec la famille et écoutent ses membres parler de leur quotidien, de l’histoire de leur village, des mœurs et coutumes ancestrales de leur ethnie. Ainsi le voyage ne se résume plus en des « visites » ; il devient une occasion de rencontres et d’immersion dans la vie locale.

– Veuillez lire plus sur cette magnifique région: Rizières en terraces, splendeur du grand tableau naturel du Haut Tonkin

#Ba Be : Immersion naturelle sauvage à la baie d’halong dans la montagne

Les communautés de minorités ethniques vivent dans de petits hameaux dans tout le territoire et maintiennent actuellement encore un mode de vie simple, vivant de la terre et pêchant dans les lacs et les rivières. C’est l’endroit idéal pour tous les aventuriers. Ici, vous pouvez parcourir la jungle épaisse, explorer les grottes mystiques, faire du kayak dans les rivières et nager dans les lacs. Le parc national lui-même n’a été créé qu’en 1992, ce qui fait que vous découvrez des zones fraichement explorées. De nombreuses grottes ont été récemment découvertes et fournissent de nouvelles informations sur la géographie et la biodiversité de la région. Le parc national du lac de Ba Be est un endroit magnifique, idéal pour les amoureux de la nature mais aussi pour les fans de randonnée et trekking. Plus que le lac, ce sont les paysages, les montagnes, la jungle impénétrable et ses hameaux habités qui donnent à « Ba Be » une atmosphère si particulière. Ce n’est pas par hasard que l’on appelle ce site « l’inspiration de poètes » ou « paradis des photographes » et ou « la baie d’halong dans la montagne ».

#Delta du Mékong : Immersion total à la vie du pays flottant sur les fleuves.

Hors des régions incontournables du delta du Mékong,notre agence vous propose également des régions encore sauvages, immenses et des marches flottants authentiques hors des sentiers battus selon les saisons. Il est alors intéressant de découvrir que toutes les activités dans cette zone, dépendent en fait du fleuve, de ses crues. Il est agréable d’y séjourner chez l’habitant . Parfait pour découvrir le mode de vie des Vietnamiens de cette province, participer aux activités du quotidien des locaux dans des villages typiques, originals à découvrir dans cette zone. Pour dessiner la suite de votre beau périple, pas comme les autres, contactez-nous, les points d’intérêts sont infinis, ici !

#Ile de Con Dao: Paradis de séjour balnénaire, de détente et de bien-être

* CONSEILS:

Veuillez lire plus:   Top 10 conseils pour un voyage hors des sentiers battus au Vietnam

* DECOUVREZ NOS CIRCUITS HORS DES SENTIERS BATTUS PROPOSES AUX MEILLEURS PRIX A CONSULTER:

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15 idées week-end insolites hors des sentiers battus

Posted: 5 avril 2024 | Last updated: 5 avril 2024

À l'approche des vacances de Pâques et des ponts de mai, si on se réservait un week-end insolite en France en last minute ?

Envie de passer un week-end insolite dans un endroit qui change de vos habitudes ? Pourquoi ne pas tenter une nuit où vous pourrez côtoyer les nuages, ou bien dormir au son des hurlements des loups ? En famille, entre amis ou avec votre moitié, voici 15 destinations hors des sentiers battus pour un week-end insolite.    

Pour un safari sans passeport : Planète Sauvage, Port Saint Père

On y va ? En famille pour jouer au « Roi Lion ».

Le concept ? L’Afrique comme si vous y étiez en passant une nuit à la belle étoile au cœur de la réserve naturelle de ce parc de Loire-Atlantique. Mais avant de fermer les yeux, les soigneurs vous offriront une visite inédite du parc. Un guide vous accompagnera le long de vos soirées pour saluer gazelles et antilopes. Contes et chants africains viendront ensuite rythmer vos nuits.

Plus d'infos sur Planète Sauvage

Pour vivre dans le village le plus haut d’Europe : Hôtel et Spa Alta Peyra, Saint Véran

On y va ? En amoureux pour côtoyer les nuages.

Le concept ? Situer dans le village le plus haut d’Europe, l'Hôtel  4 étoile d'Alta Peyra offre une vue panoramique et splendide sur la montagne. Profiter de la terrasse et de la piscine ouverte chauffée, situées à 2 060 m d’altitude en plein cœur du Parc naturel régional du Queyras. Spa Nuxe, restaurants gastronomiques, établissement au pied des pistes : tout y est pour un week-end ressourçant dans un village de montagne plein de charmes.

Plus d'infos sur  l'hôtel Alta Peyra

Pour un week-end enchanté : Hôtel Abbaye-École de Sorèze, Tarn

On y va ? En amoureux pour se rêver en comte et comtesse.

Le concept ? Située entre Toulouse et Albi, l’Abbaye-École de Sorèze est un monument historique. Les chambres ont été aménagées dans d'anciennes cellules et dortoirs de religieux. Dans les anciennes écuries, un espace bien-être vous accueille pour un moment de ressourcement dans un lieu chargé d’histoire. Le parc de six hectares offre lui aussi une parenthèse de détente, sans oublier le restaurant de l’hôtel et cuisine gastronomique aux saveurs du Sud-Ouest.

Plus d'infos sur l'Abbaye de Soréze

Pour s’envoyer en l’air : l’avion Grumman, en Loire-Atlantique

On y va ? En couple pour réaliser un fantasme.

Le concept ? Passez une nuit dans un avion authentique sans le mal de l’air, c'est possible, à Saint Michel Chef Chef (Loire-Atlantique). L’intérieur de l’appareil, construit en 1962 a été aménagé avec tout le confort moderne, et a surtout gardé sa décoration authentique : sièges, panneaux de sortie et cockpit.

> Plus d'infos sur l'avion Grumman  

Pour vivre comme au Moyen-Age au château de Tennessus, Amailloux

On y va ? En famille ou en couple pour imiter Robin des Bois et Marianne.

Le concept ? Ménestrel, château fort et pont-levis vous passionnent ? Au château de Tennessus, vous êtes les rois et les reines d’un autre temps pendant un week-end. Louez votre costume traditionnel et laissez-vous envahir par le lieu à la décoration d’époque. Bonus : vous pouvez réserver une visite guidée du château avec le propriétaire ou un atelier médiéval pour les enfants. Et pendant votre escapade, vous pouvez même apprendre à manier les arcs !

Plus d'infos sur le Château Médieval

Pour devenir un gardien de phare : le Phare Kerbel, Bretagne

On y va ? En amoureux, entre amis ou en famille pour ressouder les liens.

Le concept ? Et si vous dormiez à vingt-cinq mètres de hauteur avec une vue panoramique sur la mer dans un phare breton authentique ? Le temps d’une soirée, profitez du dépaysement et offrez-vous ensuite une visite à Port-Louis.

Plus d'infos sur le Phare de Kerbel

Pour dormir dans une église : Sozo Hôtel, Nantes

On y va ? En amoureux pour retrouver foi en l'amour.

Le concept ? Une église du XIXe siècle reconvertie en hôtel de luxe en plein cœur de Nantes. Voûtes et vitraux de l’époque se marient au mobilier signé Philippe Starck. Côté sacristie, chapelle, vue sur le Jardin des Plantes... Chaque chambre est un appel au calme tandis que le bar de l’hôtel se situe dans l’ancien chœur.

Plus d'infos sur l'hôtel Sozo

Pour une nuit au sommet : le Pic du Midi, Chamonix

On y va ? Entre amis pour fêter un évènement.

Le concept ? De la montée en téléphérique, à l’apéritif avec le soleil qui se couche sur les Pyrénées, au dîner gastronomique : tout vous prépare à une soirée que vous n’êtes pas prêts d’oublier. Découvrez aussi l’Observatoire avec une animation en présence d’un astronome, où vous pourrez observer les étoiles avec le télescope 400 mm Schmidt-Cassegrain.

Le prix ? À partir de 519€ la chambre double.

Plus d’infos sur le Pic du Midi

Pour se la jouer Robinson Crusoé : l’île de la Jument, Morbihan

On y va ? En famille ou entre amis pour rejouer « Seul au monde »

Le concept ? Une île rien qu’à vous ! Vous logerez dans une maison de famille de 1925 tout confort, même s’il faut économiser l’eau et l’électricité comme de vrais aventuriers. Plages, bois, clairières, vous avez du terrain pour laisser libre court à votre côté d'explorateurs...

Réservation au 06 26 91 94 09 Location d'avril à octobre, excepté la période du 15 juillet au 15 août. Capacité 15 personnes

Pour vivre dans un arbre : une cabane à Pignata, Corse

On y va ? En amoureux comme lorsqu'on était enfants !

Le concept ? On s'endort au milieu des branches et des oiseaux après avoir dégusté des spécialités corses. Un moment à quatre mètres de haut dans une propriété de la Corse du Sud, avec piscine. La terrasse vous offre une vue sur le domaine et vous invite à siroter des verres au son des piaillements des oiseaux.

Plus d’infos sur Pignata  

Pour hurler avec les loups : le Parc Animalier des Pyrénées, Ayzac-Ost

On y va ? En famille, entre amis ou en amoureux pour une « Danse avec les loups ».

Le concept ? Dormez tout près de l’enclos des loups dans une véritable cabane de trappeur ! Lors de votre arrivée, profitez de la visite du parc avant d’entrer dans votre cabane avec une terrasse panoramique sur l’enclos de ces belles bêtes.

Plus d’infos sur le Parc Animalier des Pyrénées

Pour jouer au marin d’eau douce : la péniche « L’Atlas », Picardie

On y va ? En couple pour vivre d’amour et d’eau fraîche...

Le concept ? Amarrée sur le canal latéral à l'Oise, au niveau de Thourotte, cette jolie péniche est parfaite pour les sportifs (canoë, vélo, randonnée etc.) et ceux qui sont à la recherche de tranquillité. Le bateau ne navigue pas mais les propriétaires mettent à votre disposition une barque sans coût supplémentaire.

Plus d’infos par mail à Sylvie, l’une des propriétaires : [email protected]  

Pour faire comme les hommes des cavernes : Troglododo, Indre-et-Loire

On y va ? En famille, en couple ou entre amis pour revivre comme à la préhistoire... avec le confort moderne !

Le concept ? Une chambre creusé dans une grotte, à l’ambiance cosy. Vous pouvez par exemple dormir dans l’ancien pressoir de cette ferme du XVIe siècle aux pierres apparentes. Dépaysement garanti avec cette chambre d’hôtes insolite.

Plus d’infos sur Troglododo

Pour dormir comme un meunier : le Moulin de la Ganguise, Molleville

On y va ? En famille ou en amoureux pour retrouver ses comptines de l'enfance...

Le concept ? Un moulin authentique en vieilles pierres et bois pour un séjour calme dans cette maison d’hôtes de l’Aude. Une chambre épouse les courbes du moulin, décorée par les briques rose de Toulouse, tandis que la seconde se trouve en sommet du moulin.

Plus d’infos sur Le moulin de la Ganguise

Pour jouer aux cowboys et aux indiens : Les Étangs du Moulin, Picardie

On y va ? En famille pour se glisser dans la peau de Lucky Luke, Calamity Jane etc.

Le concept ? On passe un week-end dans un chariot à l’esprit très « western ». Dans ce cocon de cow-boys, au cœur d’une belle nature verdoyante, évadez-vous en partant à la conquête de l’Ouest. Et on n’oublie pas ses santiags et son stetson !

Plus d’infos sur les Étangs du Moulin

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Les 20 sentiers de randonnée préférés des Corses

Courte balade en famille, sentier patrimonial ou ascension plus sportive, chacun trouvera ici en Corse chemin à son pied. Notre journaliste a recueilli les bons conseils des insulaires.

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1/ Une expédition jusqu’au lac de Nino, avec un âne

Randonner avec des jeunes enfants dans les montagnes corses ? C’est possible, grâce aux ânes . Ils supportent 40 kg, bagages et marmots compris ! Fantastique expérience à tester avec le très attachant Pasquin Santini, à Albertacce, qui vous fera partager sa passion. Parmi les randonnées à la journée, il y a celle qui mène au lac de Nino, un écrin de verdure bordé par des pozzine (tourbières parsemées de trous d’eau) où paissent de nombreuses bêtes. Départ à 7h30 après un briefing détaillé. La marche débute au niveau de la fontaine Caroline pour rejoindre le col de San Pedru, puis suit le balisage rouge et blanc du GR20 . Retour guidé par les ânes vers 17h30. 75 € par âne. randonnee-ane-corse.com

Durée : 10 heures (une journée) l Longueur : 17 km l Difficulté : moyenne

2/ Brando, entre terre et mer

Coup de cœur pour cette balade familiale proposée par un opérateur local. Le matin, à 10 heures, on chemine avec un guide sur les sentiers de Brando. L’après-midi, on profite d’une exploration en kayak depuis la marina d’Erbalunga. De quoi voir les tours génoises d’un autre angle et aborder des criques inaccessibles à pied. 35 €/pers. corsica-loisirs-aventure.fr

Durée : 2 h de marche + 3 h de kayak l Longueur : 3 k l Difficulté : facile

3/ Le Nebbio, en route pour l’âge du Fer

Départ du chevet de la splendide église San-Michele de Murato. Une barrière en bois s’ouvre sur un sentier «démaquisé» par le guide François Tomasi et son équipe. Direction, un site mystérieux : le plus grand funérarium de l’âge du fer en Corse . La boucle se poursuit en surplombant le fiume (fleuve) Bevincu. Magique !

Durée : 2 heures l Longueur : 6 km l Difficulté : facile

4/ Sur les cimes de la Costa Verde

Départ à l’église de Felce pour cette boucle grandiose dédiée aux randonneurs confirmés. On part d’abord à l’assaut du Monte di e Trè Pieve (1 247 m). De là-haut, la vue embrasse toute la région, d’Orezza à Alisgiani et Moriani. Après le sommet Punta di I Compuli (1 259 m) qui, lui, offre une vue sur le Monte d’Oru, retour vers Felce via les hameaux de Milaria et Volgheraccio.

Durée : 5 heures l Longueur : 11 km l Difficulté : difficile

5/ Le sentier douanier du cap Corse

Sur la pointe du cap Corse, voici une des plus belles randonnées du nord de l’île, à travers un site protégé, au bout du monde. Bien qu’en bord de mer, les dénivelés sont importants. Un conseil : faire l’expédition en plusieurs fois, pour se donner le temps d’observer la faune (tortues cistudes, cormorans, goélands…) et le patrimoine (anciennes mines, tours génoises, chapelles…). On peut par exemple la diviser en deux tronçons : le premier jour, de Macinaggio à Barcaggio (3h30), avec la découverte du site naturel de la Capandula, soit 400 ha de maquis et de plages secrètes protégées par le Conservatoire du littoral. Le lendemain, poursuivre jusqu’à Centuri (5 heures).

Durée : 2 jours l Longueur : 25 km l Difficulté : difficile

6/ La magie de la forêt d’Aïtone

On s’élance du cœur d’Évisa, village perché sur un promontoire à 25 km de Porto. En face du Bar de la Poste, il faut repérer le balisage du sentier Mare a Mare. On aboutit à la Grotte des bandits et plus loin à un belvédère offrant un panorama sur la forêt d’Aïtone connue pour être l’une des plus belles de l’île. Retour par les piscines naturelles d’Aïtone pour se rafraîchir.

Durée : 3 heures l Longueur : 7 km l Difficulté : facile

7/ Une boucle dans le sud de la Balagne

Le sentier du Giussani permet de découvrir cette microrégion ignorée des foules, autour des villages de Pioggiola, Mausoleo, Olmi-Cappella et Vallica. Départ près de la chapelle de Pioggiola. Prendre le sentier qui part à gauche du cimetière (balisage orange). Une montée en pente douce sous les chênes verts, puis dans le maquis.

Durée : 4h30 l Longueur : 10 km l Difficulté : moyenne

8/ Pause fraîcheur le long du Fango

Près de Galeria, la vallée du Fango s’ouvre sur une microrégion, le Filosorma, réputée pour ses chênes verts et classée réserve de biosphère . Après le Ponte Vecchiu (un pont génois sur la D351), l’itinéraire longe le Fango. Pour une baignade tranquille, ne pas s’arrêter à la première piscine naturelle : plus on s’éloigne du pont, moins il y a de monde.

Durée : 3 heures l Longueur : 9 km l Difficulté : facile

9/ À l’ombre de la forêt de Tartagine

On chemine ici au royaume du pin laricio. Depuis le village d’Olmi-Cappella, prendre la D963 vers la Maison forestière de Tartagine. De là, plusieurs itinéraires possibles. Notre préféré : le sentier de découverte «In Giru à a Mazzola», bien indiqué, mène à la cabane de berger du XIXe siècle de Mazzola. On redescend en longeant la rivière.

Durée : 2 heures l Longueur : 4,3 km l Difficulté : facile

10/ Vers le village abandonné d’Occi

Départ à la sortie nord de Lumio, en face du restaurant Chez Charles. On suit le fléchage métallique pour une ascension d’une trentaine de minutes jusqu’à Occi, pépite oubliée au fin fond de la Balagne. Là, on avance entre les vestiges des maisons abandonnées. Seule l’église a été restaurée, notamment pour accueillir une grande procession à la Pentecôte . La vue sur la baie de Calvi est magique. Puis on continue en suivant le balisage rouge vers le sommet du Capu d’Occi via une ancienne esplanade servant au battage des céréales, avec un beau point de vue sur le village d’Occi et la côte rocheuse de la Punta Spano. Descente par l’autre flanc de la montagne jusqu’à rejoindre le fléchage de retour au village d’Occi.

Durée : 3 heures l Longueur : 4,6 km l Difficulté : facile

11/ Sur le promontoire de Capo Rosso

Depuis la plage d’Arone, au sud du golfe de Porto, on s’engage sur le sentier qui longe la falaise. Arrivé au pied d’une sommité pyramidale, on suit les cairns (empilements de pierres) pour atteindre la tour de Turghiu. Retour par un sentier passant par une belle bergerie restaurée. Il n’y a presque pas d’ombre : penser à emporter beaucoup d’eau !

Durée : 2 h 30 l Longueur : 6 km l Difficulté : facile

12/ Arches de la vallée de Pinara

Attention : quelques passages nécessitent ici de l’escalade car on attaque de gros dénivelés. Mais quel décor ! Ce parcours permet la découverte de deux arches naturelles. Départ du pont génois d’Asco. Un ancien chemin de transhumance monte en surplombant la rivière Pinara. Après 1h30 de grimpette, on redescend pour traverser le cours d’eau et approcher les arches.

Durée : 5 heures l Longueur : 11 km l Difficulté : difficile

13/ Dans les gorges de Manganellu

Au départ de Vizzavona, marcher jusqu’aux hameaux de Tattone et Canaglia. Là, un sentier forestier domine le torrent de Manganellu et rejoint une portion du GR20. En chemin, des vasques naturelles invitent à la baignade. Un conseil : pousser jusqu’à la bergerie de Tolla, pour une bonne assiette de fromage et charcuterie.

Durée : 4 heures l Longueur : 10 km l Difficulté : facile

14/ Au cœur du cirque de Bonifatu

Bon plan pour ceux qui se lancent sur le GR20 : cette variante offre un accès direct au refuge de Carruzzo, la deuxième étape. Mais on peut aussi faire une boucle à la journée. Sous les aiguilles de granite rose, on découvre la forêt des «bienfaits», avec ses pins laricio suspendus aux à-pics. Départ du parking de l’Auberge de la Forêt, près de Calenzana, où l’on casse la croûte au retour.

15/ À l’assaut du monte San Petrone

C’est le point le plus haut de Castagniccia : au sommet du San Petrone (1 767 m), on jouit d’un panorama à 360°, du cap Corse à la côte orientale et même à la côte italienne ! On monte depuis Campodonico, Saliceto ou Gavignano, ou encore par le col de Pratu. Dans tous les cas, dénivelés costauds (autour de 1 000 mètres).

Durée : 4 heures l Longueur : 6 km l Difficulté : moyenne

16/ À Bonifacio, un sentier qui embaume le romarin

En haute saison, ce grand classique s’apprécie mieux tôt le matin, avant la foule et la chaleur. À l’extrême sud de l’île, le sentier Campu Rumanilu mène au phare de Pertusato et à la plage de Saint-Antoine. Partir de la petite chapelle Saint-Roch entre la ville haute et le port, puis gravir le chemin pavé pour se hisser sur les célèbres falaises de Bonifacio . Par temps dégagé, la Sardaigne ne semble qu’à quelques brasses ! Au fil du parcours, on découvre la flore du plateau bonifacien, qui s’épanouit sous les embruns. Le Campu Rumanilu signifie «champ du romarin». Vos narines confirmeront que ce nom est bien choisi.

Durée : 3 heures l Longueur : 10 km l Difficulté : facile

17/ À Patrimonio, sur la via San Martinu

Il s’agit de la première étape de la Via San Martinu Corsica, un nouvel itinéraire de grande randonnée dédié à saint Martin, inauguré cette année. Le départ se fait sur le parvis de l’église Saint-Martin, à Patrimonio, d’où l’on admire un paysage mêlant vignobles, montagnes et au loin le golfe de Saint-Florent. Puis on suit le fléchage jusqu’au pont enjambant le Fium’Albinu. Le vieux chemin pavé sinue jusqu’à Ficaja, sur les hauteurs. En route, on découvre moulins, ruchers, murets en pierres sèches, oliviers centenaires… Les plus valeureux peuvent continuer jusqu’à Ville-di-Pietrabugno, sur les hauteurs de Bastia . D’ici quelques années, cette voie martinienne rejoindra Bonifacio  !

18/ Remonter le temps à Cauria

Il s’agit d’une flânerie vers des temps immémoriaux plus que d’une randonnée sportive. Mais quel enchantement ! Cauria, près de Sartène en Corse-du-Sud, fait partie de ces lieux (avec les sites de Filitosa et de Cucuruzzu) où vibre l’histoire primitive de la Corse. Le sentier passe par les alignements de Stantari, avec ses statues-menhirs aux allures de guerriers… Inoubliable.

Durée : 1 h 30 l Longueur : 3 km l Difficulté : facile

19/ Autour du phare de Senetosa

Coup de cœur pour ce site qui n’est accessible qu’à pied, et pour son refuge de bout du monde. On part de la tour génoise de Campomoro pour une randonnée de 5 heures entre mer et maquis. Après une nuit d’exception au phare de Senetosa, transformé en refuge, direction Tizzano (3 heures de marche), avec un passage par la plage de Tivella. campumoru-senetosa.corsica

Durée : 2 jours l Longueur : 23,3 km l Difficulté : moyenne

20/ À Corte, la capitale de l’intérieur

Corte a une forte personnalité et son patrimoine est à son image. Un dépliant diffusé par l’Office­ de tourisme décrit une promenade à travers les ruelles en galets du vieux centre, avec arrêt au Palazzu Naziunale, siège de la Corse indépendante sous Pasquale Paoli, au XVIIIe siècle. Puis direction la citadelle, balcon sur la montagne.

Durée : 3 jours l Longueur : 4,6 km l Difficulté : facile

➤ Article paru dans le magazine GEO n°533 La Corse à pied , de novembre 2023.

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Profiter des offres et tarifs avantageux, ça vous tente ? Alors les séjours hors-saison sont faits pour vous ! Envie de voyager comme un roi sans vous ruiner ? Optez pour des vacances hors des périodes les plus chères et les plus bondées !

Pour être franc, c'est tout simplement la période où les destinations touristiques sont au creux de la vague en terme de fréquentation. On parle généralement des mois en dehors des vacances scolaires estivales et hivernales, quand la cohue des touristes s'amenuise.

Les avantages sont multiples : les hôtels, vols et locations s'affichent avec des tarifs défiant toute concurrence, les rues sont plus calmes et on peut vraiment profiter des merveilles à voir sans les flots de visiteurs. Sans compter que le temps est souvent au beau fixe dans de nombreuses régions à ces périodes "intermédiaires".

Bref, un moment idéal pour s'échapper en amoureux, en famille ou entre potes à petit prix et dans une ambiance plus authentique et détendue !

Partir quand les autres restent, ça a un petit côté aventurier non ? Laissez-moi vous convaincre avec ces quelques arguments de choc :

D'abord les prix ! On parle jusqu'à 70%, voire 80% d'économies, notamment avec Voyage Privé, par rapport aux pleines saisons sur les transports, l'hébergement et même les activités. Un jackpot pour s'offrir des vacances de de rêve pour une fois.

Ensuite, pas de cohue sur les sites touristiques ! Imaginez-vous plutôt contempler la Cité Interdite à Pékin ou déambuler sur la Grand Place de Bruxelles en toute quiétude. Un vrai régal !

Autre point, on change complètement d'ambiance par rapport aux hautes saisons. Vie locale plus authentique, événements culturels traditionnels, petits marchés... Tout pour s'imprégner d'un nouveau rythme de vie.

Enfin, loin de la canicule ou du froid mordant parfois, les conditions climatiques sont souvent des plus agréables pour bien se balader et profiter !

Avouons-le, les intersaisons ont un petit goût d'inachevé. Mais n'est-ce pas là leur charme justement ? En fonction de vos aspirations, le choix est vaste !

Envie d'un avant-goût de l'été en avril-mai ou en septembre-octobre ? Parfait pour découvrir les cités d'Europe ensoleillées comme Rome, Lisbonne ou Barcelone sans la fournaise estivale.

Vous préférez l'ambiance douce et colorée de l'été indien en octobre-novembre ? Alors cap sur la Bretagne fleurie, la Provence aux accents méridionaux ou l'île de beauté corse !

L'hiver vous attire avec ses paysages givrés et ses charmes enneigés ? Essayez Marrakech et ses souks animés, Le Caire et ses immenses pyramides ou Istanbul la parfumée pour un dépaysement complet.

Quant aux accros des plages de sable fin et de l'eau turquoise, les Caraïbes ou l'Océan Indien vous accueilleront à bras ouverts sous des températures idylliques !

Destinations tendances pour des vacances hors-saison

Paris, la Ville Lumière, offre un écrin idyllique pour un city trip hors des périodes les plus chaudes. Flânez dans les ruelles pittoresques du quartier du Marais, profitez des terrasses de cafés emblématiques comme Les Deux Magots, et admirez les incontournables comme la Tour Eiffel, Notre-Dame ou le Sacré-Cœur dans une atmosphère plus sereine.

À Rome, la Cité Éternelle dévoilera toute sa splendeur lorsque les foules se seront un peu dissipées. Découvrez le Forum Romain et le Colisée dans des conditions optimales. Perdez-vous dans les charmantes ruelles du Trastevere animées par les Romains et savourez les spécialités locales sur les placettes.

Barcelone, vibrante de culture catalane, impressionne par son foisonnement architectural. Admirez les œuvres magistrales de Gaudí comme la Sagrada Familia, le Parc Güell ou la Casa Batlló sans la cohue des mois d'été. Profitez ensuite des superbes plages de la ville pour vous délasser.

Marrakech, la "Perle du Sud", dévoile tout son orientalisme lors des mois plus frais où la chaleur n'est plus écrasante. Déambulez dans les ruelles animées de la médina, flânez sur la place Jemaa El-Fna où se pressent charmeurs de serpents et conteurs, puis découvrez les sublimes jardins majorelles.

Au Caire, berceau des merveilles antiques, profitez des températures idéales du printemps et de l'automne. Arpentez l'immense plateau de Gizeh où trônent les pyramides millénaires, visitez le Musée du Caire regorgeant de trésors pharaoniques, et laissez-vous porter par l'atmosphère unique de cette ville bouillonnante.

L'Île de Beauté corse revêt ses plus beaux atours printaniers et automnaux, loin de la fournaise estivale. C'est le moment idéal pour randonner sur les superbes sentiers côtiers, découvrir les charmes authentiques des villages de l'intérieur des terres, ou encore déguster les spécialités locales au calme.

En Bretagne, les paysages verdoyants éclatent de couleurs flamboyantes sous les doux rayons d'automne. Parcourez les légendaires chemins de randonnée du GR34 le long des côtes sauvages, visitez les cités de caractère comme Locronan, Dinan ou Vannes dans une ambiance plus sereine.

Quant à la Provence, c'est au printemps qu'elle dévoile toutes ses splendeurs naturelles et culturelles. Les champs de lavande, les villages perchés et les paysages ocres de Lubéron s'apprécient pleinement à cette saison, sans les foules de l'été.

Pour profiter des douceurs méditerranéennes sans la forte affluence estivale, les destinations balnéaires d'Espagne et de Grèce sont idéales au printemps et à l'automne. À Majorque, la plage de Formentor ou la calanque d'Albercutx vous accueilleront dans une quiétude absolue.

En Grèce continentale ou sur ses îles, optez pour des séjours en mai-juin ou septembre-octobre. Les superbes plages de Navagio à Zante ou de Balos en Crète seront presque désertiques, permettant de réelles échappées paradisiaques.

La Tunisie n'est qu'à quelques encablures avec son climat doux et ensoleillé grande partie de l'année. Khéops Tunisie vous ouvrira les bras pour des séjours en bord de mer à Djerba, Sousse ou sur la côte Nabeul à des prix très attractifs.

Aux Caraïbes, l'archipel des Bahamas ou encore les îles de la Guadeloupe, Martinique et Sainte-Lucie offrent des conditions climatiques idylliques en avant ou arrière-saison avec des prix très abordables sur les séjours tout compris.

On se laissera séduire par les eaux cristallines, les plages de sable blanc et les paysages vallonnés verdoyants dans une ambiance plus calme et authentique. Redécouvrez les charmes uniques des Petites Antilles à votre rythme !

Dans l'Océan Indien, les îles paradisiaques des Seychelles, de l'Île Maurice ou encore de la Réunion vous accueilleront sous des températures douces idéales durant leurs mois d'"hiver" austral. Profitez des tarifs très avantageux pour des séjours de rêve.

Les fonds marins exceptionnels et les réserves naturelles terrestres s'apprécient d'autant plus dans une atmosphère préservée. Des échappées dépaysantes garanties, entre farniente et découverte !

Pour faire les choses bien, il convient quand même de s'organiser un minimum avant de partir. Histoire d'être sûr d'avoir chopé la meilleure période selon vos attentes !

Première étape logique : vérifier la météo sur votre destination et les activités possibles. Le soleil sera-t-il au rendez-vous pour bronzer ? Ou plutôt la fraîcheur idéale pour les balades à pied ?

Autre point crucial : se renseigner sur les événements locaux, fêtes traditionnelles ou autres rendez-vous incontournables. Ce serait dommage de passer à côté !

Enfin, réfléchissez bien à votre programme et vos déplacements sur place si vous souhaitez un rythme tranquille ou au contraire bouger beaucoup. Un road trip ou un circuit "aces" peuvent être parfaits !

Alors convaincu(e) par ces arguments massues ? Partir en vacances hors des périodes les plus courues, c'est l'assurance de vivre une expérience unique à moindre coût !

Profitez des offres alléchantes sur les transports, hébergements et séjours pour vous offrir le voyage de vos rêves. Et surtout, laissez-vous surprendre par le nouveau visage de ces destinations loin des foules !

Que vous rêviez de city-trips dans les capitales européennes, d'évasions sous les tropiques ou de séjours nature ressourçants, c'est le moment de réserver ! Préparez dès aujourd'hui votre prochain voyage hors des sentiers battus pour vivre une aventure inoubliable !

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